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Rétif

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  • Rétif 30 juillet 2008 13:26

    N’empêche ! 38 tonnes sur un plancher en train de s’écrouler, l’incendie, qui a dû être précédé d’une gigantesque explosion, n’intervenant qu’ensuite.

    Quant à moi, je n’ai pas dit que ce put être la seule chaleur qui ait enflammé d’un coup les tours. Ce n’est pas en minimisant une argumentation qu’on en démontre une autre.

    Le choc, le poids ; la hauteur de chûte de plusieurs étages les uns sur les autres, avec 38 tonnes en plus.
    Le tout joint à l’explosion(il en a bien fallu une pour qu’il y ait incendie),de 38 tonnes de kérosène, tout cela va bien au delà d’un calcul copié-collé, de degré de chaleur d’un incendie domestique tranquillement mesuré.

    On a déjà vu, malgré ces calculs savants, des immeubles s’écrouler dans des incendies. On a jamais vu un pilier de fer en I résister à une explosion conséquente, ni au choc d’ un beoing. Et les premiers piliers se tordant et se cassant ont dû bien suffire pour faire écrouler toute la structure de l’étage premier touché.

    Quant à vos explosions intermédiaires, outre que ce serait du roman,de toute façon, il n’y a pas une preuve, et il ne saurait y en avoir. Force est donc d’en rester à l’évidence et au rationalisme.

    Pour mémoire : "Ecroulement des tours du World Trade Center - Futura science -Jean Luc Goudet.



  • Rétif 30 juillet 2008 12:42

    A ajouter au poids de plusieurs étages tombant comme dans un puits (tous les piliers de soutènements d’un ou plusieurs étages inférieurs instantanément détruits par l’explosion de l’avion),sur les dits étages inférieurs,le poids supplémentaire de 38 tonnes de Kérosène, suivi de la chaleur intense dégagée par l’incendie concommittant, d’où écroulement vertical comme un château de cartes.

    D’ailleurs,le film de l’événement de l’époque, si peu détaillé qu’il ait pu être, ne nous montre aucune explosions intermédiaires en dessous de l’impact des avions, lesquelles auraient dûes être savamment synchronisées pour rendre la thèse de Meissan plausible.On a même pu voir des gens se jeter dans le vide, donc les façades ont été,au moins en partie visionnées, mais rien !

    S’il y a bien eu un seuil de blocage, il semble être arrivé au rez de chaussée.

    Les amateurs de roman genre Fantomas, doublés d’Einstein de pacotille, je leur laisse faire les calculs avec tous les termes savants qu’il voudront.
    .



  • Rétif 29 juillet 2008 22:38

    Je ne vois pas très bien les détours qu’a pris cette double discussion, surtout pour la seconde partie. L’effondrement des Twin-Towers concerne tout le monde. J’ai suivi tant bien que mal les développements.
    J’ai juste envie d’apporter mon grain de sel.

    Il y a deux thèses en présence, toutes deux connues,et toutes deux improuvables. Personnellement, je ne suis pas partisan de celle de Messian.

    N’étant pas un scientifique, je me contente de faire appel à la logique.

    L’écroulement d’un immeuble à partir du haut est difficilement imaginable. Difficult to realise. Cependant l’autre thèse est tout aussi invraisemblable : il faudrait imaginer une synchronisation parfaite entre l’impact d’un avion (environ aux 3/4 de la hauteur, dirait-on) et des explosions d’entrepôts de dynamite précédemment déposés et savamment camouflés. Ca ressemble à un roman de Fantomas.

    J’ai donc dû faire un certain effort de représentation pour comprendre la thèse de l’écroulement. Il me semble qu’elle peut s’expliquer (et de toute façon, il faut bien voir le film de cet écroulement,et il faut bien se rendre à certaines évidences, dont "e pur si muove", ainsi que cette autre ; les deux tours sont bien tombées.

    Alors je propose ma petite explication. D’abord, je dois dire que le seul film qui soit proposé,en tant qu’explication,(à part le reportage proprement dit, dans tous ces commentaires n’est pas un film, mais présente seulement le haut de la tour, plus ce qui est, en fait, un schéma ou dessin plus ou moins animé, en faveur d’une thèse qui me parait,selon ce schéma même, irréaliste, celle d’ un paquet d’étages qui s’effondrerait en basculant de côté. Ce ne serait intelligible que si tous ces étages avaient formés, au moment de leur chûte, justement, un paquet, un parallèlogramme solide qui aurait pu riper sur une base elle-même solide et stable : il est évident que, pour les sens, ce n’est pas ni ne peut-être le cas, l’étage touché par un avion s’étant pulvérisé immédiatement et les étages supérieurs n’ayant eu instantanément plus de base,ni les inférieurs de haut. De ce fait, cette masse est donc, et c’est ce qu’on voit en réalité, tombée d’abord comme un corps, encore solide, sur les étages inférieurs, comme un corps lâcherait de la hauteur d’un étage( ou peut-être de plusieurs,selon l’ampleur de la destruction).

