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Pierre


Longtemps universitaire (spécialisé en logique et philosophie du langage) et résident de la ville de New York, je suis allé, il y a quelques années, m’installer dans un petit bled de l’état de New York. Là, je pratique la menuiserie et le dessin. Le onze septembre, que j’ai vécu de très près, a éveillé en moi un regain d’intérêt pour bien des choses que j’avais négligées pendant mes années à l’université. En bref, le onze septembre a été décisif pour moi.
Pierre Adler

 

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Derniers commentaires



  • Pierre 8 septembre 2008 06:04

    Sarah Palin a déclaré publiquement que Dieu soutenait la guerre en Irak.

    Sarah Palin a exhorté les gens de l’Alaska à prier Dieu de faire en sorte que le gazoduc de l’Alaska soit approuvé.

    Lorsque Sarah Palin fut maire de la petite ville de Wassila en Alaska, elle tenta de faire bannir les livres suivants de la bibliothèque municipale. La bibliothécaire se refusant à un tel acte de censure, Palin essaya de la faire renvoyer de sa place. Les habitants s’insurgèrent contre une telle décision et madame le maire dut s’incliner devant la volonté du peuple.

    A Clockwork Orange by Anthony Burgess 
    A Wrinkle in Time by Madeleine L’Engle 
    Annie on My Mind by Nancy Garden 
    As I Lay Dying by William Faulkner
    Blubber by Judy Blume
    Brave New World by Aldous Huxley 
    Bridge to Terabithia by Katherine Paterson 
    Canterbury Tales by Geoffrey Chaucer 
    Carrie by Stephen King 
    Catch-22 by Joseph Heller 
    Christine by Stephen King 
    Confessions by Jean-Jacques Rousseau 
    Cujo by Stephen King
    Curses, Hexes, and Spells by Daniel Cohen 
    Daddy’s Roommate by Michael Willhoite 
    Day No Pigs Would Die by Robert Peck 
    Death of a Salesman by Arthur Miller 
    Decameron by Boccaccio 
    East of Eden by John Steinbeck 
    Fallen Angels by Walter Myers 
    Fanny Hill (Memoirs of a Woman of Pleasure) by John Cleland 
    Flowers For Algernon by Daniel Keyes 
    Forever by Judy Blume 
    Grendel by John Champlin Gardner 
    Halloween ABC by Eve Merriam 
    Harry Potter and the Sorcerer’s Stone by J.K. Rowling 
    Harry Potter and the Chamber of Secrets by J.K. Rowling 
    Harry Potter and the Prizoner of Azkaban by J.K. Rowling 
    Harry Potter and the Goblet of Fire by J.K. Rowling 
    Have to Go by Robert Munsch 
    Heather Has Two Mommies by Leslea Newman 
    How to Eat Fried Worms by Thomas Rockwell 
    Huckleberry Finn by Mark Twain 
    I Know Why the Caged Bird Sings by Maya Angelou 
    Impressions edited by Jack Booth 
    In the Night Kitchen by Maurice Sendak 
    It’s Okay if You Don’t Love Me by Norma Klein 
    James and the Giant Peach by Roald Dahl 
    Lady Chatterley’s Lover by D.H. Lawrence 
    Leaves of Grass by Walt Whitman 
    Little Red Riding Hood by Jacob and Wilhelm Grimm 
    Lord of the Flies by William Golding 
    Love is One of the Choices by Norma Klein 
    Lysistrata by Aristophanes 
    More Scary Stories in the Dark by Alvin Schwartz 
    My Brother Sam Is Dead by James Lincoln Collier and Christopher Collier 
    My House by Nikki Giovanni 
    My Friend Flicka by Mary O’Hara 
    Night Chills by Dean Koontz 
    Of Mice and Men by John Steinbeck 
    On My Honor by Marion Dane Bauer 
    One Day in The Life of Ivan Denisovich by Alexander Solzhenitsyn 
    One Flew Over The Cuckoo’s Nest by Ken Kesey > One Hundred Years of Solitude by Gabriel Garcia Marquez
    Ordinary People by Judith Guest 
    Our Bodies, Ourselves by Boston Women’s Health Collective 
    Prince of Tides by Pat Conroy 
    Revolting Rhymes by Roald Dahl 
    Scary Stories 3 : More Tales to Chill Your Bones by Alvin Schwartz 
    Scary Stories in the Dark by Alvin Schwartz 
    Separate Peace by John Knowles 
    Silas Marner by George Eliot 
    Slaughterhouse-Five by Kurt Vonnegut, Jr. 
    Tarzan of the Apes by Edgar Rice Burroughs 
    The Adventures of Huckleberry Finn by Mark Twain 
    The Adventures of Tom Sawyer by Mark Twain 
    The Bastard by John Jakes 
    The Catcher in the Rye by J.D. Salinger 
    The Chocolate War by Robert Cormier 
    The Color Purple by Alice Walker 
    The Devil’s Alternative by Frederick Forsyth 
    The Figure in the Shadows by John Bellairs 
    The Grapes of Wrath by John Steinbeck 
    The Great Gilly Hopkins by Katherine Paterson 
    The Handmaid’s Tale by Margaret Atwood 
    The Headless Cupid by Zilpha Snyder 
    The Learning Tree by Gordon Parks 
    The Living Bible by William C. Bower 
    The Merchant of Venice by William Shakespeare 
    The New Teenage Body Book by Kathy McCoy and Charles Wibbelsman 
    The Pigman by Paul Zindel 
    The Seduction of Peter S. by Lawrence Sanders 
    The Shining by Stephen King 
    The Witches by Roald Dahl 
    The Witches of Worm by Zilpha Snyder 
    Then Again, Maybe I Won’t by Judy Blume 
    To Kill A Mockingbird by Harper Lee 
    Twelfth Night by William Shakespeare 
    Webster’s Ninth New Collegiate Dictionary by the Merriam-Webster 
    Editorial Staff 
    Witches, Pumpkins, and Grinning Ghosts : The Story of the Halloween 
    Symbols by Edna Barth

