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Mwana Mikombo

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  • Mwana Mikombo 20 avril 2013 22:34

    cevennevive

    GENOCIDE DES AMÉRINDIENS

    Je me souviens, dans un documentaire sur France 5 d’’une série consacrée aux villes américaines, avoir entendu cette horrible information qui fait froid au dos que chaque ville américaine, Amérique du Nord comme du Sud, est construite sur d’immenses fosses communes des amérindiens génocidés par les conquistadors et autres colons européens.

    Malheureusement je n’arrive pas à retrouver ce documentaire sur internet. Il va falloir m’adresser directement à France 5.




  • Mwana Mikombo 20 avril 2013 21:51

    @niberta – Mon post a été enlevé je ne sais pas pourquoi. Je remets tout ce qui y était dit et même avec encore plus de précision. Vous répondez à louphi en écrivant : « La société !!!, votre type de société bien à vous qui vous favorise. ».

    Louphi ne vise pas un type de société. Il parle de la société tout court ! La société en général et non pas tel ou tel type de société ! Avant d’opter pour un type de société particulier, il faut d’abord que la société puisse exister, s’engendrer ! Pour louphi, il ne peut y avoir de type de société sans LA société d’abord ! La société avec l’article LA devant. Ce qui est tout à fait exact. Tout le combat contre les revendications sociétalistes des homos se résume là. Les revendications des homos attaquent la société, la base de tout type de société, la société même dans son existence. Louphi est parfaitement pertinent de mettre en relief le fait qu’il ne s’agit pas de pointer l’homosexualité en soi qui est un phénomène érotique parasitaire chez les humains quoique naturel, mais qu’il s’agit de pointer l’homosexualité en tant que psychologie, philosophie et mouvement politique, ce qui traduit la dépravation de l’esprit humain consistant à s’en prendre à la fondation de la société. En somme, la société n’a pas à promouvoir l’homosexualité son contraire. Au contraire, la société doit circonscrire l’homosexualité et le réduire à sa plus simple expression faute de pouvoir l’éradiquer complètement, étant un phénomène naturel.

    Voilà j’espère que vous avez compris la position de louphi qui est très pertinente et que je partage entièrement.




  • Mwana Mikombo 20 avril 2013 18:33

    @l’auteur Monsieur Mathurin Moussy

    Votre article sur la libération par le Cameroun des otages de la secte mahométane de Boko Haram est très instructif sur la situation politique générale chaotique qui prévaut au Cameroun, pays de la Françafrique complètement et curieusement absent des radars médiatiques internationaux. Cette libération des otages par le régime néocolonial de Paul Biya, tout comme le rapt de ces otages lui-même, sont en effet suspects. Il n’y a qu’à suivre les commentaires énigmatiques des médias français pour s’en rendre compte. Il y a là dedans quelque part une supercherie.

    Si le Cameroun est bien un pays qui n’existait plus ou un pays fantôme, c’est seulement sur le plan des agitations, révoltes, guerres et crises diverses qui secouent, ravagent le Continent et tournent en boucle quotidiennement sur tous les médias du monde entier. Cette discrétion du Cameroun au devant de la scène des événements médiatique vaut au Cameroun son pendant d’oreille. En effet, le Cameroun est considéré sur la scène internationale comme étant le rare pays encore calme en Afrique subsaharienne, où règnent la tranquillité et la paix depuis les indépendances, un pays prospère et stable économiquement et politiquement, en contraste avec la situation catastrophique du reste du continent. Cette auréole est un masque perméable qui n’empêche pas de humer la forte odeur de putréfaction qui se dégage de la poubelle à ciel ouvert qu’est le Cameroun comme partout en Afrique Noire.

    Le Cameroun est la poubelle la plus sécurisée de la Françafrique, la base arrière qui, peut-être plus que toute autre, garantit la présence et le rayonnement de la France en Afrique. L’existence de la Françafrique dépend de la stabilité de la poubelle du Cameroun. En effet, sur l’échiquier stratégique de la France en Afrique, le Cameroun joue le rôle d’amortisseur des contrecoups néfastes des opérations militaires de la France sur le continent. Ce rôle s’est surtout renforcé avec les troubles en Côte d’Ivoire. Ainsi, le Cameroun est devenu le refuge de toutes les populations africaines et autres fuyant les zones de combats dans tous les pays d’Afrique où la France est militairement engagée. C’est ainsi que le Cameroun est le pays d’accueil et d’hébergement de la majorité des génocidaires Hutus évacués du Rwanda par la France. Il en est de même des maliens, ivoiriens, tchadiens, centrafricains, congolais, angolais, ayant fui les troubles militaires dans leurs pays respectifs, troubles impliquant la France. L’Université Adventiste Cosendaï est venue s’implanter en 1996 à Nanga-Eboko près de Yaoundé après sa dislocation au Rwanda suite au Génocide rwandais. Tous les présidents déchus de Centrafrique, sauf Bokassa, se réfugient au Cameroun avec les ressortissants français et leurs populations partisanes. Ainsi, le Cameroun est le sous-traitant discret des engagements militaires de la France en Afrique, à l’insu des camerounais, qui se voient de plus en plus submergés, dans tout le pays, par des populations jusque-là inconnues sortant de nulle part, et par une hausse vertigineuse de la corruption et de la criminalité.

    On comprend les raisons de l’absence du Cameroun sur la scène des événements médiatiques. C’est que le Cameroun est le pays où la France lave en douce ses mains de sang en Afrique. On comprend la longévité des régimes successifs d’Ahmadou Ahidjo et de Paul Biya, bons et loyaux serviteurs de la France. L’affaire des otages français de Boko Haram s’inscrit dans cette dévotion des régimes camerounais à leur créateur la France.





  • Mwana Mikombo 15 avril 2013 21:45

    @Musavuli - Votre crainte morbide est que « Si le M23, renforcé par les troupes rwandaises, parvient à mettre en déroute la brigade de l’ONU, la balkanisation du Congo deviendrait un fait ». Mais, la balkanisation n’est-elle pas l’héritage colonial qui fait la fierté des africains ?  La balkanisation en Afrique est un sujet d’une telle banalité que les africains, en commençant par vous, ne savent même pas de quoi ils parlent en parlant de balkanisation. Le Congo est déjà un pays balkanisé puisque vous avez le Congo Brazza, le Congo Léo, L’enclave de Kabinda, Le Zaïre, le Congo Démocratique, le Congo de la MONUSCO, le Congo des ONG, le Congo de la Françafrique et de la francophonie, etc  L’Afrique est un continent où, depuis 1884 au moins, les balkanisations se succèdent partout à un rythme soutenu, une balkanisation remplaçant ou se recouvrant avec une autre. La balkanisation du Congo sur laquelle vous aimez tant disserter ne sort pas de ce schéma. C’est la routine. C’est cette routine-là qui constitue le drame de l’Afrique qui ne vous préoccupe manifestement pas.  



  • Mwana Mikombo 15 avril 2013 20:38

    « L’appareil anti-raciste Français (SOS Racisme, MRAP, LICRA…) » n’a d’antiraciste que le nom. C’est un appareil du racisme anti-noir. C’est bien connu.

     

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