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leneant

Un citoyen parmi d'autres

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  • Premier article le 21/11/2006
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Derniers commentaires



  • leneant 16 décembre 2006 21:30

    « C’est aussi au consommateur de faire le pas... »

    Nous sommes d’accord. Il est nécessaire que la demande soit suffisante.

    Seulement, le fait de conserver le même système que celui du travail ne concerne pas tout le monde et certainement pas la majorité.

    Je ne pense pas que les étudiants soient dans ce cas. Ils utilisent M$ pour certaines raisons et Mac OS X par choix. La différence entre M$ et Mac OS X c’est que Mac OS X est un réel choix. Par contre une machine Microsoft correspond elle à un choix sur l’OS ou est-ce simplement un choix sur la configuration matérielle avec certaines fonctionnalités.

    Mais à part ceux qui font des études dans le domaine de l’informatique ou qui sont en contact avec des membres de la communauté pourquoi choisiraient-ils entre 3 univers différents et pas seulement deux ?

    Ils ne le feront pas car ils ne seront pas informés sur l’univers de linux. Ils en auront, s’ils le connaissent, que l’image qui est celle des débuts : Un OS dédiés aux seuls spécialistes et qui nécessite des connaissances poussées pour pouvoir être utilisé.

    Si ce n’est pas un manque d’information ou une mésinformation, je ne sais pas ce dont il peu s’agir d’autre ?

    Un exemple, à titre personnel, lorsque j’ai renouvelé mon ordinateur il y a plusieurs années, je désirais passer dans l’univers MAC. Mais le prix ma rendu son accès impossible. Alors je suis resté dans l’univers Microsoft par « sécurité » et peur de ne pas être à la hauteur pour utiliser un OS Linux. Mais par curiosité, j’ai recyclé mon ancienne machine pour tester linux. Depuis bons nombres d’années ont passées et maintenant je possède plusieurs machines sous Microsoft et sous Linux. J’utilise Linux quotidiennement et ça ne me pose que de très légers problèmes mineurs d’inter opérabilité avec les machines Windows.

    Certe le passage de l’univers Windows à l’univers Linux a nécessité des changements d’habitudes. celà pris quelque temps. Mais rapidemment je n’avais plus besoins d’utiliser l’environnement Windows pour toutes mes activités informatiques personnelles. Et pour ceux qui peuvent se poser des questions, je peux dire que je ne fais presque pas d’administration. Je dois utiliser la ligne de commande 3 ou 4 fois par an maximum.



  • leneant 15 décembre 2006 14:42

    Espérons que celà évitera une redite de l’histoire telle que celle de BeOS : http://fr.wikipedia.org/wiki/Beos#...puis_Microsoft

    Le débat, effectivement, va au delà de la lutte M$ Linux. Le problème fondamental est celui d’une économie de renouvellement.

    Dans le cadre d’un marché de dotation (première acquisition) il n’est pas nécessaire de devoir imposer l’OS. Faute d’expérience, les utilisateurs sont demandeurs de telles solutions. Ensuite vient l’économie de renouvellement. Dans ce cadre, l’intérêt des éditeurs et de vendre leurs logiciels avec l’achat de matériel. l’expérience des utilisateurs à évoluée. Insatisfaient, ils peuvent s’orienter vers la concurrence. Il n’est pas certain que la fidélité soit la principale caractéristique des utilisateurs de produits informatiques.

    Dans certains cas, de nouvelles versions des logiciels apparaitront avant qu’il soit nécessaire de renouveler le matériel, des fois non. Dans le second cas, il est IMPORTANT pour les éditeurs que leurs logiciels soient associés à de nouveaux ordinateurs vendus.

    Soient ils sont compris dans le prix, soit ils sont en version d’évaluation ou avec une période d’utilisation offerte qui nécessitera une opération commerciale à la fin de la période pour rester fonctionnels.

    Ce sont des moyens courants qui permettent d’assurer un certain niveau de vente dans le cadre d’un marché de renouvellement.

