La première photo de votre post, me plonge dans l’histoire, regardez là attentivement, changez le vêtement, remettez la pilosité sous le nez.
Elle ne vous rappelle rien ? Certes le temps à fait son oeuvre, aujourd’hui pour être un petit dictateur dans une société comme la notre, faire parler le canon, n’est plus de mise, mais le doux son de l’écu oui. L’employé de Banque devant Président, quelle ascension sociale fulgurante, exemplaire, pouvant laisser croire aux faibles d’esprits que cela soit aussi possible pour eux..
Insignifiant il est, insignifiant il mourra, sera oublié, hélas non, 10 années de règne marquent, laisseront des traces quoique l’on en dise. Nous payons encore 14 ans de règne....
Le pouvoir transforme t-il l’homme ? Assurément, je l’ai constaté à de très nombreuse reprise, notre Président est en haut de l’échelle, atteignant le sommet du pouvoir, mais nul doute qu’il entrevoit encore plus.
Me revient en mémoire au lendemain du deuxième tour d’une période rose une phrase humoriste et tragique à la fois de marionnettes amusantes et caricaturantes, dont on sourit aux vérités.
Arrêtons un peu avec le mot « Démocratie », le pouvoir n’a jamais été au peuple, nous le saurions depuis le temps, il est simplement consulté « quinquennalement » pour faire bonne mesure, car après il font ce « qu’ils » veulent. Les promesses électorales n’étant que des appâts !
Nous reconnaissons bien au travers de M. Darmanin, la « Macronie » beaucoup de paroles et peu d’actes, ça permet non seulement de faire durer, mais en plus de préparer déja les excuses pour le non-aboutissement. Depuis l’avènement d’Emanuel Louis Macron le XVII ème avec son comportement « L’état c’est moi » et sa start-Up Nation.
J’avoue exécrer ces ministres ayant un comportement d’influenceur social pour leur propre dessein, c’est devenu très pénible de les entendre,
Nous en avons eu la plus brillante démonstration par l’homme à la botte de paille discutant avec les Agriculteurs. Une prestation Tik-tokienne, qui fait qu’aujourd’hui ils sont de nouveau aux porte de Paris. Pour paraphraser une citation connue , Mais que veulent ils ? Se demande l’entre-soi Parisien.
Paris ayant de la compassion pour nos Agriculteurs, tant qu’ils ne viennent pas perturber leur petit monde.
Bref !
A chaque fois qu’une « chose » arrive Politiques et Médias promettent une Loi nouvelle ! (tout comme les normes), nos codes judiciaires et pénaux regorgent de lois, dont politiques et médias ignorent l’existence même, la compétence hélas n’est pas une valeur requise pour être ministre encore moins journaliste. Des textes existent, ils suffit de les appliquer.
Mais tout d’abord faut-il les connaître et ensuite avoir la volonté de les faire appliquer, ce qui parfois électoralement n’est peut être pas porteur. Vient ensuite l’effet pernicieux d’une incontinence de textes qui ne fait que ralentir la justice, déjà pas bien rapide, sauf pour deux trois choses ou elle est très prompte à se mettre en branle, alors que le sujet n’arrivera pas à son terme, mais pendant ce temps, ça nous coûte et augmente l’indisponibilité des magistrats.
La « justice » manque de moyen ! Entend on. EN faut c’est toute l’administration Française qui manque de moyen, pourtant elle est un des plus pléthorique au monde.. Pauvre de nous.......
Pour M. Darmanin, il lui faut d’abord annuler les Lois Taubira, voir son Ministre des « Travaux Publics » pour lancer quelques appels d’offres, non européen de préférence, c’est quand même un peu mieux de faire construire nos prisons par des entreprise Françaises. Ont pourrait même envisager de les faire « privées », les détenus bossant pour rembourser les coûts de construction au lieu de les laisser « oisifs »....Ca existe et fonctionne en plus.
Après lui reste le chantier du siècle, annihiler la « gauchisation de la »justice« , stopper la culture de la »victimisation« . La loi étant la même pour tous, mettre un terme à la maxime de Jean de la Fontaine (c’est fou non ? Ce bonhomme en 1678 à prononcé des phrases toujours d’actualité ! C’est ça l’évolution sociétale, tout change en se maintenant, mais il n’est certainement plus »étudié" à l’école...).
