Je pense effectivement que ma présentation du libéralisme est objective en ce sens que la majorité des libéraux se reconnaissent dans les concepts étudiés et leur articulation.
Vous n’oseriez tout de même pas dire qu’en France il n’y a pas d’idées reçues sur le libéralisme...
Je pense qu’en tant que libéral je suis mieux qualifié pour présenter le libéralisme qu’un communiste, tout comme un marxiste est mieux placé pour présenter une théorie collectiviste qu’un libéral.
Mes sources sont toujours discutables, mais ce sont toujours des sources scientifiques et pas des articles de journalistes (dans la mesure du possible). Evidemment tous les économistes ne sont pas libéraux, loin s’en faut.
Enfin je n’ai jamais accusé quiquonque de collectivisme ici. Vos critiques ne m’atteignent donc pas.
’le mot libéralisme c’est une ’auberge espagnole’, chacun y met ce qui
l’arrange".
C’est précisément pour cette raison que j’ai écrit ce texte, pour revenir
aux fondamentaux. Il existe bien évidemment plusieurs courants dans le
libéralisme, mais à la base il s’agit d’un corpus d’idées cohérentes.
J’essaye de donner une définition « objective » dans laquelle un maximum de
libéraux se reconnaisent.
j’ai une explication théorique, donc générale, à ce problème. Si la distance cognitive entre deux individus est faible (i.e. les individus pensent la même chose, ont les mêmes connaissances), alors ces individus n’apprendrons presque rien de leur conversation.
Si la distance cognitive est trop forte (i.e. des systèmes de pensée diférents ou opposés), alors les individus ne pourront pas communiquer.
Entre ces deux extrêmes il existe théoriquement une distance cognitive optimale qui rend le dialogue fécond.
Ce n’est sans doute pas la réponse que vous attendiez, mais c’est une explication qui permet de comprendre pourquoi nous pouvons avoir des dialogues de sourd.
Peut-être que je ne prend pas assez de temps pour répondre à vos interrogations, dans ce cas veuillez m’en excuser. J’essaye néanmoins toujours d’être le plus clair possible et de donner des sources pour éviter les affirmations gratuites.
’le mot libéralisme c’est une ’auberge espagnole’, chacun y met ce qui l’arrange".
C’est précisément pour cette raison que j’ai écrit ce texte, pour revenir aux fondamentaux.
Il existe bien évidemment plusieurs courants dans le libéralisme, mais à la base il s’agit d’un corpus d’idées cohérentes.
J’essaye de donner une définition « objective » dans laquelle un maximum de libéraux se reconnaisent.