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Romain Baudry

Adulescent de 28 ans, sciences-potiron, esclave en droit international et européen, écrivain imaginaire, girouette chronique, apérivore, voyageur statique, angéliste sceptique, asianisant, dilettante diversifié, photodépendant mais vespéral, quelque peu gynocentrique, partageant de nombreux traits de caractère avec le requin-baleine. De façon générale, complètement inutile.

Tableau de bord

  • Premier article le 17/10/2006
  • Modérateur depuis le 14/11/2007
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Derniers commentaires



  • Romain Baudry 13 décembre 2006 13:25

    Votre point de vue est intéressant. Cependant, la proposition de Hulot aurait le mérite de créer un ministère doté de moyens importants et dédié exclusivement au fait d’assurer un développement durable. Dire que le premier ministre est « chargé du développement durable » serait logique mais risquerait fort de n’être qu’un ajout purement cosmétique, dénué de conséquences réelles (autres que médiatiques).

    Un peu comme la Charte de l’Environnement, en fait.



  • Romain Baudry 13 décembre 2006 12:38

    La candidature Bayrou est intéressante, mais elle ne m’inspire pas actuellement une confiance telle que je puisse envisager de donner ma voix au président de l’UDF.

    Certes, Bayrou et l’essentiel de l’UDF ont manifesté une certaine indépendance vis-à-vis de l’UMP au cours des dernières années. Mais est-ce vraiment une manifestation de leurs convictions ou seulement un positionnement médiatique destiné à attirer l’électeur ? Les pré-campagnes de Royal et Sarkozy exploitent à fond le thème du renouveau, dont on sait qu’il se révèle particulièrement porteur. Mais est-ce que Bayrou ne fait pas exactement la même chose avec sa « troisième voie » centriste ?

    Objectivement, même s’il se dit centriste, l’UDF a clairement été un parti de droite jusqu’à une période récente. Il était solidement allié au RPR et Bayrou lui-même a été ministre de l’éducation sous Balladur et Juppé. Les choses ont-elles véritablement changé ou s’agit-il en grande partie d’une stratégie médiatique ?

    Les hommes politiques qui veulent se faire élire font toujours montre d’un optimisme inébranlable et il est donc très probable que François Bayrou n’évoquera pas l’éventualité d’un second tour sans lui. Du reste, on ne construit pas sa crédibilité personnelle en annonçant d’avance et de façon certaine à qui on se ralliera au second tour. Mais c’est pourtant cette incertitude qui, à mon avis, brouille le vote Bayrou. Que fera-t-il si le miracle espéré ne se produit pas ? Que fera-t-il si le duel du second tour est vraiment Sarkozy-Royal ? Se ralliera-t-il automatiquement à Sarkozy en échange d’une alliance aux législatives ? La perspective d’une candidature qui échappe aux clivages habituels est séduisante, mais s’agit-il vraiment de cela ou de l’expression d’un courant minoritaire de droite, façon Christine Boutin ou Corinne Lepage ? L’indépendance de l’UDF vis-à-vis de l’UMP survivra-t-elle si Bayrou ne dépasse pas le premier tour ?

    La réponse à ses interrogations clarifierait considérablement la candidature Bayrou. L’exemple récent de Chevènement montre assez que les candidatures qui se disent indépendantes peuvent décevoir amèrement les espoirs qu’on a placé en elles. Une déclaration d’intention résolue de François Bayrou (affirmant que, le cas échéant, il ne se rallierait pas nécessairement à Sarkozy et pas seulement en échange d’un certain nombre de circonscriptions) contribuerait donc grandement à asseoir l’originalité et l’intérêt de sa candidature.

    Je dois avouer que, pour l’instant, je n’y crois pas.



  • Romain Baudry 12 décembre 2006 20:58

    La phrase que vous citez est totalement dépourvue de signification. Après les nombreux débats qu’il y a eu sur le sujet en 2005, tout le monde devrait savoir que la « Constitution Européenne » n’était rien d’autre qu’un traité, du même genre que le Traité de Nice et tous ceux qui ont précédé. Les traités européens ne peuvent pas prévaloir sur la constitution nationale. S’il y a incompatibilité entre les deux, une révision de la constitution est nécessaire pour que le traité puisse être adopté. Jusqu’ici, ça n’a pas empêché la construction européenne.



  • Romain Baudry 12 décembre 2006 19:10

    A mon humble avis, c’est accorder une importance très exagérée à JPC que de faire de lui l’incarnation du non de gauche. Il faudra certainement plus que ce ralliement négocié comme une transaction commerciale pour convaincre les électeurs de gauche qui auront voté « Non ».

    En ce qui concerne l’article lui-même, je dois dire que le démarchage pro-Bayrou qu’on trouve dans beaucoup d’articles sur AVox est en train de commencer à m’agacer.



  • Romain Baudry 11 décembre 2006 14:51

    C’est bien mon avis. La seule ambition de Chevènement était de négocier quelques sièges à l’Assemblée en échange de son ralliement et il y est bien arrivé. Mais il est absurde de penser que cette négociation aura le moindre impact sur le discours et la position de Royal. Pour sincèrement croire que c’est Ségolène Royal qui rejoint Jean-Pierre Chevènement, il faut être un inconditionnel de JPC en phase terminale.

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