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Legestr glaz

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J'en pince pour vous

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  • Premier article le 30/06/2016
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 14 décembre 2024 04:45

    @pemile

    Avec plaisir pemile.

    C’est exactement là que se produit le raisonnement circulaire sur les « virus ». Il s’agit de trouver, non pas ce qui existe, mais ce que l’on a envie de trouver.

    Ainsi l’amorce de la PCR qui est utilisée est un segment « choisi délibérément », par le chercheur et son équipe, d’un « virus » précédemment identifié et séquencé, et « enregistré » sur les bases de données des « virus ». Sauf que tous les « virus » de la base de donnée ont été identifiés selon ce processus « circulaire ». Nous sommes très exactement dans le cadre d’une « tautologie ».

    La PCR amplifie du matériel génétique, qu’il provienne d’un agent vivant (pathogène actif), d’un fragment mort, ou même d’une séquence endogène appartenant à l’hôte.
     Une sensibilité élevée peut détecter des quantités infinitésimales de matériel, y compris des fragments génétiques non pertinents cliniquement. Les amorces choisies dépendent du chercheur, qui sélectionne un segment supposément spécifique. Mais si ce segment est commun ou partagé avec des séquences humaines ou bactériennes, la PCR réagira positivement.

    L’hypothèse selon laquelle la PCR pourrait détecter des séquences humaines ou des artefacts (produits par les méthodes de culture ou d’extraction) est plausible. Des séquences virales attribuées (par exemple celles des rétrovirus) sont souvent similaires ou intégrées au génome humain. Il est donc possible que certaines amorces réagissent à des séquences endogènes. Lors des processus de manipulation en laboratoire, des contaminations peuvent survenir, faussant les résultats. Plus le seuil de cycles est haut, plus il est probable que la PCR amplifie des artefacts ou des séquences non spécifiques, même absentes au départ. Un test PCR positif devrait être confirmé par des symptômes compatibles et par l’isolement direct du pathogène en cause, ce qui n’est très généralement pas fait.

    Certaines séquences attribuées au VIH ont été identifiées comme faisant partie de séquences rétrovirales humaines. Pendant la pandémie, des personnes asymptomatiques étaient considérées comme « infectées » sur la base de tests PCR positifs avec des Ct dépassant 35, alors qu’il est établi que ces résultats sont peu fiables. Les méthodes d’amplification et de culture, lors de la recherche menant au séquençage des virus, utilisent des conditions artificielles (sérum bovin, cellules animales VERO, antibiotiques) susceptibles de produire des artefacts.

    Si la PCR amplifie une séquence génétique qui existe naturellement chez l’humain, ou dans le milieu expérimental, cela explique les résultats positifs sans qu’un agent pathogène soit réellement impliqué.

    Voilà pemile, bidonnez vous ! 






  • Legestr glaz Legestr glaz 13 décembre 2024 22:06

    @pemile
     Ce qui est désopilant c’est que vous ne soyez pas en mesure de comprendre à quoi correspondent les amorces qui servent à « séquencer » les « virus ». Vous avez un réel problème. C’est le vôtre, pas le mien.

    Vous ne comprenez pas, vous avez vos limites ! Alors vous tombez dans le piège. Je vous pardonne, parce que vous n’êtes pas en mesure de faire la part des choses.



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 décembre 2024 18:01

    @pemile
     
    Vous aurez une belle image pemile.Vous avez bien appris votre leçon.

    Sinon, en ce qui concerne les « amorces » des PCR qui recherchent les fragments d’ADN des « virus », vous séchez ? Cette leçon ci vous ne l’avez pas bien apprise, garnement. 



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 décembre 2024 16:48

    @Legestr glaz

    Suite et fin.

    Le Dr Kary Mullis, qui a inventé la technique de la PCR, a exprimé des réserves sur l’utilisation de ce test dans certains contextes. Il a notamment mis en garde contre l’utilisation de la PCR pour diagnostiquer des maladies sans prise en compte du contexte clinique et des signes physiques.

    Kary Mullis a également précisé que la PCR était un outil de confirmation d’une maladie exposant des symptômes, pas un outil de confirmation d’une pathologie.

    Les personnes « testées » positives au VIH, par un test PCR, ne montrant aucun symptôme, reçoivent des traitements « préventifs » antirétroviraux -ARV . Et les effets « secondaires » de ces traitements sont ceux-ci : 

    Les principaux effets secondaires des antirétroviraux :

    Les médicaments antirétroviraux peuvent provoquer des effets secondaires qui varient selon les individus, la classe de médicaments utilisée, et la durée du traitement. Parmi les effets secondaires on trouve :

    • Hépatotoxicité (dommages au foie)  : Certains ARV, en particulier les inhibiteurs de protéase, peuvent avoir des effets néfastes sur le foie. Cela peut se manifester par des anomalies des tests hépatiques et, dans des cas rares mais graves, par une insuffisance hépatique.

