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Formation en Économie (3 ème cycle universitaire)
Favorable à une société ouverte.
Proche des théories de F.A. Hayek et de Hannah Arendt , j’ai plaisir à relire les textes « fondateurs » de Montesquieu ,de John Locke et de Frédéric Bastiat

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  • pdth pdth 11 mai 2009 22:49

    L’effondrement du système bancaire aurait provoqué un cataclysme économique, social et politique sans précédant sur la planète.

    Il faut toutefois mettre en place de nouvelles règles de division , de traçabilité et de limitation des risques financiers pour éviter une nouvelle crise bancaire (et donc ses conséquences). 
    Une fois ces règles définies les marchés financiers pourront retrouver leur fonctionnement normal et contribuer au financement de l’ économie et à la mutualisation des risques.
    Ces nouvelles normes pourraient être élaborées au sein de la B.R.I (comité de Bale) et mises en œuvres sous le contrôle des différentes banques centrales .
     



  • pdth pdth 11 mai 2009 22:34

    La partie descriptive parait cohérente , elle correspond au vécu de bien des chefs d’entreprises (et donc de salariés). Ceci dit la conclusion obtenue est que la théorie des avantages comparatifs de Ricardo n’est plus validée au début de ce nouveau millénaire. Qui prétendrait le contraire ?
    La seconde partie (à venir si je comprend bien) de cette étude est potentiellement intéressante :
    L’écologie comme déterminant de la performance économique de demain , et donc nouvelle référence pour le calcul des avantages comparatifs ........

    Je me demande comment nous allons parvenir à expliquer aux pays en voie de développement que nous ne sommes pas en train de mettre en place de nouvelles barrières à l’entrée dans nos marchés pour les laisser dans leur sous développement et ainsi protéger une prospérité que nous avons nous même acquise sans le moindre soucis des normes environnementales.
    La question est d’importance si nous ne souhaitons pas que notre conversion au développement durable ne soit perçues par les 3/4 de la planète comme une simple volonté de notre part de changer les règles d’un jeu dont nous anticipons qu’elles pourraient nous être moins favorables.
    Formulé autrement ? et si tout cela n’ était qu’une vielle recette , une recette que nos sociétés avancées utilisent à chaque crise, à savoir , le protectionnisme.

    Petit mots aux anti-libéraux vicéraux , en attendant une révolution planétaire et l’instauration d’un régime supprimant toute forme de liberté économique (entre autres car sinon cela ne durera pas très longtemps) , il doit être possible de discuter de l’ évolution du système actuel dans le but de le rendre plus efficace .
    Bien entendu chacun est libre de sortir son revolver quand il entend le mot libéral .... certains systèmes politiques se sont construits ainsi (cf « La route de la servitude »de F.A Hayek )



  • pdth pdth 10 mai 2009 22:33


    Le mépris et l’insulte comme argument.......

    L’article en question est rédigé aussi bien sur le fonds que sur la forme de manière modéré, il est tout à fait possible d’être contre les idées développer mais vos propos sont purement et simplement une agression contre l’auteur de l’article.

    Je ne sais pas quel type de société vous fait rêver mais dirigée par des gens comme vous je n’ai aucune difficulté à imaginer à quoi elle ressemblerait.........certes elle ne serait pas libérale.



  • pdth pdth 10 mai 2009 22:21


    Le libéralisme a fini d’être une idéologie , désormais il est simplement une technologie. Aujourd’hui il est techniquement possible de déplacer en quelques secondes des sommes immenses aux quatre coins de la planète, en quelques jours , il est possible de déplacer un outil de production et en quelques heures des individus. Ceci sont des faits et pas une idéologie.
    Les états peuvent souhaiter entraver ces mouvements mais il n’en ont ni le droit ni les moyens techniques , ils n’ont d’autre choix que de prendre toute disposition pour que ces flux évitent de les contourner (main d’œuvre très qualifiée , infrastructure etc) . il est possible que certaines nations décident de renoncer à leurs libertés pour confier à un régime autoritaire ou totalitaire la mission d’utiliser la force de l’ état pour empecher leurs citoyens de disposer librement de leur personne et de leurs biens , cela marchera mais ne se généralisera pas au niveau planétaire. Ainsi ces nations seront simplement économiquement contournées par par le monde resté libre ce qui (comme à chaque fois ) se traduira par un effondrement économique rapide .
    Ainsi les véritables questions sont comment rester performant dans une société ouverte et comment doivent être utilisés les fruits de la prospérité ainsi créée.
    Le reste est donc désormais utopie sauf à isoler notre peuple et pour cela à recourir à des systèmes extrémistes et violents s’assurer de la personne des réfractaires.



  • pdth pdth 10 mai 2009 21:21

     La B.R.I est une institution internationale de régulation et de normalisation de de l’activité bancaire au niveau planétaire. La faire passer pour une banque , au sens commun du terme est un peu gros , ses seuls clients sont ses actionnaires  : les banques centrales (elle gère une partie de leurs réserves en devises étrangères). Un des buts de cet organisme est aussi de tenter une concertation des politiques monétaires.

    Les salariés et les locaux de la B.R.I dispose d’un statut assez proche de celui de fonctionnaires internationaux ou de personnels diplomatiques.
    Cela n’a rien d’original pour une organisation internationale.

    Certains post me font penser à la célèbre phrase de Goebbels « Quand j’entends le mot culture je sors mon révolver » ici on remplace le mot culture par banque .....et nous n’en sommes pas loin.
    La B.R.I est un organisme de régulation de l’activité bancaire dont il est probablement opportun de renforcer la position . Que l’ Etat Suisse n’ ait pas à intervenir dans son activité est normal , de quel droit la Suisse aurait à intervenir sur la régulation de l’activité bancaire internationale ?

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