Il existe une solution bien plus simple que les guerres, civiles ou autres, ou la récession ou la crise ou les déficits de la Sécu ou des retraites : Personne n’en a parlé, surtout pas les experts de service, ni les politiciens de service, ni les journalistes mercenaires : c’est de taxer plus fortement la richesse. Et de la surveiller : çà ne doit pas être bien sorcier de surveiller les mouvements bancaires, où les biens au soleil. Et de taxer encore plus fortement l’argent mal acquis dans les hedge funds et autres fonds spéculatifs. Pourquoi, cette incompréhensible omerta ? Quelqu’un pourrait-il expliquer ?
Merci à l’auteur C’est beau, ces tranches de vie. Bravo à l’auteur qui a décelé l’aptitude de Marcel à maintenir en place tous ses organes essentiels, y compris ses idées sur le bon choix. Puissions tous avoir quelque chose de son quotient d’intelligence... Le veinard !
Après cet excellent article, rien à dire. Sauf qu’il décrit des évènements largement prévus par tous les hommes libres : l’Irak est détruit, mais renaîtra de ses cendres. Il faut simplement que l’Amérique et ses alliés retirent tous leurs soldats de là-bas, jusqu’au dernier. Dans la mentalié arabe, pour ceux qui ne la connaissent pas, il n’est pas question que l’Amérique et l’Occident profitent de leur invasion de l’Irak. Donc des événements normaux et tout à fait prévisibles. Dans la stratégie militaire également, tous les soldfats, résistants, terroristes et hommes armés du monde entier ont réalisé de manière aigüe que si l’Amérique a le pouvoir de détruire, elle n’a plus celui de vaincre, ni d’occuper, ni de profiter durablement de ses guerres, comme cela a a été le cas au Japon et l’Allemagne vaincus en 1945. Cela se vérifie encore aujourd’hui en Afghanisan, au Pakistan, dans quelques jours, au Yemen, en Somalie. Et ... moins probablement en Iran, mais tout est possible. Les rêves de guerres suivis d’occupation-colonisation et contrats mirifiques sont devenus des rêvs fous et... couteux en mercenaires, armées de métiers, armées privées et armements sophistiqués et très couteux également, sont des rêves irréalisables. Et, en termes économiques purs, des invetissements massifs aux retours aléatoires et hautement risqués.
D’une manière ou d’une autre, il faut toujours se méfier d’un pouvoir unique qui ne peut pas être contrebalancé par d’autres pouvoirs ou forces. A ma souvenance, c’est un principe élémentaire de démocratie.
S’en remettre à l’ICANN est déjà un autre abandon de souveraineté.
Il faut tirer les leçons de la crise actuelle qui n’est survenue que
parce que les Etats ont, au nom du respect de la liberté de circulation
des capitaux, transféré leur souveraineté financière à des escrocs,
traders et autres banksters qui hantent cette main invisible
vertueusement désignée sous le joli terme de « marché ».
On a froid dans le dos, quand on pense que les Etats Unis, qui dominent le monde actuellement ont, à leur tour été dominés pendant huit ans par les néoconsqui sont en train d’entraîner la planète dans une guerre sans merci. Et il n’est jamais bon qu’un tel pouvoir soit à la portée de n’importe qui. Ici, la technique et la science des réseaux n’ont absolument rien d’innocent. AU CONTRAIRE.
Les chinois, les indiens ont le droit de se défendre, les autres peuples également, contre cette liberté à la petite semaine qui permet au plus dominant de contrôler à sa guise grâce à sa seule supériorité et avance techniques (sans autre contrôle extérieur) le système financier ou communicationnel mondial.
La logique et la bonne foi auraient voulu qu’il n’y ait pas d’inconvénient à envisager un réseau interconnecté, en sous réseaux, y compris jusqu’aux plus petites échelles, l’astuce se limitant à définir des indicatifs et sous indicatifs, même décimalisés, pour les Etats, régions ous sous régions. Comme cela se passe en matière téléphonique. Comme font d’ailleurs les banques avec lerus réseaux spécialisés.
Il faut absolument contrebalancer ce pouvoir américain exorbitant, par les Etats, des Organisations internationales, eles organisations régionalest même par des associations d’Internautes spécialisés et/ou indépendants et autres associations citoyennes dans le monde. C’est un légitime principe de précaution.
Laissons de côté les insanités de ceux qui ne
connaissent ni la Bible ni le Coran. Mais sincèrement, je trouve que le Coran
est en grande partie une compilation de la Bible et du Coran, avec des
inexactitudes. Je viens de relire des passages qui se trouvent sur Internet.
Le Coran n’est pas une compilation exacte de la Bible ou de
l’ancien Testament. Il en est une continuité et un aboutissement ainsi qu’une
correction définitive. Effectivement, si ce sont des messages monothéistes,
forcément l’un recoupe l’autre ou les deux dans certains passages, et même plusieurs.
