Si effectivement le LEM est en alu, ce que dit la pub de la nasa pour
les naifs de la theorie du « oui ils y sont allés » on se demande pourquoi
ils sont tous revenus indemne et aucun n’est mort d’irradiation.
Parce que l’ alu, c’ est très très résistant, et que le LEM était très fiable et très confortable. Regardez nos héros à leur retour : http://history.nasa.gov/alsj/a11/ap11-KSC-69PC-429.jpg On dirait des mecs qui reviennent d’ une semaine en thalasso. C’ est bien la preuve qu’ aller sur la lune, c’ était très sûr et absolument pas éprouvant, et encore moins dangereux.
Quelques extraits, ça vaut le détour : NASA’s
Vision for Space Exploration calls for a return to the Moon
as preparation for even longer journeys to Mars and beyond.
But there’s a potential showstopper : radiation.[...]Finding a good shield is important. On s’ en doute... NASA scientists are investigating
many radiation-blocking materials such as aluminum, advanced
plastics and liquid hydrogen. Each has its own advantages
and disadvantages. Ils en sont donc à rechercher des moyens pour bloquer les radiations... tiens donc... ils ont besoin de réinventer la roue ? Pourquoi ne pas réutiliser la merveilleuse technologie qui avait si bien fonctionné avec Apollo 11 ? La méthode qui semble tenir la corde est celle du champ électrique : http://science.nasa.gov/media/medialibrary/2005/06/11/24jun_electrostatics_ resources/base.jpg Avec ça, on devrait pouvoir être à l’ abri sur une future base lunaire. Et encore, c’ est pas certain : les crânes d’ oeufs de la Nasa « are still searching for the best arrangement » de sphères magiques, mais il y a de l’ espoir : "We’ve
already simulated three geometries that might work,« Ca pourrait marcher.. peut-être... éventuellement... Cerise sur le gâteau, il pourrait même y avoir des modèles portables pour les buggys, ce qui permettrait de se déplacer sur l’ astre lunaire en toute sécurité ! : http://science.nasa.gov/media/medialibrary/2005/06/11/24jun_electrostatics_ resources/portable.gif
Avec ça, l’ avenir de la conquête lunaire s’ annonce radieux pour la Nasa : »who knows, perhaps one day astronauts
on the Moon and Mars will work safely" Une sorte de retour à un âge d’ or perdu, oublié par la Nasa depuis près de 40 ans...
Je ne sais pas si 2001 a servi de couverture pour tourner les images d’ Apollo 11, mais il a servi de toile de fond idéologique à un bon paquet de sectes soucoupistes ou/et lucifériennes. La plus tristement célèbre étant l’ OTS. Si Kubrik a mis en scène ses tiraillements intérieurs à propos de 2001 dans Shining, cette piste occultiste n’ est pas à écarter. Il est possible que 2001 ait rempli deux objectifs : servir de couverture pour filmer les images du hoax et être une sorte de manifeste du luciférianisme des temps modernes. C’ est d’ autant plus vraisemblable que s’ il y a bien eu un moon hoax, il a forcément été mis en oeuvre par le contre-espionnage US, et que les sectes lucifériennes, templières et/ou rosicruciennes sont depuis la nuit des temps des couvertures pour les services secrets anglo-saxons ( de John Dee à Crowley,cf aussi l’ OSS créé par des bonesmen, ou encore l’ OTS qui était quasi-certainement une des branches françaises des réseaux Gladio etc. etc. ). Les mêmes personnes lui auraient alors demandé de faire d’ une pierre deux coups... « Du rituel orgiaque de la société secrète d’Eyes Wide Shut à l’esquisse de programmation Monarque figurée dans Orange mécanique, des plans de l’élite du Dr. Folamour à la pédophilie latente qui transparait dans Lolita ou A.I. Intelligence artificielle (dont Kubrick avait signé le scénario),chacun des films du réalisateur semble décliner un thème cher aux détracteurs de la mythologie illuminati. » Ilaurait falluciter 2001, son film le plus clairement « illuministe »... Quoique Spartacus, le pseudonyme d’ Adam Weishaupt au sein de l’ Ordre des illuminés de Bavière, aurait pu trouver sa place en haut de votre liste des films de Kubrik mettant en scène la « mythologie illuminati » comme vous dites :) Finalement, Shining est peut-être son film le moins imprégné de cette idéologie ( quoique la seule présence de Nicholson, le young turks propriétaire de la maison du vice sur Mulholland drive, pourrait laisser penser le contraire :o ).
Je pense que Dieudonné est manipulé par les sionistes. Ces derniers ont absolument besoin d’ épouvantails pour mobiliser la communauté autour du projet commun, et Dieudonné est tout simplement parfait dans ce rôle. Le harcèlement judiciaire dont il fait l’ objet, ou son agression par les nervis du Betar font probablement partie d’ une stratégie dont l’ objectif est de le pousser à la radicalisation. La seule véritable question est de savoir s’ il est conscient ou non d’ être instrumentalisé. Le cas Dieudonné est d’ ailleurs très proche de celui d’ Alain Soral, lui aussi ostracisé, harcelé judiciairement, et agressé par les sicaires en herbe du Betar ( ou LDJ ? Je sais plus ). On obtient un autre épouvantail particulièrement utile pour focaliser les énergies des pro-sionistes actifs. Idiots utiles ou idiots tout court ?
Ou s’ agit-il d’ agents provocateurs conscients de rouler pour le sionisme par leur activisme de façade ? La question mérite d’ être posée, surtout quand on pense au parcours de tous ces ex- trotskards radicaux, ex-maoïstes fanatiques, soi-disant farouchement opposés à l’ impérialisme US, et qui se sont révélés être des agents américains stipendiés dès le début.
Le cycle de Fondation d’ Asimov, où l’ oligarchie scientifique des psycho-historiens dirige dans l’ ombre, est plus intéressant que celui des robots, en matière d’ anticipation politique. Il est aussi plus proche de l’ univers du Meilleur des mondes, qui est, comme Fondation, une tentative de description de « l’ âge positif » comtien, où les élites scientifiques détiennent le pouvoir. La différence entre les deux romans tient au fait que dans le Meilleur des mondes, ce pouvoir repose sur le contrôle direct et totalitaire exercé par les ingénieurs sociaux sur les masses, tandis que dans Fondation, le pouvoir des psycho-historiens tient à leur capacité à prévoir les mouvements des masses et donc à les orienter.
La notion de bonheur dans le Meilleur des mondes est directement issue de l’ utilitarisme à la sauce fabienne. On ne peut pas comprendre Huxley sans évoquer ses rapports avec la Fabian Society, le think tank inspirateur du Labour anglais.
Des commentaires ci-dessus évoquent The doors of perception. Huxley a plongé le soma du Meilleur des mondes dans une bouillie où se mêlent l’ utilitarisme fabien ( bonheur personnel ) et le positivisme comtien ( savoir-pouvoir, notion qui remonte à Platon, et que Foucault n’ a fait que reformuler ). Huxley est le père intellectuel, l’ idéologue du mouvement psychédelique ( le groupe The Doors, du fils de l’ amiral Morrison qui commandait l’ opération sous faux drapeau du golfe du Tonkin, tire son nom du bouquin de Huxley ) ; Tim Leary avec son « turn on, tune in, drop out » n’ était qu’ un militant de terrain, un publicitaire creux qui se contentait de balancer quelques slogans ( assez catchy, il est vrai ).