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Jowurz

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  • Premier article le 04/09/2010
  • Modérateur depuis le 15/09/2010
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  • Jowurz 22 octobre 2010 14:47

    Bonjour Dupont,

    Excellente intervention !

    Il ne s’agit pas d’une opinion pour ce qui me concerne mais de faits et de chiffres. Au sujet des vôtres ils sont un peu âgés et n’expriment pas l’actuelle situation. Suivez donc le conseil que vous prodiguez et renseignez vous la Cour des Comptes.

    Pour nous faire gagner du temps, voici un extrait de la page 376 du rapport de synthèse du Conseil des Prélèvements Obligatoires. Il vaut plus qu’un long discours au sujet du péril des retraites que vous évoquez. Il présente les constatations de la Cour des Comptes dont il est inutlie de débattre du bien fondé.

    « Au total, en incluant cet effet sur l’allègement Fillon et la taxe sur les salaires, le coût des exemptions d’assiette sur les finances publiques doit donc être réévalué ente 26,2 et 27,2 milliards € . Ce coût pénalise au premier chef la Sécurité Sociale et l’Agirc-Arrco (19 à 20 milliards) mais aussi l’assurance chômage à hauteur de 2,9 Milliards, l’Etat á hauteur de 2,3 Milliards... »

    Ceci ne concerne que l’allègement Fillon lequel existe depuis 2003. Cette mesure est significative de nombre d’autres qui constituent un montant de 172 milliards en 2010.

    Je vous fais grâce de la baisse de TVA sur, par exemple, la restauration et la construction ou la rénovation immobilière, dans ces secteurs le coût d’un emploi sauvegardé est respectivement de 80.000 € et de 105.000 € annuels. Ne nous attardons pas non plus sur le comble de l’absurdité : le coût de l’emploi sauvegardé dans le secteur du service à domicile pour 180.000€ annuel. Il s’agit, pourtant, sur les secteurs évoqués d’entreprises et d’emplois, difficilement délocalisables.

    Ne me parlez pas des entreprises étrangères du bâtiment travaillant sur le territoire nationale, la législation sociale de l’UE les soumet à la loi locale pour les salaires et les charges.  

    Vous le constatez, dans un pays ou toutes catégories de demandeurs d’emploi confondues, plus de 4,5 millions d’individus sont sans travail, votre pyramide des âges ne fait rien à l’affaire, ni aujourd’hui ni demain.
    Le problème est politique il repose sur la répartition des charges des entreprises et des particuliers et les priorités choisies par les gouvernements. 

    La retraite par répartition n’est pas en danger si chacun paie son dû.

    J’ajoute que sans les dispositifs dérogatoires le déficit de l’Etat prévu en 2010 pour 152 Milliards n’existerait pas et qu’il serait possible de diminuer de 20 milliards les charges sociales des entreprises et des particuliers mais pas de 172 !

    La lutte contre le chômage ne passe donc pas nécessairement par des déficits publics colossaux qui profitent aux entreprises lesquelles ne cessent de délocaliser avec le soutien financier du contribuable.

    Cher Dupont, revoyez votre copie et vos sources, au lieu de mettre les miennes (Insee et Cour des Comptes) en question. Les vôtres ne sont pas tellement meilleures que celles d’Olivier Bach.

    Mais c’est essentiellement votre manière pseudo-mathématique d’appréhender le sujet  
    qui, si elle paraît logique à priori, se révèle un sophisme à l’usage.

    D’autant plus que vous semblez partir du principe que le PIB actuel est éternel et calculer en 2030 ou 2040 des retraites sur cette base actuelle.

    Même le Gouvernement et Xavier Bertrand ne calculent pas comme vous. Ces gens partent du principe optimiste d’une croissance moyenne de 2 % grâce à laquelle le PIB du pays aura atteint plus 3.600 milliards dans 30 ans. Une évidence que les entreprises industrielles robotisées et les secteurs à forte main d’oeuvre, Bâtiment Travaux Publics, services de toutes natures pourront payer les cotisations sociales et fiscales dont elles sont aujourd’hui dispensées. 

    En supplément, à considérer le taux de chômage des 15 à 49 ans actuel, fort peu des salariés et ouvriers du privé auront cotisé suffisamment longtemps pour bénéficier d’une retraite à taux plein, même à 67 ans. Il y aura donc moins à répartir en %. Comme nous le constatons depuis nombre d’années parmi les plus de 50 ans qui ont la malchance d’être licenciés bien peu retrouveront du travail. La mesure proposée par le Gouvernement aujourd’hui ne résout donc rien si ce n’est qu’elle fait baisser le taux des retraites et augmente encore le nombre important de pauvres et des assistés dans notre pays.
    Votre prétendue pyramide des âges a d’autant moins de sens qu’un pourcentage important de jeunes qui arrivent sur le marché du travail n’en trouvent pas. Selon les chiffres du BIT, à fin 2009, 23,7 % des 15 à 24 ans sont demandeurs d’emploi.

    Vous le voyez Dupont, abstraction faite du sentiment et de l’opinion personnelle votre position est mathématiquement assez peu logique.

