les Brigades rouges ont été manipulées très facilement. Il suffit de lire leurs textes pour comprendre qu’intellectuellement, ils étaient plutôt du genre demeuré.
Julius premier du genre vous n’êtes
qu’une banane.
Vous mettez en lien un article
d’Asselineau ce qui est très courageux car vous prenez le risque
d’être fiché par la CIA comme étant un dangereux activiste
complotiste doublé de conspirationniste complètement schizophrène
avec bouffée délirante du genre paranoïde. Vous finiriez si tout
va pour le mieux pour vous à l’asile psychiatrique sinon ce sera un
internement à Guantánamo dans l’île paradisiaque de Cuba du moins
dans sa partie Américaine.
Pour en revenir à notre sujet sur
l’invention des libertés publiques en Angleterre, vous auriez pu
rappeler au sieur Asselineau et pourquoi pas pendant que vous y étiez
à tous ses supporters que la charte des libertés publiques datant
de l’époque où le royaume d’Angleterre était normand existait
quelque chose d’admirable qui lui était antérieur. Hé
oui !!! Et cette chose d’où découle la Magna Carta était tellement ancrée
dans les mœurs que pendant l’inhumation de Guillaume le conquérant
un quidam normand osa arrêter la cérémonie en prétextant qu’on
avait pas payé à son aïeul le terrain sur lequel avait été
construite l’église St Étienne de l’abbaye aux hommes où allait
être enterré le roi d’Angleterre. Il fallut l’indemnisé en donnant raison au quidam pour que la cérémonie pût
continuer. Pût imparfait du subjonctif à ne pas confondre
avec le mot pute qui est hors sujet.
Croyez vous qu’un américain ou même
qu’un français puisse arrêter une cérémonie officielle menée en
grande pompe sous prétexte qu’on bafoue ses droits. Impossible et
portant chez les normands au moyen age, c’était possible. Qui sont
donc les plus civilisés, nous aujourd’hui avec notre charte des
droits de l’homme ou nos ancêtres les normands avec leur cri du
haro.
Comme il pouvait y avoir de l’abus en
criant le haro n’importe quand, on pouvait se retrouver condamné
pour avoir crié un fol haro.
« Si
l’Europe n’est pas un plein mais cette gestion non conflictuelle
des identités diverses, alors cette Europe, la nôtre, l’Europe
européenne n’est plus un lieu mais un rayonnement. Elle n’a pas
de frontières, fussent-elles labiles, et sa géographie se réduit à
un point d’irradiation. L’Europe n’est pas un espace, mais une
onde »
A
Monsieur de Rokotoarisonaidez
moi à comprendre cette phrase alambiquée à l’extrême. Elle
commence avec l’idée d’une supposition que « si
l’Europe n’est pas un plein » .
Bizarre, il compare l’Europe à un plein. Elle est pleine de quoi
l’Europe ? Mais que suis-je bête, j’ai pas remarqué la
négation. L’Europe n’est donc pas pleine. Mais pas pleine de quoi
au juste ? Ce qui ne résout pas le problème. Bon, il faut se
résigner pour comprendre ce début de phrase à admettre que
l’Europe est un récipient comme le sont toutes les fosses à merde
et quand on dit qu’elles sont pleines nous savons de quoi il en
retourne. Il en va de même avec l’idée d’une construction
européenne.
Mais
voilà ça se complique ce qui ne me fait pas avancer dans la grande
compréhension de ce à quoi doit ressembler un récipient qui n’est
pas plein, c’est à dire vide. Peut-être que pour mettre un terme à
ce désarroi, devrais-je penser que l’Europe est un concept vide de
toute signification comme le sont les pots de chambre lorsqu’il sont
vides mais prêt à servir.
Je
sais, je l’admet, je suis méchant avec un écrivain fut-il roumain,
il n’en reste pas moins médiocre et proeuropéen par intérêt
mercantile. Il est médiocre parce qu’il écrit non pas comme un
sabot ni comme deux mais comme un régiment de sabots et comme les
sabots ne marchent que s’ils sont accouplés à un autre pour former
une paire. Il faut donc tout multiplier par deux. Je ne vous dis pas
la quantité de sabots que représente cet écrivain roumain cité en
exemple par Sylvain rocoto... etc... tout aussi saboteur.
Exact, je n’ai fini ma lecture parce
que je suis rendu compte que vos arguments ne sont comme on dit que « des
lieux communs » ou si vous préférez : des banalités que
monsieur tout le monde exprime chaque qu’il veut en placé une.