    Ce serait donc les derniers étages (moins un ou plus un) qui seraient tombés sur ceux du dessous(moins un ou deux ou encore moins selon la destruction primaire) déjà plus qu’ébranlés, comme une masse.

    Le poids, agrémenté de l’accélération de deux ou plus d’étages aurait continué sa destruction à la verticale sur les parties inférieures gagnées de plus en plus par l’incendie provoqué par les tonnes de kérosène de l’avion, et accélération ou pas, par le seul poids du sommet de la tour sur les étages en-dessous et le chocs successifs dus à l’effondrement des murs porteurs extérieurs(particularité architecturale des tours) ;
    l’ensemble se serait écroulé sur lui-même(c’est d’ailleurs bien ce qu’on voit), l’incendie continuant, dans une successivité qu’aucun film au ralenti n’aurait pu rendre.

    D’ autre part, si des explosifs avait explosés au bas de la tour, il ne devrait plus rien rester au rez-de-chaussée,même pas du sol, et apparemment, d’après le premier film, ce n’est pas du tout le cas.

    L’écroulement vertical, qu’on a pu apercevoir dans certains autres reportages à l’époque, et qu’on est bien forcé d’admettre visuellement, même si le dessin animé ne le montre pas, est donc logiquement intelligible, compte des éléments visuels dont on dispose. Le tout est de comprendre cette logique matérielle.



  • Rétif 29 juillet 2008 16:02

    @ l’auteur

    "Certains de ses représentants" dites-vous.
    Mais,de nos jours,qui sont les représentants du peuple, des députés individuels, ou bien les partis politiques, donc leurs programmes ?

    Je trouve que le refus du mandat impératif est ambigü selon le cas.
    Du point individuel, il est bien entendu qu’on vote pour un député pour qu’il milite une fois élu représentant de la nation, en vue de l’obtention d’une pissotière municipale, d’un bureau de tabac, ou de faire sauter des contredanses, et qu’il ne devra avoir en vue,en sa conscience, que les grands problèmes débattus en Assemblée concernant les questions générales, et le sort de la nation. Il me semble évident qu’en ce cas, il décidera selon la politique de son parti,pourvu que celle-ci soit suffisamment claire.

    Mais n’ y a-t-il pas là une contradiction ?
    Car,en fait, un parti étant élu sur son programme, ce programme est donc implicitement considéré comme un mandat impératif collectif que le parti se doit de respecter vis-à-vis de ses électeurs.
     Or on sait bien que ce n’est pas souvent le cas et que l’emportent toujours les considérations stratégiques ou d’opportunité, sans compter les imprévus, notamment ceux découlant d’une politique dogmatique ou incompétente, s’ajoutant aux circonstances et à l’évolution, intérieure ou internationale.

    L’interdiction du mandat impératif aboutissant logiquement à l’obeissance sans discussion,pour le parti, à son programme, et pour le député,à son parti, et alors,pour ce dernier, que devient sa conscience personnelle ?

    Si on met à part l’incertitude des affaires humaines, plus l’ambition et l’opportunisme des individus, ce que les Grecs nommaient la Discorde, je ne vois guère de solution au problème,apparemment simple,(trop simple ?), que vous essayez de poser.

    Peut-on faire une obligation constitutionnelle à un député de ne décider jamais que selon sa conscience ?

    Il faudrait supprimer les partis et les programmes généraux ? Mais l’intérèt général est devenu quelque chose de si abstrait que,de nos jours, qu’il n’est plus perçu que du point de vue des idéologies et des programmes qui en découlent dogmatiquement,surtout dans notre pays, d’où une grande perte de pragmatisme et de vrai sens politique.. 

    Quant à moi, je concevrai qu’on ne constitue des partis que sur des questions séparées,des questions du jour. Alors on pourrait voter pour des individus, auxquels il serait logique d’interdire l’acceptation de tout mandat impératif, ce qui lui serait le mot d’ordre de sa conscience.
    .



  • Rétif 28 juillet 2008 21:27

    @ Salomon
    Pas besoin de dessin,en effet : les étatistes ne consentirons pas à se priver de ce pactole !

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