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leneant

Un citoyen parmi d'autres

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  • Premier article le 21/11/2006
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Derniers commentaires



  • leneant 23 juillet 2007 14:41

    Je n’ai pas étudié le tissu industriel allemand. Mais j’ai cru entendre dire que leur industrie réalisait en majorité de l’assemblage. Si c’est réellement le cas en fonction de la provenance des produits importés, leurs coûts diminuent de façon non négligeable avec la hausse de l’Euro. Mais même à terme, puisque l’assemblage en Allemagne nécessite de la main d’oeuvre allemande et des outils d’assemblage en Allemagne, cela ne devrait pas suffire à protéger indéfiniment l’économie Allemande.

    D’un autre côté, les produits Allemands sont reconnus pour leur technicité et leur fiabilité et la qualité de leur achèvement. Tiens ca me fait penser à un positionnement axé sur la qualité produit pour lequel le prix n’est pas un critère prépondérant dans la décision d’achat...

    Mais attention, ce ne sont que des suppositions, il faudrait étudier en profondeur la production et l’économie Allemande.



  • leneant 23 juillet 2007 14:33

    Leneant : "Mais rien ne garanti que le nouveau positionnement sera adapté à celui de la demande."

    NPM : « C’est pour cela qu’existe et qu’est si important le marketing.. »

    Il ne faut absolument pas négliger l’apport d’information et de connaissance qu’apportent ces techniques. Aller sur un segment ou un positionnement au pif n’est pas sans risque.

    Leneant : "L’objectif n’est pas tant de se différencier des autres productions, mais de trouver un positionnement et un segment favorables et axés sur les atouts des entreprises."

    NPM : « Non, il faut se différencier, évidement dans un segment rentable, mais il faut se différencier. »

    Tout dépend ce que vous appelez « se différencier » et tout dépend du marché, du segment, du positionnement et de la demande.

    Si la demande n’existe pas pour un produit différent, essayez de vous différencier et on en reparlera après. Dans un positionnement « efficience opérationnelle », la différenciation telle que je comprend comment vous l’entendez n’est qu’un élément. Il n’est pas le plus important. Avant de ce différencier, il faut être au niveau de la demande et de la concurrence en terme de prix. Ensuite, la différenciation pourra jouer.

    Leneant : "Un positionnement sur lequel le prix est prépondérant est défavorable pour les entreprises qui exportent et dont la devise est forte (à cause de composante non importée de leurs coûts). Leur intérêt est de trouver un positionnement adapté à une demande pour lequel le prix n’est pas primordiale."

    NPM : "Oui, mais la c’est facile en parole, impossible dans la réalité (à moins de fermer l’usine et de délocaliser !)."

    C’est effectivement une solution. Mais d’autres existent. Améliorer les processus en faisant porter les efforts de l’entreprise sur les axes d’amélioration que optimiseront les coûts. Mais ce n’est pas le fond de ce billet. Néanmoins, il y a été fait allusion à deux reprises. Pour plus d’information à ce sujet je vous orienterais vers le « balanced scoreboard » (http://en.wikipedia.org/wiki/Balanced_scorecard) qui traite de ces aspects.

    Leneant : "Sans compter qu’il faut pouvoir payer des études afin de déterminer le positionnement de la demande et de la concurrence. Seuls les groupes d’une certaine ampleur peuvent avoir ce niveau d’étude. Les petites ou les petites moyennes entreprises n’ont probablement pas les moyens d’avoir accès à de telles informations ni la capacité pour les étudier et pour en extraire des projections."

    NPM : « C’est pourtant le boulot principal d’un patron ! »

    Pour quelles entreprises ? Toutes ne sont pas sur le même pied d’égalité. Et ce n’est pas le boulot principal du patron. C’est juste une part de son travail.

    Je vous propose de regarder le tableau suivant de l’INSEE (http://www.insee.fr/fr/ffc/chifcle_fiche.asp?ref_id=NATTEF09203&tab_id=219) pour comprendre le problème. Presque 93% des entreprises Française emploient moins de 10 salariés. Expliquez moi, comment de telles structures peuvent mettre en place ce type d’étude ?



  • leneant 23 juillet 2007 13:19

    L’objectif peut être de se différencier des autres productions. Mais rien ne garanti que le nouveau positionnement sera adapté à celui de la demande.

    L’objectif n’est pas tant de se différencier des autres productions, mais de trouver un positionnement et un segment favorables et axés sur les atouts des entreprises.

    Un positionnement sur lequel le prix est prépondérant est défavorable pour les entreprises qui exportent et dont la devise est forte (à cause de composante non importée de leurs coûts). Leur intérêt est de trouver un positionnement adapté à une demande pour lequel le prix n’est pas primordiale.

    Mais détrompez vous, même dans de tels positionnements, sauf en cas de monopole, la concurrence existe.

    Il s’agit simplement de ne pas intervenir sur des segments et des positions défavorables car axées sur les faiblesses des entreprises.

    Concernant l’autre partie de votre remarque, il n’est pas toujours simple d’anticiper sans avoir une connaissance des marchés, des segments et des positionnements. Le « y’a qu’a faut qu’on » est facile mais la mise en pratique est complexe. Les modèles présentés sont simplifiés. Sans compter qu’il faut pouvoir payer des études afin de déterminer le positionnement de la demande et de la concurrence. Seuls les groupes d’une certaine ampleur peuvent avoir ce niveau d’étude. Les petites ou les petites moyennes entreprises n’ont probablement pas les moyens d’avoir accès à de telles informations ni la capacité pour les étudier et pour en extraire des projections.

    Tout cela nécessite des moyens.



  • leneant 17 décembre 2006 23:03

    Vous avez en partie raison...

    La demande des consommateurs est aujourd’hui insufisante. Mais comment pourrait-elle évoluer si les consommateurs ne sont pas informés ou sont mal informés. Et j’ajouterais que beaucoup d’utilisateurs de micro informatique n’ont pas la même utilisation, ni les mêmes désirs d’utilisations de l’informatique que vous.

    Donc je suis d’accord que pour vos besoins la façon dont vous vous dotez en informatique est la bonne solution. Mais ce n’est pas la bonne pour une grande partie des consommateurs.

    Sinon, faites un tour chez mandrake ou chez keynux ou encore mieux chez boostore de carrefour. Mais qui connait ses adresses aujourd’hui ? Telle est la question. Pour avoir le choix, il faut connaitre plusieurs choses : 1- l’existance des produits tiers ; 2- la connaissance des adresses où s’approvisionner ; 3- avoir la chance de tomber sur la configuration matérielle qui correspond à ses besoins.

    Celà fait beaucoup de critères pour que le choix soit aisé. Certe il est possible, mais il est extrèmement réduit en quantité comme en accessibilité.



  • leneant 16 décembre 2006 21:52

    Reflexion d’une autre époque, celle ou les portables étaient l’exception et non la règle.

    Aujourd’hui les ventes des portables équivallent, voir dépassent, les ventes de fixes : http://www2.ademe.fr/servlet/getBin?name=2F6BDF6552C21DF74BE357A1AAF1DC171143727214690.pdf

    Alors vous ne pouvez laisser de côté la moitié des consommateur avec cette simple reflexion.

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