    Autre point c’est la maîtrise de la concurrence. Les efforts de développements sont moindre dans le cas d’un marché monolitique ou la concurrence n’est pas féroce. Et c’est tout à l’avantage des éditeurs. Ils peuvent répartir leurs efforts d’innovation et de développement sur un nombre d’années plus important et en se finançant sur la rente de leurs produits achetés en association avec de nouvelles machines.



  • leneant 15 décembre 2006 14:17

    Je commence mon commentaire par une évidence : Tout consommateur ayant acheté un ordinateur ces dernières années, a été confronté à la vente liée, qu’il le sache ou non.

    Il est possible d’y échapper en allant vers des assembleurs. Mais dans ce cas, les points de distributions sont plus restreints et il n’est pas toujours possible d’acquérir le matériel voulu.

    Le problème est plus sensible sur les segments des ordinateurs portables de bureautique, de jeux, de multimédia, les ultra portable...

    Ce qui est en jeu, c’est la liberté du choix du consommateur. Ainsi que la mise en concurrence directe des différentes offres logicielles, systèmes d’exploitation compris.

    Un exemple simple, qui peut être à l’avantage de la « vente liée » ou non (c’est juste une question de point de vue), est celui de l’acquisition de plusieurs machines au sein d’un même foyer.

    Aujourd’hui, avec la dotation en ordinateurs des foyers, beaucoup d’entre eux possèdent plusieurs machines.

    Premier point de vue : Plutôt que d’acquérir des boîtes honéreuses par machine, la fourniture de configurations logicielles OEM permet aux foyers de diminuer le coût global des logiciels. Mais ceci est vrai dans l’optique d’1 licence d’utilisation par logiciel.

    Second point de vue : Plutôt que d’acquérir des logiciels avec une seule licence d’utilisation, il est moins coûteux d’acquérir des licences multi-utilisations qui ne limitent pas l’usage des logiciels.

    Ce second point de vue s’oppose complètement au premier et à l’actuelle situation de la vente liée.

    Certains préfèreront le premier point de vue pour certaines raisons, d’autres, préfèreront le second point de vue, pour d’autres raisons.

    Quel consommateur peut s’arroger le droit de statuer que le second point de vue est marginal et ne doit pas être considéré ?

    Même si le second point de vue n’est pas celui de la majorité, quel jugement autre que celui de valeur, permet de dire qu’il n’est là que faire « chier » la majorité ?

    Les utilisateurs avertis de Windows ont leurs raisons de préférer cet OS, Les utilisateurs avertis de MAC OS ont leurs raisons d’utiliser MAC OS et les utilisateurs avertis de Linux ont leurs raisons pour utiliser cet OS. Mais les utilisateurs non avertis quelles raisons ont-ils pour utiliser Windows plutôt que MAC OS ou Linux ou freeBSD ou... ? La réponse est : « La vente liée » et le manque d’information.

    Au delà de ces points, pourquoi les raisons des uns seraient meilleures que les raisons des autres ?

    Pourquoi, les uns ont tant de mal à trouver une réponse adaptée à leurs besoins (sans payer un pack logiciel imposé) ?

    Effectivement, des raisons historiques et économiques peuvent expliquer la situation. Mais ces raisons sont à l’avantage de qui ? En tout cas elles ne sont pas à l’avantage de ceux qui adhèrent au second point de vue.



  • leneant 7 décembre 2006 09:17

    Bonjour,

    Je constate que bons nombres de réactions traitent du thème des assembleurs et de Linux.

    Il faut savoir que si des machines assemblées peuvent être dotées de Linux, c’est en grande partie grâce à la communauté du libre qui permet de maintenir de telles distributions.

    Certes ils existent suse et mandriva qui, en tant que professionnels, proposent des distributions commerciales aux particuliers.

    Néanmoins, en dehors du système propre aux logiciels libres le raisonnement économique de cet essai est valable. Il suffit de regarder le passé et l’histoire de BeOS.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/BeOS#...puis_Microsoft

    Surtout qu’en dépît des commentaires, si vous n’êtes pas un minimum initié et informé, vous n’irez pas chez un assembleur.

