Et le père de BHL aussi, serviteur zélé de cette oligarchie mondialiste dont le sel objectif est l’augmentation de sa suprématie sur la planète entière pour préserver ses petits privilèges.
Le complotisme et le conspirationniste font actuellement la une des médias pour tourner en ridicule toute personne qui émettrait des doutes sur des « versions officielles » (je ne ferai référence à AUCUNE affaire qui fait actuellement polémique - je prends seulement de la hauteur).
C’est le nouveau point Godwin permettant de réfuter et de démolir toute
mise en doute d’une « version officielle » qui gagnerait justement a être
discutée et argumentée.
La fermeture brutale de toute forme de
discussion ne fait qu’entraîner une certaine suspicion de la part de
personnes voulant réellement approfondir le sujet.
« Versions officielles » dont nous avons été tellement matraqués avec une telle assurance qu’un doute ne peut s’empêcher de nous habiter (et oui, un doute m’habite) quand nous tentons d’analyser ces affirmations sous l’angle de la raison, sans passion ni parti-pris.
La « Théorie du complot » est très pratique pour évacuer d’un geste hautain toute question qui pourrait inciter le public à se poser des questions tout à fait justifiées suite à des incohérences dans une version dogmatique et intangible.
Les complots ont de tous temps existé mais l’intérêt des comploteurs a justement toujours été de rester dans l’anonymat, il a toujours été de ne jamais faire apparaître l’existence (voire même le doute sur l’existence possible) de ce complot.
Il existe dans l’histoire une quantité incommensurable de complots, qui ont tous eu pour objectif une prise de pouvoir (politique, économique, etc.) de manière masquée ou sous fausse bannière.
Un exemple bien connu est l’incendie du Reichstag du 28 février 1933 qui a permis, sous fausse bannière, aux nazis de prendre le pouvoir en Allemagne avec toutes les conséquences qui ont suivi.
Si ce complot (bien réel et prouvé celui-ci) s’était déroulé de nos jours, je suis certains que les nazis auraient immédiatement accusé les personnes atteintes de doutes de « complotistes », de « conspirationnistes ».
Au final, qui aurait eu raison ? Je vous en laisse seuls juges.
De nombreux complots ont réussi et ne seront jamais portés à notre connaissance tant que leurs effets n’entreront pas en conflit avec les intérêts des oligarques qui sont souvent les inspirateurs de ces complots.
Le complot a été inventé par l’homme lorsque, par cupidité et soif de pouvoir il a compris que ce moyen était très efficace pour évincer ses concurrents ou pour obtenir un quelconque avantage.
Cette invention remonte sans aucun doute aux débuts de la structuration « sociale » (mésolithique) avec l’apparition du « pouvoir politique » (chef, structure hiérarchique).
Les complots n’avaient en effet aucune raison d’exister au paléolithique car l’intérêt des groupes humains était alors (chasseurs-cueilleurs) une collaboration et un égalitarisme total.
Il est d’ailleurs intéressant de constater que l’apparition de ces structures sociales hiérarchiques s’est aussi hélas accompagné de la destitution du statut d’égal de la femme au profit de « chose » au service exclusif des mâles.
Concernant les complots, il est nécessaire de se poser des questions et de tenter de déterminer en premier lieu à qui profite le crime... Et là, il n’est pas nécessaire de sortir de l’ENA pour en tirer les conclusions.
Revenons en arrière et imaginons que le complot de l’incendie du Reichstag n’ait jamais été révélé. La version officielle indiquait que cet événement ignoble a choqué la population allemande et qu’elle s’est ensuite tournée vers le seul parti qui à l’époque semblait en mesure d’endiguer ces agissements scandaleux. En analysant « A qui profite le crime », une personne émet une théorie mettant en doute la version officielle. D’autres personnes le suivent et émettent des doutes consécutifs à l’étude de certains éléments étranges de l’enquête. Imaginons encore (on peut toujours supputer) qu’un des bénéficiaires actuels de ce complot (politique, ayant une position importante dans l’état ou les médias, etc.) puisse voir sa position mise à mal par l’éclatement de la vérité, que ferait-il ? S’il lui est impossible d’éliminer physiquement les personnes « gênantes » en toute discrétion et sans faite de vagues, il tenterait simplement de les discréditer en les faisant passer pour des foldingues ou des paranoïaques. S’il a de plus des appuis puissants dans les médias et quelques personnes « reconnues et à la moralité irréprochable » il lui serait facile de parvenir à cette fin et la majorité des abrutis qui ne croient que ce qu’ils « voient à la télé » considéreraient que ces personnes sont des « conspirationnistes ».
