Utlle rappel de ce qui s’est passé lors de la canicule de 2003, oû on a pu voir ce que la haute technologie nucléaire est capable de bricoler devant un problème pourtant prévisible !
A Olivier,
Oui Olivier, mais M. Krolic ne nous a malheureusement pas fait connaitre son opinion hautement autorisée concernant la solution par l’utilisation des éponges. Je crains donc d’être obligé de devoir me passer , hélas, de son approbation.
Le problème de l’annulation de la rotation terrestre en cas d’utilisation irresponsable de l’énergie marémotrice soulevé par M.Krolic me parait pourtant suffisamment grave pour qu’on ne se penche sérieusement sur toutes les solutions susceptibles de l’éviter : de la diminution optimisée du moment d’inertie de la Terre jusqu’à l’emploi subséquent et rationalisé des éponges.
A MM.Krolic et Cabanel
Je vois que le grand projet technologique de réduire le moment d’inertie de la Terre a l’assentiment du monde savant ce qui est très encourageant.
Je retiens l’idée de M.Krolic de positionner les résidus dans l’Antarctique plutôt que dans l’Arctique.
Il demeure quand même un sérieux problème : si peu que ce soit, ces résidus émettent un rayonnement dont l’énergie serait dissipée dans les glaces polaires et les ferait fondre. Alors que faire ?
Une suggestion à prendre pour ce qu’elle vaut :
Il suffirait de larguer dans l’Océan un nombre approprié d’ éponges grâce à un pont aérien conséquent, afin d’absorber l’ eau liquide générée par la fonte des glaces polaires. Le procédé est aussi et à l’évidence une arme contre les conséquences du réchauffement climatique.
On le voit clairement, la haute technologie a toujours réponse à tout !