Je n’ai pas suivi cette cérémonie, pourtant nous avons été abreuvé sur les ondes de nouveauté la concernant. J’étais convaincu que c’était mamie Vartan qui avait gagné ?
C’est dans les vieux pots que l’on fait la meilleure soupe non ?
Tout d’abord mes bons voeux pour cette nouvelle année
« La gestion des risques occupe une place prépondérante dans les organisations et les institutions. »
A ce propos je dirais oui et non, la technique de gestion des risques n’existe que pour limiter les conséquences ou l’impact de ces derniers sur n’importe quelle choses, actes, etc..
Maintenant tout dépend du domaine et de la nature du risque étudié. Il n’y a dans cette gestion aucune peur, crainte ou autres, simplement une évaluation rationnelle du risque en trouvant surtout son origine.
Pour avoir pratiqué longuement cette gestion et c’est très intéressant par les les découvertes, j’ai remarqué qu’il y a toujours un sujet qui revient, l’argent et ce même dans le domaine de la sécurité/prévention, ou certes l’aspect impact sur l’individu est notable et pris en compte, toutefois le combien ça peut coûter (le fameux bénéfice/risque) peut amener l’entreprise à certains changements.
Pour ce qui concerne le domaine financier que je ne connait pas trop, il est clair que l’on peut rapidement sombrer dans la paranoïa conduisant à identifier le risque du risque. Me rappelant les propos d’un financier à propos de la Bourse et tout ce qui gravite autour, le petit monde de la finance. Ces derniers ne connaissant véritablement que deux états la panique et l’euphorie. Je vous laisse imaginer une analyse alors qu’ils se trouvent dans le premier état.....
Oui il y aura toujours un certain chômage « structurel » dû aux orientations économiques prises par les « politiques »
« Mais ça fait aussi partie de notre projet de société de le prendre en charge le temps qu’il se forme, »
C’est un des raisonnements qui conduit aussi à maintenir un « taux » de chômage. Nous ne sommes pas dans monde de « spécialistes » pour chaque domaine. C’est comme si le mot polyvalence était banni. Bien sûr que certains métiers nécessitent des connaissances approfondies, mais ce ne sont pas ceux la, qui peuple le « chômage », loin de là. Il faut cesser de croire que nous ne pouvons exercer qu’un métier, qu’une seule profession. Pendant plus de 40 ans, j’ai exercer différents métiers dans un corps d’activité, tous à l’antipode des mes « études ».
Bref, chaque individu à des compétences, je vous invite à consulter le répertoire ROME, pour cela, vous constaterez une logique diabolique, mais bien réelle, ce qui fait souvent dire que les emplois proposés ne sont pas en rapports avec la formations, les études, etc.. Par exemple, nantis d’un bac+5 quel qu’en soit la spécialité, vous êtes tout à fait capable d’exercer le métier de boulanger, de manoeuvre, ou autres, voir même d’autres choses nécessitant un « effort » intellectuel, mais différent. Il est clair que l’on préfère exercer un des métiers en rapport avec ses « études », mais quand ces derniers sont sur le déclin, que les places sont chères, que le recruteur ayant le choix de prendre que ceux dont le taux de réussite est le plus élevé possible, il faut se faire une raison.
Nos diplômes ou expériences ne devenant que l’exemple d’un savoir faire, transposable dans bien d’autres domaines, à condition et c’est là que ça pose problème. A condition donc, d’avoir d’abord confiance en ses capacités et surtout de le vouloir, d’arrêter de se dire j’ai fais des études ou j’ai travaillé pendant x années et je ne sais faire que cela. Foutaise !
La polyvalence est une notion à mon sens qui devrais être plus recherchée, trader hier, laitier demain, certes le salaire n’est pas le même. C’est contraint par la suspension des « indemnités » que l’exercice d’un autre métiers se fait.
Bon article, je ne suis pas d’accord avec toutes les solutions que vous proposez, certaines me paraissant utopiques. Les théorisations du temps de travail et comparaison avec Pierre, Paul ou Jacques me paraissant toujours inappropriées, je pense par une non prise en compte d’autres paramètres, toutefois elles ont un but culpabilisateur parfaitement recherché.
Le fameux partage du temps de travail étant plus idéologique qu’autre chose à mon sens.
La notion du sens du travail à bien changée aujourd’hui, la définition en est « normalement » : Le travail, c’est produire un effort et percevoir une rémunération en échange.
Ors dans cette phrase il y a un mot qui aujourd’hui qui gène c’est celui « d’effort » avec toutes les conséquences associées, certes il peut être fait par plaisir ou non, vous l’avez écrit. Je pense que dans notre société ou l’individualisme est exacerbé, par tout un tas de théories à mon sens contre-nature, dénature le comportement de vie en société. Mais cette théorie est excellente d’un point de vue économique.
Je vous suis parfaitement sur la question du chômage, toutefois il est nécessaire à mon sens de maintenir l’affaire, car le « travail » d’aujourd’hui est plus aléatoire qu’hier, le nombre de « victime » étant plus fréquent quoique les « statistiques » en disent. Cependant ce système devrait être modifié de fond en comble pour être plus juste et contraignant aussi. Il y a des anomalies incroyables, il est inadmissible par exemple qu’un chômeur gagne plus dans son statut que celui d’actif, cela ne favorisant pas réellement le fameux « retour à l’emploi ». Le fameux « chômeur » oubliant qu’il ne cotise pas pour sa retraite, ce qui est anormal déjà, cette cotisation changera la donne au sujet des fameuses « allocations ».
Le sujet du « chômage » est vaste et le résoudre sans parti pris, sans notion politique non plus, me semble délicat.
Toutefois je suis entièrement d’accord avec la conclusion de votre article, qui en fait décrit l’essence de nos problèmes actuels dans beaucoup de domaines.