Doutez toujours de ce qu’on vous annonce ostensiblement, surtout lorsque cette annonce est matraquée par la majorité des médias d’abrutissement de masse.
De grandes menaces provenant de tout les côtés menacent l’occident et la
liberté, si nous nous y mettons dés maintenant en déployant les
commandos et les services secrets, une bonne moitié de ces menaces
serait éradiquer, la question des assassinats doit se poser afin de
préserver les démocraties. Heureusement que les alliées sous la conduite des USA ont débarqués en
Normandie parce que sans eux, je me demande ce que serais devenu les
français, les italiens les belges et les autres car ils seraient dans la
même situation que l’Ukraine et toute l’Europe serait russophone.
Tout à fait : Les USA, en grands défenseurs de la Démocratie, comme en 1914, sont intervenus lorsque l’issue du conflit était irrémédiable et proche.
Lors de ces deux conflits, ils ont jeté de l’huile sur le feu ou ont volontairement bloqué toute possibilité d’éviter le conflit afin de mettre les belligérants à genoux et de rafler la mise.
Le seul homme politique qui avait dénoncé cette escroquerie était ce cher « Charlie »... Les autres ont tous passivement laissé faire car ils étaient corrompus jusqu’à la moelle et se foutaient royalement des intérêts des peuples qu’ils étaient sensés défendre.
Le seul objectif des USA a toujours été, depuis leur construction, de s’approprier les biens des autres (sans avoir à les payer, bien sûr).
Exemple concret symbolisant la stratégie US durant la seconde guerre mondiale : Mon grand-père était cheminot et responsable de la résistance dans une petite ville de province. Lors des combats de la libération, une opération militaire a été planifiée sur cette municipalité ayant pour objectif de détruire la gare de triage afin de bloquer l’approvisionnement des troupes allemandes. C’est du moins ce qui avait été présenté à la résistance... L’aviation « alliée » est venue bombarder, certes, mais pas une seule bombe n’est tombée sur une voie ou sur le moindre bâtiment ferroviaire. Par contre, la moitié de la ville a été rasée, particulièrement les entreprises qui étaient à proximité de la gare. Le nombre de morts a été très important car la gare avait été évacuée préventivement, et toutes les personnes évacuées s’étaient réfugiées dans cette zone de la ville. Lors de l’arrivée des troupes « libératrices » (qui n’ont fait que traverser la ville, cette dernière s’étant libérée toute seule bien avant l’arrivée des « sauveurs »), mon grand-père outré est allé voir l’officier qui commandait ces troupes et l’a interpellé en lui demandant pourquoi les aviateurs avaient si mal visé. La réponse de cet officier l’a laissé sur le cul : « Nous ne sommes pas venus pour détruire un chemin de fer qui nous aurait servi, nous sommes venus pour tout détruire autour »... Ce jour, mon grand-père, qui était peu cultivé mais intelligent, a compris quelle était l’origine de la « haine » de De Gaulle à l’encontre des USA.
Les USA sont intervenus en Europe pour trois raisons :
Parce que les Russes étaient en train de mettre une branlée monumentale aux nazis et que la guerre était déjà terminée.
Pour tout casser afin de nous ventre le « Plan Marshall » qui leur permettrait de se faire des couilles en or sur la carcasse des Européens, et de les forcer à courber l’échine devant leurs « libérateurs ».
Pour récolter les lauriers de la « victoire » et faire taire toute possibilité de contestation de leur suprématie dans le monde.
Il est quand même intéressant de rappeler que le gouvernement et les entreprises US ont allègrement collaboré à l’effort de guerre nazi (régime adulé par les oligarques US : la mise en esclavage de tout un peuple, c’est géant). Ford et General Motors ont fourni aux nazis des véhicules militaires jusqu’à la fin des hostilités, et Rockfeller leur a vendu du pétrole et de l’acier jusqu’à la capitulation, ce qui fait que les soldats US morts au combat ont été tués avec de l’acier US (mais pas un seul mot dans les livres d’histoire, l’histoire étant toujours écrite par les vainqueurs).
Je ne critique pas le peuple Américain car il est victime de ses oligarques et paye de son sang les horreurs de ce régime pourri. Hélas, il est tellement embrigadé (et endetté aussi, encore plus que nous) qu’il ne songe même pas à se révolter.
Je souhaite simplement vous signaler que le plus grand danger pour la Démocratie (pas la merde qui nous exploite actuellement) n’est pas un régime « ennemi », c’est bien la pourriture instaurée dans nos institutions par cet empire nuisible qui détruit tout sur son passage.
Il suffit simplement d’ouvrir les yeux pour s’en convaincre : Des régimes qui tentent de redistribuer aux peuple les richesses locales sont ostracisés et les pires régimes dictatoriaux (même la Corée du nord, très utile pour foutre la trouille à ses voisins) sont maintenus pour favoriser les intérêts US.
