Je me souviens, dans un documentaire sur France 5 d’’une série
consacrée aux villes américaines, avoir entendu cette horrible information qui
fait froid au dos que chaque ville américaine, Amérique du Nord comme du Sud,
est construite sur d’immenses fosses communes des amérindiens génocidés par les
conquistadors et autres colons européens.
Malheureusement je n’arrive pas à retrouver ce documentaire sur
internet. Il va falloir m’adresser directement à France 5.
@niberta – Mon post a été enlevé je ne sais
pas pourquoi. Je remets tout ce qui y était dit et même avec encore plus de
précision. Vous répondez à louphi en écrivant :« La société !!!, votre type de société bien à vous qui vous
favorise. ».
Louphi ne vise pas untypede société. Il parle de la société
tout court !La société en général et non pas tel ou tel type
de société ! Avant d’opter pourun
typede société particulier, il faut
d’abord quela société puisse exister, s’engendrer !
Pour louphi, il ne peut y avoir detypede société sans LA société d’abord ! La société avec
l’articleLAdevant. Ce qui est tout à fait exact.
Tout le combat contre les revendications sociétalistes des homos se résume là. Les revendications des homos attaquent la société, la base de tout type de société, la société même dans son existence. Louphi est parfaitement pertinent de mettre en relief le fait qu’il ne s’agit
pas de pointer l’homosexualité en soi qui est un phénomène érotique parasitaire
chez les humains quoique naturel, mais qu’il s’agit de pointer l’homosexualité en tant que psychologie, philosophie et mouvement politique, ce qui traduit la dépravation de l’esprit humain consistant à s’en prendre à la fondation de la société. En somme, la société n’a pas à promouvoir l’homosexualité son contraire. Au contraire, la société doit circonscrire l’homosexualité et le réduire à sa plus simple expression faute de pouvoir l’éradiquer complètement, étant un phénomène naturel.
Voilà j’espère que vous avez compris la position de louphi qui est
très pertinente et que je partage entièrement.
Votre article sur la libération par le Cameroun des otages de la
secte mahométane de Boko Haram est très instructif sur la situation politique
générale chaotique qui prévaut au Cameroun, pays dela
Françafrique complètement
et curieusement absent des radars médiatiques internationaux. Cette libération
des otages par le régime néocolonial de Paul Biya, tout comme le rapt de ces
otages lui-même, sont en effet suspects. Il n’y a qu’à suivre les commentaires
énigmatiques des médias français pour s’en rendre compte. Il y a là dedans
quelque part une supercherie.
Si le Cameroun est bien un pays qui n’existait plus ou un pays
fantôme, c’est seulement sur le plan des agitations, révoltes, guerres et
crises diverses qui secouent, ravagent le Continent et tournent en boucle
quotidiennement sur tous les médias du monde entier. Cette discrétion du
Cameroun au devant de la scène des événements médiatique vaut au Cameroun son
pendant d’oreille. En effet, le Cameroun est considéré sur la scène
internationale comme étant le rare pays encore calme en Afrique subsaharienne,
où règnent la tranquillité et la paix depuis les indépendances, un pays
prospère et stable économiquement et politiquement, en contraste avec la
situation catastrophique du reste du continent. Cette auréole est un masque
perméable qui n’empêche pas de humer la forte odeur de putréfaction qui se
dégage de la poubelle à ciel ouvert qu’est le Cameroun comme partout en Afrique
Noire.
Le Cameroun est la poubelle la plus sécurisée dela
Françafrique, la base arrière qui, peut-être plus que
toute autre, garantit la présence et le rayonnement dela
France en
Afrique. L’existence dela
Françafrique dépend
de la stabilité de la poubelle du Cameroun. En effet, sur l’échiquier
stratégique dela
France en
Afrique, le Cameroun joue le rôle d’amortisseur des contrecoups néfastes des
opérations militaires dela
France sur
le continent. Ce rôle s’est surtout renforcé avec les troubles en Côte
d’Ivoire. Ainsi, le Cameroun est devenu le refuge de toutes les populations africaines
et autres fuyant les zones de combats dans tous les pays d’Afrique oùla
France est
militairement engagée. C’est ainsi que le Cameroun est le pays d’accueil et
d’hébergement de la majorité des génocidaires Hutus évacués du Rwanda parla
France. Il en est de même des
maliens, ivoiriens, tchadiens, centrafricains, congolais, angolais, ayant fui
les troubles militaires dans leurs pays respectifs, troubles impliquantla
France. L’Université
Adventiste Cosendaï est venue s’implanter en 1996 à Nanga-Eboko près de Yaoundé
après sa dislocation au Rwanda suite au Génocide rwandais. Tous les présidents
déchus de Centrafrique, sauf Bokassa, se réfugient au Cameroun avec les
ressortissants français et leurs populations partisanes. Ainsi, le Cameroun est
le sous-traitant discret des engagements militaires dela
France en
Afrique, à l’insu des camerounais, qui se voient de plus en plus submergés,
dans tout le pays, par des populations jusque-là inconnues sortant de nulle
part, et par une hausse vertigineuse de la corruption et de la criminalité.
On comprend les raisons de l’absence du Cameroun sur la scène des
événements médiatiques. C’est que le Cameroun est le pays oùla
France lave
en douce ses mains de sang en Afrique. On comprend la longévité des régimes
successifs d’Ahmadou Ahidjo et de Paul Biya, bons et loyaux serviteurs dela
France. L’affaire
des otages français de Boko Haram s’inscrit dans cette dévotion des régimes camerounais à leur créateur la
France.
@Musavuli - Votre
crainte morbide est que« Si le M23, renforcé par les troupes rwandaises,
parvient à mettre en déroute la brigade de l’ONU, la balkanisation du Congo
deviendrait un fait ». Mais, la
balkanisation n’est-elle pas l’héritage colonial qui fait la fierté des
africains ? La
balkanisation en Afrique est un sujet d’une telle banalité que les africains,
en commençant par vous, ne savent même pas de quoi ils parlent en parlant de
balkanisation. Le Congo est déjà un pays balkanisé puisque vous avez le Congo
Brazza, le Congo Léo, L’enclave de Kabinda, Le Zaïre, le Congo Démocratique, le
Congo dela MONUSCO, le Congo des ONG,
le Congo dela Françafriqueet de la francophonie, etc L’Afrique est un continent où,
depuis 1884 au moins, les balkanisations se succèdent partout à un rythme
soutenu, une balkanisation remplaçant ou se recouvrant avec une autre. La
balkanisation du Congo sur laquelle vous aimez tant disserter ne sort pas de ce
schéma. C’est la routine. C’est cette routine-là qui constitue le drame de
l’Afrique qui ne vous préoccupe manifestement pas.
« L’appareil
anti-raciste Français (SOS Racisme, MRAP, LICRA…) » n’a
d’antiraciste que le nom. C’est un appareil du racisme anti-noir. C’est bien connu.