    De plus les assembleurs permettent effectivement d’obtenir un serveur ou une machine de bureau spécifiques dans un budget précis, mais qu’en est-il des portables ?

    Une autre question : Le marché actuellement est-il plus profitable aux ordinateurs de type fixe ou aux ordinateurs de type portable ?

    Autre chose sur laquelle aucun commentaire n’est fait c’est l’obligation de renouveller bons nombres de licences avec l’acquisition de nouvelles machines. Et je ne parle pas des licences pour des logiciels libres, mais des licences de logiciels sous OS Microsoft, par exemple.

    Dans un tel cas, si un utilisateur désire renouveller son matériel il est contraint d’acquérir de nouvelles licences, même en passant pas un assembleur. Soit il acquière des licences OEM pour réduire le coût d’acquisition de celles-ci, soit il acquière des licences pour les versions boîtes qu’il pourra réutiliser sur une nouvelle machine au moment du renouvellement de son matériel. Mais dans les deux cas, il est contraint de renouveler les licences. Par contre, effectivement au prochain renouvellement, S’IL TROUVE LA CONFIGURATION MATERIELLE ADEQUATE SANS OS, il ne sera pas contraint d’acquérir une nouvelle fois des licences pour les mêmes logiciels. Mais ce raisonnement est essentièlement valable pour des postes fixes et des PERSONNES INFORMEES. Il l’est beaucoup moins pour des postes portables et des personnes qui ne sont pas informées. Je le répète en tant que non spécialiste, il est difficile de trouver des distributeurs d’ordinateurs portables sans OS préinstallés.

    Ainsi, automatiquement les ordinateurs sans OS sont moins accessibles (en terme de points de distribution) que les ordinateurs préinstallés. Ce qui mathématiquement limite le marché potentiel pour de tels matériels et qui protège les autres types de matériels/logiciels d’une certaine forme de concurrence.

    Autre point, l’affichage est l’information du consommateur. Pourquoi les conditions d’utilisation et les droits d’utilisation accordés aux utilisateurs avec les licences fournies ne sont ils pas explicitement et clairement affichés ?



  • leneant 1er décembre 2006 09:03

    Bonjour,

    C’est surtout pour çà, qu’à mon sens il ne s’agit pas d’inflation, mais d’augmentation des coûts de budgets.

    Un exemple, à titre personnel, dans mon budget, le poste essence varie d’un mois à l’autre. Le budget remboursement des emprunts reste fixe, le budget approvisionnement reste fixe (même si des produits augmentent, d’autres stagnent ou diminuent du fait de prommotions ou de baisse de prix -les télé par exemple-), le budget électricité augmente, le budget impôts diminu (sur l’année), le budget taxe locale augmente fortement, le budget téléphone, internet etc ne bougent pas...

    Donc il n’y a pas inflation, mais diminution du pouvoir d’achat du fait essentiellement de l’augmentation du prix de l’essence et des taxes locales. Mais ce n’est pas pour çà, que j’ai constaté une inflation.

    Par contre, un pari qu’il est presque certain de gagner, c’est de dire qu’avec l’augmentation du prix du pétrole il risque bien d’y avoir une inflation. Pourquoi, la quasie totalité de nos productions se base sur la consommation du pétrole. Le transport des marchandises, des produits intermédiares et des produits finis sont dépendant de cette énergie. Donc les coûts de productions et de transports vont augmenter. Les marges des sociétés vont diminuer à moins qu’elles ne répercutent ces coûts dans leur prix. Ainsi une augmentation généralisée des prix est à prévoir. Ce qui, du point de vue monétaire, constitue une perte de la valeur d’échange de la monnaie. Sauf qu’avec l’Euro fort et comme les règlements sont libellés en dollars, le coût d’importation du pétrole va diminuer et peut être compenser l’augmentation de son prix. Sauf si les producteurs de pétrole sont tentés d’abandonner le dollar comme devise d’échange au profit de l’Euro. Là on est mal et tout le monde est mal surtout ceux qui ont indexé leur devise sur le dollar. Mais c’est un autre sujet.

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