    • Problèmes rénaux  : Certains ARV, comme les inhibiteurs de la protéase et les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (NRTI), peuvent causer des dommages aux reins, entraînant des complications comme la néphropathie (dégénérescence des reins).

    • Effets métaboliques  : Les ARV peuvent avoir un impact sur le métabolisme, en particulier la gestion des lipides et des glucides, ce qui peut augmenter le risque de dyslipidémie (déséquilibre des graisses dans le sang), de diabète et d’autres troubles métaboliques.

    • Troubles cardiovasculaires  : Les effets métaboliques peuvent également contribuer à des problèmes cardiaques, comme l’athérosclérose.

    • Problèmes osseux  : Certains ARV, en particulier les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (NRTI) comme le ténofovir, sont associés à une diminution de la densité osseuse, augmentant le risque de fractures chez certains patients.

    • Effets neurologiques : Des symptômes tels que des maux de tête, des troubles du sommeil et des problèmes cognitifs peuvent également survenir, bien que ces effets soient généralement réversibles une fois que le médicament est interrompu.

    On en arrive à « traiter » les biens portants ! Le docteur Knock n’a rien inventé ! 


  • Legestr glaz Legestr glaz 13 décembre 2024 16:20

    @pemile

    Le diable est dans les détails pemile. Alors parlons « sérieusement ». Puisque vous évoquez le scandale du sang contaminé, pouvez me dire quelles ont été les personnes (leurs profils) qui ont été contaminées ? J’imagine que vous le savez pour en parler en long en large et en travers. 

    Dans le scandale du sang contaminé les personnes ayant reçu une ou des transfusions sont mortes : 
     D’insuffisance respiratoire aiguë (pneumocystose, tuberculose).
     D’insuffisance hépatique terminale (hépatite C, carcinome hépatocellulaire).
     De Chocs septiques avec défaillance multi-organique.
     D’encéphalopathie hépatique(coma) dans les cas de cirrhose avancée.

    Le sang était, certes contaminé, mais par quoi ? Le « nitrite d’amyle » était très à la mode à cette époque et aucune précaution n’était prise le concernant. Le nitrite d’amyle peut provoquer la formation de méthémoglobine, ce qui limite l’oxygénation des tissus et peut entraîner des complications circulatoires graves, voire des défaillances organiques.

    Et, comme vous avez le mémoire courte, je vous copie-colle un post que vous avez oublié de lire. Le voici : 

    Le fait d’attribuer le SIDA à un « virus » a fait que les gens se sont écartés, par crainte, des personnes déclarées atteintes du SIDA.
    Les homosexuels ont été ostracisés. Par exemple, il leur était interdit de donner leur sang (sauf à ne pas avoir eu de relation sexuelle depuis plus d’une année). 

    Votre vision du « mépris » est minable. Je suis surtout scandalisé que la théorie virale du SIDA ait entrainé ce genre de comportement discriminatoire. C’est « tellement » facile d’attribuer les causes de maladies à des « virus ». Surtout que cela rapporte gros à certaines industries. La réalité biologique est tout autre pemile. Mais, votre rôle, ici, étant de supporter à tout pris la « parole officielle », votre indignation sur-jouée est totalement compréhensible.

    La maladie appelée « SIDA » est, malheureusement, une maladie bien réelle. Pourtant elle n’est en rien attribuable à un « virus ». Bien d’autres facteurs émergent pour expliquer cette maladie comme la malnutrition, le manque d’hygiène, la consommation, volontaire ou pas, de molécules dangereuses comme les nitrites d’alkyles. Surtout que ce sont des « tests » qui déterminent la « séroposivité », même sans symptômes. Comme lors du « Covid19 ». 

    ... « Le poppers est le nom usuel donné aux nitrites d’alkyles. Ils sont utilisés pour intensifier l’expérience sexuelle ou pour les courtes euphories qu’ils provoquent juste après l’inhalation du produit. Malgré les différentes périodes d’interdiction, le poppers est resté banalisé au cours des années 2000 et son usage a même connu une hausse importante entre 2000 et 2010. En population adulte comme adolescente, il s’agit du deuxième produit consommé après le cannabis parmi les drogues illicites, confirmant qu’il concerne des milieux bien plus larges que les milieux gays et lesbiens qui sont parfois présentés comme emblématiques de leur consommation. L’expérimentation du poppers concerne 5,3 % des 18-64 ans en 2010, en particulier les hommes (7,2 % contre 3,4 % pour les femmes). À la fin de l’adolescence, elle concerne 8,8 % des filles et 9,2 % des garçons. Les poppers bénéficient dans la population générale, en particulier celle des jeunes, d’une image globalement positive. Pourtant, ce produit n’est pas dénué de danger, même si le risque de dépendance est particulièrement faible. Quelques pistes d’actions peuvent être esquissées, un travail d’information et de suivi régulier auprès des usagers pouvant permettre d’éviter une radicalisation de la consommation parmi les usagers réguliers »...

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