Le plus bel exemple de régime ostracisé est bien Cuba. Fidel Castro n’était pas du tout communiste lorsqu’il a entamé la révolution Cubaine. Il ne souhaitait qu’une chose : que le peuple Cubain puisse vivre dignement et ne plus être mis en esclavage par les grands propriétaires terriens (Le communiste était Ché Guevara, et Castro l’avait évincé assez rapidement pour cette raison). Une fois son peuple libéré du régime de Batista (à la solde des USA) il s’était en premier lieu tourné vers les USA pour demander une aide pour son peuple. Comme les compagnies US voyaient d’un très mauvais œil leurs bénéfices « fondre » suite à la redistribution des biens au profit du peuple Cubain, le gouvernement US l’a envoyé promener et lui a ordonné de restituer immédiatement ce qui avait été « volé »... Fidel, voyant les risques que les USA faisaient encourir au peuple Cubain, n’eût d’autre choix que de se retourner vers l’URSS pour obtenir de l’aide mais surtout pour protéger le peuple cubain de ce voisin très agressif...
Et l’histoire se répète indéfiniment. Les régimes qui défendent leurs peuples sont « explosés » et ceux qui les oppriment « encensés ».
L’origine de la révolution iranienne est bien le coup d’état contre Mosaddegh en 1953 au cours duquel les USA ont mis sur le trône ce « cher Chah d’Iran » et sa gentille police secrète (la très humaniste SAVAK)... Ensuite, on s’étonne que les Iraniens (sauf ceux qui ont bénéficié du système) aient une dent contre les occidentaux.
Par contre, nos « chers amis » saoudiens sont encensés alors que ce régime est sans aucun doute le pire de la planète : Tout appartient au roi, même les êtres humains, et le roi a droit de vie ou de mort sur n’importe quel Saoudien (normal, il lui appartient - il est tout à fait légal de tuer ses poules ou son chien). Et si vous êtes une femme, double peine !!! Il n’y a pas non plus de banque centrale en Arabie Saoudite. Pourquoi le roi qui possède tout en aurait-il besoin ?
Entre nous, je ne suis pas un fan de Poutine, mais quand je regarde de plus près (il faut bien chercher car c’est tabou en occident), je me dis qu’il est infiniment moins néfaste pour son propre peuple que Billou « gentil détrousseur de stagiaires » ou que notre cher « cyclomotoriste national » qui se fait photographier à la sortie de l’Élysée sur son fougueux destrier.
Poutine a récupéré un pays en ruine, et ce qui n’avait pas été détruit par le communisme l’a été par la corruption phénoménale et le copinage de l’ère Eltsine (dit La picole, Rien dans les mains, tout dans les poches).
On lui reproche la Tchétchènie... Il n’y avait aucun problème en Tchétchènie jusqu’à ce que les compagnies pétrolières occidentales décident que ces ressources leur appartenaient de droit et demandent à leurs copains Saoudiens (tiens, encore eux ???) d’envoyer quelques jihadistes pour foutre le bordel. Que feriez-vous si un pays étranger décidait d’envoyer des mercenaires foutre la merde en Bretagne afin de faire main-basse sur les élevages porcins ? Vous laisseriez faire ? Pas moi (même si je n’aime pas l’élevage intensif).
Depuis que Poutine a repris les rennes du pouvoir, les Russes voient leurs conditions de vie s’améliorer et retrouvent une certaine fierté et de la dignité. Il ne faut donc pas s’étonner qu’il soit très populaire et qu’il n’ait aucun problème pour être plébiscité en Russie, ce qui n’est pas du tout le cas de nos dirigeants « démocratiques »...
Cherchez plutôt à qui profite le crime.
C’est bien la première chose à faire quand on enquête et qu’on souhaite connaître la vérité.
J’ai beaucoup de respect pour vos analyses et votre humanisme force l’admiration.
Je pense par contre, hélas, que comme beaucoup de nos contemporains vous n’avez pas encore réussi à vous émanciper du lavage de cerveau « démocratique » du système électoral.
Ce système est basé sur des « élus » professionnels qui ne pensent qu’à leur propre intérêt et se moquent totalement de celui des peuples qu’ils sont censés « représenter ».
De plus, les « partis politiques » ne sont que des systèmes mafieux qui sont prêts aux manœuvres les plus ignobles afin d’assurer leur pérennité. Un parti politique n’est rien d’autre qu’une entreprise privée nuisible dont l’objectif est de s’enrichir au dépens d’autrui (comme toute entreprise qui se respecte).
