Ne détournez pas la question. Le Chao au Mali, c’est
la guerre. Cette guerre a commencé avec l’invasion du Mali par l’armada d’Allah, les « jihadistes » maghrébo-occitano-touaregs. Vous
aurez du mal pour démontrer que c’est Sanogo, tout membre du « groupe kati-Etat dans l’Etat » qu’il est,
qui a entraîné, armé, financé et conduit la katiba d’Allah Wouakhbar à envahir
le Mali pour y instaurer la charia, couper les mains et les oreilles aux
maliens et ce uniquement aux noirs. Ne jouez pas le numéro des agresseurs de
Touareg-AQMI-MUJAO-AZAWAD-ANSAR_DINE-Touareg. On le connaît suffisamment.
Vous racontez n’importe quoi ! Ou alors vous ne maîtrisez pas votre sujet ! ce n’est certainement pas le Capitaine Sanogo, à qui vous faites allusion, qui a déclenché le chao au Mali ! Vous voulez sans doute révéler vos attaches avec les « djihadistes » magrébo-occitano-touaregs, guerriers d’Allah et maîtres du Sahel. C’est noté.
« On parle déjà d’obscurs projets d’islamisation du continent »
Déjà seulement ? L’islamisation du continent Noir ne serait donc qu’un obscur projet ? Décidément, vous pratiquez la désinformation et vous confirmez vos affinités avec les fous d’Allah ! A vrai dire, l’Islam et le christianisme sont les deux fléaux multiséculaires qui font du Continent Noir le défouloir du reste de l’humanité. Ainsi, n’importe quel gueux peut partir de n’importe où pour aller soulager ses fantasmes en Afrique. L’Afrique Noire ne pourra s’émanciper qu’en se débarrassant de ces deux fléaux.
Rwanda-RDC : La théorie du « Double Génocide », une ancienne nouveauté mitterrandienne.
Cette phrase de François Mitterrand résume bien sa funeste théorie du « double génocide » au Rwanda :
« Dans ces pays-là, un génocide, ce n’est pas trop important ».
(Suite)
La négation des complicités étrangères dans le génocide
La contestation des complicités étrangères touche aux facilités politiques, diplomatiques, médiatiques et militaires qui ont pu être octroyées au régime qui a conduit le génocide. Cela concerne notamment, mais pas uniquement, l’action des troupes étrangères (lire : françaises) dans l’Opération Turquoise qui, sous couvert de rétablir un minimum la sécurité dans le sud-ouest du Rwanda, aurait en réalité permis à de très nombreux génocidaires de prendre la fuite vers l’étranger.
Ces complicités font l’objet de vives controverses en France, d’une part entre des organisations des droits de l’homme et les institutions françaises et d’autre part entre les autorités françaises et les autorités rwandaises actuelles.
Depuis 1994, le FPR et le Président Paul Kagame reprochent à la France sa complicité dans le génocide. Après des incidents diplomatiques, le Rwanda a annoncé en juillet 2004 la création d’une « Commission nationale indépendante chargée de rassembler les preuves de l’implication de l’État français dans le génocide perpétré au Rwanda en 1994 ».
La mobilisation en 2005 de Jacques Hogard, Bernard Lugan et Pierre Péan, notamment, fut une réponse opposée à cette accusation. Le communiqué de la CEC de décembre 2005 rappelle la définition juridique de ce type de complicité.
En novembre 2006 l’ordonnance du juge Bruguière a pris ouvertement parti dans les causes du génocide en affirmant que le FPR était responsable du génocide car il l’aurait déclenché en commettant l’attentat du 6 avril 1994. La commission rwandaise devait conclure ses travaux fins 2007 ».
À la négation des événements qui relève du négationnisme, on peut encore ajouter les polémiques provoquées par l’utilisation du terme génocides (au pluriel) par des responsables politiques, ou portant sur la question des divers soutiens apportés au gouvernement rwandais avant et pendant le génocide.
LES DIVERSES EXPRESSIONS DE CE NÉGATIONNISME
La négation pure et simple
La négation pure et simple considère qu’il n’y a eu au Rwanda que de simples massacres de masse, dont la quantité aurait été délibérément grossie par la propagande pro-FPR. Dans les procès devant le TPIR, plusieurs accusés ont tenté de contester l’existence d’un génocide au Rwanda. Conscient du temps perdu dans chaque procédure, le TPIR a fini par décréter que le génocide n’a plus besoin d’être prouvé.
La théorie du double génocide
Une très vive polémique est entretenue par les courants soutenant l’ancien régime rwandais, dont les autorités françaises restèrent proches jusqu’à l’élection de Nicolas Sarkozy. Ils soulignent qu’une plainte a été déposée en 2005 devant la justice espagnole contre les chefs de l’Armée patriotique rwandaise (le bras armé du FPR) de Paul Kagame pour des crimes commis au Zaïre en 1996 contre les réfugiées hutu et les citoyens espagnols d’une association humanitaire. Ils font aussi valoir qu’une instruction judiciaire a été menée en France sur les causes de l’attentat du 6 avril 1994 par le juge Bruguière. Ils en concluent que ces procédures remettent en cause l’interprétation des faits relatés ci-dessus au profit de la thèse du double génocide, assimilant les attaques menées par le FPR, au début des années 1990 au Rwanda et en 1996 au Zaïre, à un génocide des Hutu mené par les Tutsi. Des personnalités et des militaires français, comme François Mitterrand, Dominique de Villepin, Pierre Péan, le Colonel Hogard ou Bernard Debré, le périodique AfriquEducation, défendent ou ont défendu aussi l’idée d’un double génocide.
