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pinson

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  • pinson 27 septembre 2012 18:48

    Ah bon ! Quand on vous présente un sénégalais, la première chose que vous remarquez c’est la marque de ses baskets ?



  • pinson 27 septembre 2012 18:42

    Ce n’est pas ce que je dis. Je donne des exemples d’emplois qui sont de façon quasi-explicites réservés aux « pas de souche ».
    Et qui a dit que le filtrage des passagers à Roissy était un boulot de merde ?



  • pinson 27 septembre 2012 14:53

    @oncle archibald
    C’est très joli, votre histoire de merle qui sifflent. Dommage que ça ne veuille strictement rien dire. Ou si vous y tenez absolument et pour rester dans le sujet, ce n’est pas parce qu’un merle noir a choisi de venir siffler dans votre jardin, que ça autorise quiconque à dire qu’après tout les pinsons qui y avaient leur nid depuis toujours n’ont jamais vraiment existé.
    Quant à votre histoire de village gaulois (vachement original comme métaphore) ce n’est pas parce que je m’y trouve bien que j’ai envie d’aller emmerder les autres. Aujourd’hui c’est les autres qui viennent nous emmerder. Libre à vous d’aimer ça, ce n’est pas mon cas.
    En français courant -dois-je vous l’apprendre - quand on dit « je vous emmerde » ça ne veut aps dire « je vous pourris la vie », ça veut dire « ne venez pas me pourrir la mienne ».
    Et ça prouve quoi votre histoire de hollandais du XVIIe siècle ? Vous trouvez vraiment que ça suffit à faire de vous quelque chose comme un balayeur malien ou un traiteur chinois ?
    Et pour en finir avec « le grand Georges » . cette chanson est rudement bien écrire comme- presque- toutes celles de Brassens, mais le talent n’a jamais empêché d’écrire des conneries et celle-ci n’y échappe pas tant elle est systématique et agressive.
    Dans le genre, je préfère « les deux oncles ».
    Et surtout avoir écrit « les imbéciles heureux qui sont nés quelque part » ne l’a pas empêché d’écrire la « supplique pour être enterré sur la plage de Sète ». Comme il était intellectuellement honnête, je suis sûr qu’il aurait lui-même reconnu comme une contradiction.
    Et d’ailleurs, je n’ai jamais dit qu’être français de souche était un bonheur, ça l’est de moins souvent, ni que ça donne des droits. Je dis que c’est un honneur et une fierté et que ça donne des devoirs.



  • pinson 27 septembre 2012 14:23

    @nico 31
    Décidément, vous ne comprenez pas. Je ne suis pas français par l’effet d’un quelconque code. Je suis français parce que je suis d’ici et pas d’ailleurs et tous mes ancêtres avant moi. Par droit du sol, si vous voulez, mais parce que j’appartiens à ce sol, comme j’appartiens à ce peuple et à nul autre.
    Et il en serait ainsi même si la France portait un autre nom, il en était déjà ainsi avant que l’idée même de République existât, et il en sera ainsi quelque soit le régime. Même si la France était intégralement avalée dans le gloubigoulba européen, elle demeurarit, ne serait-ce qu’en moi.
    Et non, définitivement non, être français ainsi, ce n’est pas l’être au même titre que tel ou tel immigré qui viendrait -fût-ce avec les meilleurs sentiments et avec les meilleures raisonsdu monde - jouir des possibilités qu’offre la France voire s’en approprier un morceau.
    Car les français « de souche »-du moins ceux à qui il reste un peu de conscience d’eux-même- la France ne leur appartient pas. C’est eux qui lui appartiennent.



  • pinson 27 septembre 2012 12:30

    « Tous les blancs qui n’ont pas trouvé de logement à cause de leur couleur ou qui n’ont pas trouvé de travail. Il reste à les dénombrer ! »....
    Ce genre d’affirmation gratuite aussi , on les lit souvent. Elles démontrent simplement que leur auteur ne s’appelle pas Dupont et n’a jamais habité dans une cité de Seine-Saint -Denis.
    Vous en voulez, des exemples ? Essayez de vous appeler Cedric Dugenou, d’avoir les yeux bleus et d’obtenir un logement social dans le 93 avec 1 enfant et tout juste le SMIC
    Essayez de vous appeler Cedric Dugenou et de vous faire embaucher dans la sécurité d’un centre commercial ou au filtrage de l’aéroport de Roissy.
    Soyons clairs : il y a le racisme anti-blanc ordinaire (si j’ose dire) qui se traduit par des agressions verbales et physiques, par des humiliations incessantes et qui fait que petit à petit les français de souche pauvres et classes moyennesabandonnent les banlieues. C’est d’ailleurs ce qui me fait toujours rigoler quand on me dit qu’on a parqué les immigrés dans des ghettos : non, ils ont - et souvent très consciemment- fait fuir les « faces de craie » de leurs quartiers.
    Mais il y a aussi - et c’est plus répandu encore - une discrimination envers le français « de souche » non à cause de ce qu’il est mais de ce qu’il n’est pas : pas assez misérable, pas assez coloré, jamais assez pitoyable à côté des 200 000 imigrés du tiers-monde(je ne parle que des légaux) qui débarquent tous les ans et d’ailleurs de leur misère, on le rend vaguement responsable, alors , n’est-ce pas, c’est normal c’est à Cédric Dugenou de se pousser un peu pour faire de la place.
    Et on voit Cédric Dugenou qui se lève pourtant tôt pour gagner le SMIC, incapable d’obtenir un logement social et dormir dans sa voiture.
    C’est pas du racisme ? Peut-être pas... mais c’est de la discrimination. Ne pas s’occuper d’abord des siens, c’est de la discrimination.

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