Les partis politiques ne fabriquent ou ne vendent pas de produits commerciaux mais des « idéaux ». Et ils font de nombreuses campagnes publicitaires semblables aux lessiviers pour récupérer des « parts de marché » en trompant les « clients » avec désormais des slogans publicitaires qui atteignent des niveaux jusqu’alors détenus par les lessives : « Lave plus blanc » est devenu « plus à gauche », mais au final le produit contenu dans la boîte est strictement le même, hormis quelques paillettes « bleues » ou « rouges » qui n’ont absolument aucun effet sur l’efficacité du produit.
Le peuple commence à détecter la supercherie mais commet l’immense erreur de se tourner vers d’autres partis qui « lavent encore plus blanc » et dont au final les objectifs sont strictement identiques, ce qui entraîne d’office une réaction violente des « concurrents » qui voient ainsi leurs « parts de marché » s’effondrer et qui envoient leurs « chiens de garde » à l’assaut des nouveaux arrivants en ostracisant par la même occasion leurs anciens « clients » déçus et bernés pour tenter de jouer sur leur « bonne conscience », leur « esprit républicain », etc afin de ramener dans leur giron cette clientèle aveuglée par « les concurrents ».
Le peuple devrait enfin se rebeller contre ce système qui ne peut entraîner que la corruption.
Les « représentants du peuple » devraient être surveillés par ceux-là même qui les ont « nommés », en veillant particulièrement à contrôler leurs sources de revenus, à contrôler que leurs actions correspondent bien aux instructions qui leur ont été transmises au coup par coup, et qu’ils soient démis de leurs fonctions et poursuivis pour haute trahison au premier manquement, avec des sanctions très lourdes (confiscation des biens, peines de prison très longues, interdiction d’assumer un quelconque mandat représentatif à vie, etc... ).
Selon nos chers « élus », ce serait l’anarchie (avec tout le mépris qu’ils affichent vis à vis de ce système politique réellement démocratique). Et oui, ce serait l’anarchie, au sens noble du terme, c’est à dire l’absence de pouvoir, c’est à dire la possibilité pour le peuple de décider par lui-même de ce qui serait bien pour lui... Pour résumer, un système incontrôlable par une oligarchie qui perdrait ses privilèges, ses pouvoirs et sa faculté de nuisance.
Surtout n’oublions pas qu’une république n’est pas du tout une démocratie. Et les exemples ne manquent pas, l’histoire est pleine de républiques oligarchiques (en existe-il d’autres ? - le Vénézuela peut-être) qui ont mis les peuples en esclavage pour le plus grand profit de quelques parasites qui en ont honteusement profité.
Droite, gauche, extrême droite, extrême gauche, finalement l’objectif est toujours le même et c’est toujours le peuple qui paye le prix fort.
Il ne faut donc pas s’attendre à des miracles du coté de nos chers « élus ». Les miracles sont du domaine de la foi, et en politique la foi est reine, comme dans les religions.
L’auteur confond allègrement le cerveau, qui chez certains cordés (animaux qui possèdent une corde neurale - une moelle épinière) et des nodules nerveux.
Le cerveau prend en charge, chez les cordés « évolués » (équipés d’un bulbe nerveux frontal) l’analyse des signaux nerveux en provenance de divers capteurs situés dans tout l’organisme et en déduit un comportement global de l’organisme (généralement nécessaire à sa survie - mais qui a ensuite évolué suite à la complexification vers les activités conscientes).
Un nodule nerveux n’est qu’un dispositif autonome local chargé de prendre en charge une fonction vitale pour améliorer les chances de survie et limiter les circuits nerveux entre le cerveau et l’organe en question.
Ce dispositif est relié au cerveau par des nerfs ou par l’intermédiaire de messagers chimiques.
Le plus bel exemple est le cœur : Ce petit nodule nerveux permet de gérer en temps réel le fonctionnement de ce muscle vital afin d’en optimiser le fonctionnement en temps réel afin de répondre instantanément aux besoins de l’organisme.
Par contre, il ne s’agit pas du tout d’un « cerveau » à proprement parler car il ne reçoit que des informations locales ou des « commandes » en provenance du cerveau et n’agit que localement au niveau de l’organe qu’il doit gérer.
C’est une sorte d’automate en fait, automate au sens « industriel » du terme c’est à dire un dispositif de « calcul » qui ne gère qu’un système limité de manière quasi autonome et dont les capacités de communications sont très limités.
Les mollusques ont par contre un système nerveux décentralisé composé de nodules nerveux interconnectés. Hormis les céphalopodes ce système nerveux ne permet pas une très grande réflexion. Et chez les céphalopodes, ce n’est pas un seul nodule mais l’ensemble des nodules qui communiquent pour fonctionner en mode « cerveau ».