c-à-d fait par l’homme avec art (ce que beaucoup d’autres langues autres que l’espéranto prétendent être).
il ne se
réfère ni a un peuple, ni à un pays, ni à une histoire ; il n’a pas de
littérature et ne reflète aucune pensée ou réflexion.
Il faut mettre tout au pluriel. Ce qui caractérise l’espéranto, c’est la diversité.
Le fait qu’on « invente » des mots au fur et à mesure des besoin démontre
qu’elle est anarchique
« invente » est un terme mal choisi. Plus approprié est « construit » en appliquant certaines règles définies.
Il manque énormément d’étapes intermédiaires à votre démonstration, et
la première est de toutes façons fausse puisqu’on n’invente pas les
mots.
Il est vrai qu’il faut faire fonctionner ses cellules cérébrales
autrement pour construire le mot juste, que pour régurgiter une
expression déjà entendue.
L’espéranto s’apprend plus rapidement, oui, pour ceux qui ont cette
capacité de création. Pour les autres, sorry, you’ll have to use your
aping skills and suffer longer.
Heureusement, la plupart d’entre nous sont étonnés de retrouver leur
capacité enfantine de création après quelques mois. (voir comment on
construit les mots à http://remush.be/vortaroj/afiksoj.html)
et qu’elle n’évolue pas de façon harmonieuse.
Avez-vous comparé les textes écrits il y a 120 ans à ceux de
maintenant, ou avez-vous décrété que cela ne pouvait être
qu’anarchique par intuition ou science infuse ?
Il serait bon que tous ceux qui ne pensent qu’à établir ce « machin » se
posent la question de savoir pourquoi ça n’a pas marché, ça ne marche
pas et pourquoi ça ne marchera jamais.
Notamment parce qu’une Personne - d’ailleurs incompétente dans plusieurs autres
domaines que la linguistique, jouissant d’une audition importante,
possédant un ego surdimensionné et convaincue de la pérennité de
l’influence de la France et de sa langue dans le monde - a cru
spirituel de se moquer à peu de frais d’un concurrent sérieux au
français, en se méprenant totalement sur l’adversaire à combattre.
IL n’a pas voulu de l’espéranto, maintenant IL se retourne dans sa tombe !
Now that said, there is no harm to learn English as well, but don’t despise a valuable language that you know little about.
Me beger pardon : Me misvoir « fail ». Very good word-play for « failles » (I guess)
Ça me rappelle la blague : - L’espéranto ne pourra jamais rattraper l’anglais ! - Comment ça ? Sur quoi basez-vous cette affirmation, kara samideano ? - L’anglais est au bord du gouffre !
Objectivement on peut se demander comment un truc aussi mal foutu que l’anglais puisse fonctionner. Mais ça fonctionne quand même ! En conséquence : tout peut fonctionner, à la longue... très longue...
Moi pas savoir quoi « fait de fait » vouloir dire. Une personne pouvoir expliquer moi ? Moi non plus savoir si Espéranto pouvoir marcher. Moi croire que Espéranto pouvoir écrire, parler, chanter, mais jamais pouvoir marcher ou courir.
C’était pourtant pas mal pour conclure.
Les langues proches ont souvent des faux-ami, l’espéranto ne fait pas exception.
Pour un résumé des autres arguments du groupe "contre l’anglais" voir http://www.freinet.org/espericem/pourquoi.htm#L%27enfant
Notez que Claude Hagège a aussi très difficile de se guérir de ses préjugés contre l’espéranto, mais il y travaille, et son attitude a déjà changé. Il y était tout à fait hostile, mais maintenant il l’accepte comme un moindre mal.
								Le -ar indique la notion de groupe... Cependant, on y perd la notion sociologique qui est intrinsèque aux différents termes présentés par Henriette.
Tous les mots finissant par -ar ne sont pas nécessairement des ensembles. Les règles de formations de mots fonctionnent dans un sens.
De plus les termes spécifiques ne sont pas interdits
ex :
amaso : tas
asocio : asociation
benko : un banc
ĉirkaŭurbo : banlieue
frajo : frai
grego : un troupeau
grupo : groupe
ĥoro : choeur
kabineto : cabinet
karavano : caravane
kolonio : colonie
kompanio : compagnie
nacio : nation
partio : parti
popolo : peuple
publiko : un public
roto : rote
sindikato : syndicat
skolo : école
socio : société
ŝtato : état
taĉmento : détachement
trupo : troupe
Il est aussi possible à ceux qui veulent étaler leur érudition d’écrire à la Gustave Flaubert en recherchant des mots rares.
En général, cela passe mal, car on ne montre ainsi que son inaptitude à choisir un mot tout aussi adéquat et compréhensible même par un débutant chinois.
Si on veut se rendre intéressant en espéranto, il est préférable d’écrire quelque chose d’intéressant de façon lisible.