Aucune gêne à le reconnaître. Mais là s’arrête le constat : parce que, par
ailleurs, le Coran diffère de la Bible en ce sens qu’il rétablit certaines vérités
relatives à ces livres bibliques : les quatre évangiles de Marc, Luc,
Mathieu et Jean ont attendu plus d’un siècle après la mort du Christ (Paix soit
sur lui) pour être canonisées par l’Eglise. La première d’entre elles, celle de
Marc (je crois) a été écrite un peu plus de 70 ans après. Tout cela a été
écrit, selon des traditions orales, 70 ans après. Parmi ces quatre, il n’y a
que Jean qui aurait connu Jesus. Laquelle de ces quatre versions est l’authentique,
et l’est-elle complètement ?
Ecoutez Leila, Dieu qui est infaillible ne peut tout de même
pas se tromper et se fourvoyer au point
de qu’il soit nécessaire de publier treize version différentes du nouveau
Testament dans lesquelles ont été joyeusement apportées des suppressions,
rajouts, modification et autres tâches d’indélicats correcteurs et reviseurs,
fussent-ils Saints.
Dans le Coran, Jesus n’est pas le fils de Dieu, pas plus que
Dieu n’est le père. Jesus, dont le Coran reconnaît la naissance miraculeuse,
est un homme comme un autre. Prophète, oui, Messager, Oui, mais fils de Dieu,
non. Si jamais cette assertion était vraie, alors tous les prophètes bibliques qui
l’avaient annoncé l’auraient su et annoncé en grande pompe. Selon le Coran, Jesus
non plus n’a pas été ressuscité puisqu’il n’a pas été crucifié, celui ayant été
crrucifié ayant été reconnu de nuit par Judas qui l’a dénoncé ainsi aux soldats
romans, venus l’arrêter par son baiser
fatidique à la veille de son procès. Après cette prétendue crucifixion, Jesus
est réapparu à ses apôtres, il a normalement vécu avec eux puis au quarantième
jour de cette date, il les a bénis, et a été enlevé au ciel. Voila ce que dit
le Coran qui ne reconnaît pas la divonisation de Jesus, pas plus que le Saint
Esprit, une création de l’Eglise ex-post et encore moins la divinité de la
Sainte Marie (Meriem à laquelle le Coran consacre une sourate entière).
Le fait est que le Coran reconnaît, comme je vous l’ai dit, tous
les prophètes bibliques, sans exception, il les honore et reconnaît leur
apostolat et leurs messages originels, lesquels se sont perdus dans les
méandres de la conjoncture de l’histoire juive biblique et les poches des
docteurs de la foi juifs. Ces messages ont donc été altérés, et on ne sait plus
ce qui en est authentique de ce qui est apocryphe ou de ce qui est rajouté.
Aussi, le Coran ne rejette pas les Messages de ces prophètes mais les versions
qui ont été données de leur apostolat, par les prêtres, églises, conciles,
synodes, docteurs de la foi, et autres effets de fumées blanches.
Vous conseillez aux musulmans de lire laBible et l’Evangile : d’accord, nous on
veut bien, mais laquelle ? Il y en a treize versions. Contradictoires les
unes par rapport aux autres. On n’a qu’un seul Coran, révélé par Allah (Dieu à
Mohamed) et authentifié du vivant de Mohamed, une seule version éternelle et
dont toutes les réimpressions sont contrôlées et authentifiées par les autorités
religieuses. Par précaution contre une réimpression malveillante d’un Imam
Illuminé ou d’un méchant néocons US ou Israélien.
Entre autres insanités contenues dans l’Ancien Testament,
celle que je dénonce relative aux massacres de populations entières, de
génocides soi disant ordonnées par Moise entre autres (Voir ma précédente intervention
en réponse à l’auteur de l’article). D’autres insanités ? L’ancien
Testament parle d’un prophète qui aurait forniqué avec ses deux filles et d’un
ou deux prophètes qui auraient livré combat à Dieu. Impossible de croire çà un
seul instant. C’est plus blasphématoire à leur égard, pire que les caricatures de
Mahomet commises par deux journaux (l’un danois et l’autre français) qui n’étaient
que des journaux sans pour si peu, se prendre pour des auteurs bibliques.
Enfin, pour votre conclusion, Mohamed n’a qu’une seule
justification : il n’est pas l’auteur du Coran et l’a
reconnu humblement à chaque fois qu’on lui posait la question. Et l’Auteur,
Allah (Dieu si vous voulez) n’a pas à se justifier.
Et vous pouvez toujours rester sceptique : je rends
cependant hommage à votre désir et votre effort pour essayer de comprendre l’Autre.
A toutes fins utiles, je vous suggère de lire des
traductions honnêtes du Coran, sans parti pris et de rejeter les traductions de
fumistes comme Rodinson ou Savary. Si vous voulez mieux comprendre l’Islam et
le Coran, je vous suggère également l’ouvrage de Maurice Bucaille, un homme de
Science français, qui a pris la peine d’apprendre l’arabe pour étudier les propositions
scientifiques du Coran et qui a, à cet
effet, publié son ouvrage, Le Coran la Bible et la Science (Les écritures
saintes examinées à la lumière des connaissances modernes). Editions Pocket Collection
AgOra.
Enfin, d’après ce que vous dites, ce que vous lisez dans l’Evangile
serait beaucoup mieux que le Coran ? Pardon là, vous ne comparez que des
traductions qui peut être manquent de pertinence ou de justesse. Allez, vous ne
savez pas ce que vous perdez si vous ne pouvez pas lire çà, en arabe, dans la
langue originelle du texte coranique !