     



  • Pierre 27 août 2008 05:44

    La question qu’on peut se poser, c’est quel est le motif qui vous pousse à relativiser ? Et qu’entendez-vous accomplir par la relativisation ?



  • Pierre 21 août 2008 01:32

    C’est symptomatique de notre triste époque qu’on lise encore des idéologues tels que BHL et Glucksmann. 

    Voici deux remarques du philosophe slovène Slavoj Zizek sur les soi-disant nouveaux philosophes (qu’on décrirait avec plus de vérité si on les qualifiait de pense-menus), qui n’avaient de nouveau à l’époque rien si ce n’est que certains organes des media les considérait comme tels parce qu’ils étaient d’ex-maoïstes qui avaient découvert — avec moult retardement — les camps et les crimes staliniens :
     
    « En tant qu’ils ont été perçus comme représentatifs de votre vie intellectuelle nationale, les « nouveaux philosophes » sont une des raisons principales de la perte de l’influence de la pensée française dans le monde. »

    « Que peut-il y avoir de plus provincial et sans intérêt universel que la découverte retardée des crimes staliniens par des ex-maoïstes ? Quel contraste avec le travail théorique sur le phénomène « totalitaire » dans la pensée politique française d’aujourd’hui, représentée par des noms comme Claude Lefort ou Jacques Rancière, connus et discutés dans le monde entier ! Les « nouveaux philosophes » relèvent avant tout de l’étude anthropologique des fluctuations locales de la mode idéologique en France... »

    BHL ne cache d’ailleurs pas son admiration pour Richard Perle, l’un des néoconservateurs états-uniens les plus virulents et les plus brutaux et qui nous a donné, avec ses collègues, l’invasion, l’occupation et la destruction systématique de l’Irak par les forces armées états-uniennes : « Comment peut-on, comme moi, avoir passé sa vie à déplorer l’inaction des pays riches, leur pusillanimité, leur munichisme récurrent et ne pas se réjouir quand apparaît enfin dans la plus grande et puissante démocratie du monde une génération d’intellectuels [les néoconservateurs] qui, pensant la même chose que moi, approchent les leviers du pouvoir et oeuvrent concrètement pour qu’entre dans les faits cette commune pensée ? »

    Voilà où se situe un homme comme BHL. Comment peut-on espérer apprendre quoi que ce soit sur ce qui se passe en Géorgie d’un tel collaborateur ?
     



  • Pierre 20 août 2008 02:18

    Luc-Laurent, vous avez tout à fait raison.

    Il me semble d’ailleurs qu’Imhotep a manqué sa vocation : il aurait dû être curé. Cela lui aurait évité d’avoir à suivre tant de détours à la syntaxe souvent bien chancelante et à la logique torturée pour finalement nous dire que les hommes sont des pécheurs et que, par conséquent, pécheurs il y a en toute nation.
    Il aurait simplement pu nous le dire en une seule petite phrase bien formée et entièrement intelligible.



  • Pierre 19 août 2008 19:18

    Voyez bien le procédé rhétorique utilisé par l’auteur dans la seconde partie de son article : 
    il nous fait l’apologie de la politique étrangère des Etats-Unis (donc de son impérialisme) en nous récitant les horreurs commises par les êtres humains au siècle dernier, dont certaines continuent à ce jour. Il a oublié les violences de Gengis Khan et la terreur de Tamerlan et les actes barbares des empereurs romains, les méfaits d’Alexandre, les cruautés des Conquistadores...

    On lui concédera en effet qu’il faut pas mal de noirceur pour arriver à mettre quelque lumière sur la massive présence militaire états-unienne à la surface de la Terre et sur sa violence incessante.

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