Lors de son audition par la mission d’information sur le Rwanda, Eric Gillet, membre du bureau exécutif de la FILDH déclarera : « S’agissant du FPR, l’objectif du génocide ne pouvait être retenu, dans la mesure où un groupe représentant 15 % de la population ne pouvait raisonnablement envisager d’éliminer les 85 % restants. Des massacres sélectifs, aux effets similaires, du type de ceux commis au Burundi en 1972 n’en restaient pas moins possibles. Même s’il n’est pas allé jusqu’à de telles actions, le FPR s’est conduit avec une grande violence qui n’est pas davantage justifiable, bien qu’en termes existentiels sa logique soit différente. Outre les massacres qu’il a commis à plusieurs reprises, il a en particulier refoulé des populations considérables devant lui, provoquant de très importants mouvements de déplacés, en particulier en février 1993. Il n’en reste pas moins que, notamment pour des raisons juridiques, il n’est pas possible d’établir une égalité entre le génocide et les violations des droits de l’homme commises par le FPR. »
« Je ne peux pas cautionner cette vision simpliste et infamante qui fait des Tutsis les responsables de leur propre malheur, pas plus que je ne peux supporter d’entendre certains défendre la thèse d’un double génocide Tutsi et Hutu. »
Ils qualifient cette théorie du double génocide de révisionnisme, voire de négationnisme. L’historien Yves Ternon, qui s’est penché dans ses recherches sur les génocides à travers leXXe siècle, estime que la théorie du « double génocide » n’est rien d’autre qu’une façon de nier le génocide des tutsis : « Le négationnisme se structura autour de quelques affirmations qui permettaient de dissimuler l’intention criminelle – constitutive du crime de génocide – sans nier la réalité des massacres et de soutenir la thèse du “double génocide” »
Cher monsieur Musavuli – Dans tout ce
que vous dites, il n’y a pas l’ombre du début du sérieux. Vous allez sûrement
abuser de la crédulité des gens naïfs à force de débiter des balivernes. Vous
dites que vous n’êtes « pas lié aux États
ou aux régimes politiques de part et d’autre de la frontière ».
Effectivement, il n’y a que vous pour savoir réellement avec qui vous dinez
matin, midi et soir. Une seule chose est sûre, vous êtes le mégaphone de
Mobutu, de l’Etat français et ses réseaux françafricains. Vous ne pouvez le
nier car voici vos propos, les derniers en date : « …j’assume pleinement l’appel que je formule de façon récurrente à un
partenariat stratégique entre le Congo et une grande puissance (France,
Grande-Bretagne, États-Unis, Russie, Chine, Inde, Brésil,... peu importe, la France étant, à mon avis,
en meilleure position). ». Alors, une telle charge, une telle
responsabilité, repose nécessairement sur des liens organiques avec ses « partenaires en partenariats stratégiques » surtout « le meilleur en position », des liens
organiques prébendés. Personne n’est
dupe. Vos positionnements sont vos signatures.
« Je
suis juriste », prétendez-vous. Vous êtes bien un drôle de juriste, un
juriste prébendier. Vous avez l’outrecuidance de dire le droit alors que vous
n’êtes rien. Avec les nègres complexés, blanchis, on a l’habitude de ces
médailles en bambous dont ils aiment orner leurs oripeaux, tel Bokassa 1er
imitant Napoléon. On a compris que vous rêvez d’être Mobutu II ou Kabila III
avec la bénédiction de l’Elysée et des cinéastes hollywoodiens, vos « partenaires en
partenariats stratégiques ».
Quant à vos liens et d’autres à venir
du même genre, ce ne sont pas des scoops. C’est du bidon, du bidon, rien que du
bidon !!! La théorie du « double
génocide », s’agissant du Rwanda, ne date pas d’aujourd’hui, ni de 2009 avec
le M23. Cette funeste théorie est l’invention géniale de François Mitterrand,
en 1994, pour se disculper devant le génocide rwandais qui le hante et hante
ses héritiers. La théorie mitterrandienne du « double génocide » n’est qu’un montage hollywoodien, de la magouille,
que les héritiers de Mitterrand, l’Etat français et leurs mégaphones, comme
vous, s’efforcent de justifier à postériori par des alibis complètement
factices. Pour les héritiers de François Mitterrand et leur mégaphone, le M23,
n’est qu’un alibi factice, parmi d’autres d’autres, qui vient meubler
cette funeste théorie négationniste. Vos avocasseries de juriste de prébendes
stipendié par l’Etat français ne pourront pas réhabiliter cette funeste théorie
du « double génocide » que l’humanité a
jetée à la poubelle comme on peut voir ci-après. La théorie mitterrandienne du « double
génocide » est une vieille nouveauté !