Bon, rien qu’avec ces deux choses, il est aisé de comprendre que son action, outre une dissolution du gouvernement est infaisable. Toute restant n’est que poudre aux yeux.
M. Darmanin, étant un digne représentant de la confrérie des Camelots..
J’ai lu votre article, puis une de vos réponse à attiré mon attention « le PIB n’a plus aucun sens nulle part. ».
Je suis à des années lumières d’être un « spécialiste » de la finance, il était évident que l’humanité au cours de son « évolution » et de ses échanges, crée une sorte de valeur étalon afin donner « confiance » en sa monnaie au regard des autres. Ce fut l’or et des règles saines furent établies.
Toutefois, j’ai souvenance en résumé, qu’à un moment, les Anglais, grands commerçants devant l’éternel, ont trouvés que les règles établies étaient en fait un un véritable frein à l’expansion, au développement industriel, et j’en passe, bref restrictives. Alors ils ont réussi à faire adopter d’autres règles, en gros prêter plus que ce l’ont dispose, pour acquérir plus que ce l’ont peut s’offrir et peut être besoin. tout cela générant progressivement d’autres concepts pour fixer la « richesse » d’un pays.
La (sur)consommation était née.
Puis deux guerres mondiales, ayant mis à mal des Pays, des Peuples, une économie mondiale quasi exsangue, sauf pour les « vainqueurs » qui comme dans chaque guerre finissent par imposer leur visions et règles. Bretton-Wood une sorte de pacte de stabilité financier bien sûr au profit d’un prince, les « ruinés » n’ayant d’autres choix que de suivre de toute façon.
C’est après que tout à dérivé, quant ? Mystère. la « finance » s’est progressivement détachée du monde réel, arrivant à vivre presque d’elle même, mais pour fonctionner. Imposant des règles strictes qu’elle ne s’impose pas, car limitatives dans son exercice.
il ne fallait plus consommer, mais surconsommer, suivi d’une sorte d’emballement général, Progressivement un système pernicieux s’est crée, bouleversant nombre de principes de bon sens selon moi. Un financier de haut vol, philosophe à ses heures avait dit en gros, la Société d’aujourd’hui obéit à un principe qui est de consommer demain, ce que l’on possède à peine aujourd’hui.
Maintenant comment tout ça redescend dans notre vie quotidienne ? C’est bien simple, regardons l’état de nos finances, ou en gros nous donnons plus que nous pouvons donner, avec un coût de fonctionnement ahurissant.
Ces « donations » sont toutefois, électoralement très porteuses, afin de détenir le pouvoir et si possible le conserver, le tout accompagné du Machiavélisme fou des chiffres, des points d’indices, des valeurs, des seuils, etc, consistant à faire croire qu’en fait tout va bien. C’est un peu comme la « pauvreté » qui évolue en fonction des concepts, tout comme la « richesse », On joue avec des seuils et nous devenons « riches » ou « pauvres » n’ayons pas peur des mots.
Tout cela n’a plus de sens, mais le principe, les concepts associés font fonctionner le « système » et il absolument hors de question de changer quoi que ce soit, suscitant une peur généralisée de l’inconnu ! Avec toujours les phrases « bateau », qui en résumé disent « Ont ne peux rien changer, c’est comme ça, ont y peu rien ».
Une sorte de mécanisme fou, mène le monde, mais aucun gouvernement de quelque Pays que ce soit, ne veux y toucher. J’aime bien le concept de marcher sur la tête.. Imagé c’est un exercice délicat n’est ce pas ? Le problème est sa durabilité et l’inéluctabilité des lois de la physique.
Macron. Méritons-nous ce genre de président et de classe politique ?
Réponse : Oui, il s’est trouvé suffisamment de personne qui ont daigné voter pour lui et deux fois de suite en plus. Je n’ose même pas évoquzer les dernières législatives.
Donc oui ont le mérite. « Ils » n’ont pas pris le pouvoir on leur à donné, nuance, ne l’oublions pas.