    Alors vous pouvez sans doute comprendre que si l’on prétend parler justice et défendre un point de vue sans argument sérieux, dans un domaine aussi sensible, il est préférable de savoir de quoi il retourne. Ce n’est pas le cas de l’auteur qui se présente comme la sagesse absolue dans ce domaine et, en raison de son ignorance malgré lui et certainement de bonne foi, trompe ses lecteurs.

    Sans vous faire de peine, pas plus que votre intervention ne fait le tour de la question négligeant de nombreux paramètres, l’article d’Olivier Bach n’est à prendre au sérieux.     



  • Jowurz 22 octobre 2010 11:06

    Bonjour Login,

    Il faut choisir : ou le rapport est trop long ou il ne l’est pas assez. Les chiffres au tout début de la journée endorment souvent la clientèle. Comme vous le constaterez l’auteur était encore à jeun à une heure du matin !

    Pour vous édifier davantage... Tout le secret est de consulter les rapports de la Cour des Comptes et de ses différents services. Ils sont publics.

     Vous aurez tout loisir de les télécharger et de les observer de face, de profil et sur la tranche, voire entre les lignes. Rassurez-vous après 2.500 pages vous en saurez autant que leurs analystes sur le business de l’Etat ou presque. Si le thème vous passionne vous pouvez ensuite passer aux collectivités territoriales, aux oeuvres d’intérêt publiques, aux écoles subventionnées etc... et bien entendu aux irrégularités des comptabilités publiques, prédilection des Chambres régionales des Comptes.

    Soyez indulgent avec les rédacteurs, le travail de certains réuni plusieurs années d’observations, en supplément, certaines abbréviations semblent mystérieuses, mais vous semblez en posséder quelques unes. Ah j’allais oublier ! Il faut se garder de mélanger les genres pour ne pas prendre en compte deux fois, voire trois, les mêmes dépenses ventilées différemment dans des exposés où les niches deviennent des allègements, des exonérations ou des dispositifs dérogatoires.

    Dès que vous aurez achevé cette pieuse lecture il est certain vous serez même en mesure d’établir des rapports très instructifs tels la part des Grandes Entreprises, des Employeurs et Travailleurs Indépendants etc.... aux différentes caisses de retraites.

    Vous avez aussi la possibilité d’interroger Olivier Bach l’auteur de cet article après quelques mois d’études laborieuses il sera en mesure de satisfaire votre besoin.

    Bonne journée.

     



  • Jowurz 22 octobre 2010 02:20

    Bonjour Haddock,

    c’est vrai ce que vous racontez ! L’ennui c’est que depuis que vous refusez de vieillir et de porter des lunettes tellement votre barbe est coquette vous ne distinguez plus très bien le journal du papier toilette dans les cabinets. Vos informations sont un peu rances au sujet des retraites. La dernIère personne en date à s’ être couchée dessus est une certaine Martine Aubry. En sus, votre forcené avait juré promis de ne pas toucher à ces choses sacrés.
    Il lui a donc fallu se dédire et il lui faut maintenant avouer qu’il a trompé les électeurs et les Francais à ce sujet C’est d’autant moins propre et élégant que son argumentation statistique pour défendre cette réforme est mensongère de A à Z , dans la pure tradition sarkozyste. Les retraites c’est son vieux complice Chirac et lui-même qui les ont mises en péril avec une politique débile de dispositifs dérogatoires qui constituent un vrai chenil pour engraisser le patronnat et la finance tellement il y a de niches. Avez déjà entendu causer de l’allègement Fillon en 2003 ?

    Il serait donc préférable d’être circonspect si vous souhaitez que la Castafiore et le savant de Moulinsart ne vous battent froid en attendant la dissolution de la Belgique.
     



  • Jowurz 22 octobre 2010 01:59

    Bonsoir Morice,

    Merci pour cette galerie de portraits sortie d’un film de Murnau ! Serait le Nosferatu des temps modernes ou le dictateur du Chapelain ?


    La Hongrie, le seul pays où le nazisme a été... religieux.

    Je n’ose vous rappeler le concordat passé entre le nonce de Pie XI, Monseigneur Pacelli, et le chancelier Adolf Hitler, arrangement entre états qui assura le financement par l’impôt des Eglises chrétiennes en Germanie et inscrivit l’éducation religieuse dans les programmes scolaires du IIIème Reich. De même que la conservation du traditionnel Gott mit uns, que le vieux Fritz, franc-macon notoire, avait mis à la mode, sur la boucle des ceinturons de la Wehrmacht n’est pas vraiment un signe d’athéisme.

    Du reste c’est une maladie chez nos cousins ils sont d’une telle bondieuserie qu’ils ne peuvent rien imaginer sans Dieu. Merkel, fille de Pasteur est chef de lUnion chrétienne démocrate et son alliée bavaroise est l’ union chrétienne sociale. 

    J’admire d’ordinaire et loue vos connaissances, mais votre objectivité laisse ici, un chouia, à désirer, cher Morice. Je m’étonne. Auriez-vous quelque grief contre les Magyars ? un Nicolas vous resterait-il en travers de la gorge comme une arête sur le sommet d’un monticule ?

    Sans la moindre malice.

    Bonne nuit.  



  • Jowurz 22 octobre 2010 01:01

    Bonsoir Olivier Bach,

    Décidément vous aimez la récidive !

    J’ai lu un article très mal informé et d’une grand naiveté sur la religion qui portait votre signature. Visiblement vous abordiez un sujet que vous possédiez très mal. Il en est de même pour celui-ci, dommage pour vous et vos lecteurs.

    Je n’ai pas souvenir dans les articles parus sur agoravox qu’il soit question d’injustice à propos de retraites, mais que l’état était responsable du déficit de la Sécurité Sociale. Ce qui est très différent.

    L’information ce n’est pas un gentil roman à l’eau de rose comme celui que vous tenez à nous administrer.

    Une fois encore, vous ne savez pas ou mal votre sujet et ne connaissez pas les chiffres de la CNAV.

    La totalité des charges du régime général de retraites s’élève en 2009 à 98,722 milliards, les recettes à 91,489 milliards. Le déficit sur ce poste est de 7,233 milliards. Je ne vois pas où vous trouvez un déficit de 39 Milliards.

    En supplément il n’y a pas 16 millions de salariés mais 24,5 millions de salariés en France dont 5 millions payés par l’état, il en reste donc 19,5 millions pour le privé, tandis que l’ensemble des retraités du secteur public et du secteur privé sont environ 14,5 millions. parmi lesquels 2,255 millions de retraités civils et militaires de l’Etat. Ceux-là coûtent, à eux seuls, 50,3 milliards à l’Etat sous l’appellation de CAS pensions (Compte affectation spéciale) qui n’entrent pas dans les comptes de la Sécurité Sociale mais le budget de l’Etat aussi appelé loi de finances.

    L’état ne paie pas les 60 milliards d’euros que vous annoncez à la Sécurité Sociale pour boucher le trou des retraites. Vous confondez les comptes Pensions de l’Etat et ceux de la CNAV.

    Votre article commence par une superbe ineptie. Visiblement vous ignorez ce qu’est la retraite par répartition et l’article 1 de la Constitution qui définit, entre autres, la république comme sociale.

    Les salariés cotisent dans le cadre du régime général toute leur vie de travail selon leur salaire mensuel jusqu’au plafond de la sécurité sociale. Pourquoi devraient-ils se contenter d’une retraite minimum, genre Rmi ou Rsa complétée par les mutuelles types Arrco et Agirc qui prennent en compte l’ensemble du salaire, selon des taux différents pour Arcco et Agirc. Ces retraites complémentaires, également par répartition, se cumulent pour les cadres ayant cotisé à ces deux caisses complémentaires et s’ajoutent à celle de la sécurité sociale. Elles sont payées séparément par ces organismes.

    Autant dire que la CNAV ne paie qu’une partie de la retraite des salariés du privé et ne se préoccupe pas des salariés publics qu’ils soient civils et militaires.
       
    En supplément la politique de dispositifs de dérogations sociales et fiscales pratiquées pénalise la Sécurité Sociale et les associatIons ARRCO et AGIRC. Autant dire que les mesures prétendues en faveur de l’emploi et des heures supplémentaires privent non seulement l’Etat et la Sécurité Sociale de recettes dont ils ont besoin, mais aussi les associations de caisses complémentaires de retraite lesquelles possèdent des fonds de réserve propres de plus de 45 milliards €. qu’elles provisionnent chaque année sur leurs recettes. Ces caisses ont payé environ 58 miliards € de retraite complèmentaire à un peu moins de 12 millions de salariés et cadres en 2009.

    Le report de l’âge du départ à la retraite et l’augmentation de la durée du travail pour obtenir une retraite à taux plein est le résultat de l’indécente et catastrophique politique dite de soutien à l’emploi qui n’a pour résultat que de dilapider les fonds publics. Pour ce qui concerne l’efficacité des mesures des dispositifs dérogatoires : consultez le rapport de synthèse du Conseil des Prélévements obligatoires (Cour des Comptes) il vous édifiera et quand vous l’aurez compris, présentez-nous une synthèse de votre savoir. elle sera sans doute plus interessante que votre article ci-dessus.

    Votre intervention est bien gentille mais d’un niveau très faible. Si c’est votre notion du journalisme, de vous à moi , cette dissertation ne mérite pas une parution. Il ne s’agit pas sur un sujet de ce calibre d’une question de foi ou d’un sentiment de justice ou non voire d’une opinion rédemptrice, mais de règles fiscales, de législation du travail et de comptabilité. C’est-à-dire de faits et de chiffres qu’il est préférable de connaître et vérifier aux sources qui les produisent ou les possèdent et les vôtres sont bien étranges et souterraines.

    Mettez donc un mouchoir sur vos conclusions, elles ne sont fondées que sur votre ignorance du sujet et écrivez sur autre chose, la poésie par exemple... 

    Bonne nuit. 

     

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