Que les
crimes des kiéviens sont des « fantasmes purs et simples ».
Que les
crimes des prorusses contre leurs ennemis sont avérés : « on
retrouvait parfois leurs corps dans des rivières ».
On y apprend
que le Donbass, région pourrie, ne pouvait générer que de la violence, avec tant de chômeurs
déclassés et frustrés.
On y apprend
que la Russie ne survit que de la mémoire de la Grande Guerre dont la guerre en
Ukraine serait en quelque sorte la continuation. Sinon, la Russie « n’était
rien »
On sent en
arrière plan à peine masqué toute la bienfaisance de l’Ouest euro-américain qui doit conquérir
cette région pourrie pour la couvrir de milliards et de bien autre chose, en
repoussant ces « fanatiques du monde russe » vers l’est, ces fanatiques
d’un monde qui « n’était rien ».
Beau travail
de Vitkine dans le style du Reader’s Digest des années 50, que j’avais l’habitude
de lire aux chiottes (mes parents avaient dû s’abonner).
C’est pas
avec des Vitkine qu’on fera la paix en Ukraine. Il n’a pas compris l’enjeu de
cette guerre, qui est déjà une confrontation mondiale entre les gens normaux,
sous-entendu bienveillants (nous), et ceux supposés être « des personnes
mauvaises » (Biden parlant des Chinois, et pensant sans doute à « tous ceux qui ne sont pas avec nous » comme disait G.W.Bush).
Pour notre
malheur, nous sommes les alliés de Biden, contre ces « personnes mauvaises », le reste du monde.
@Berthe j’en ai rein à foutre du JDD !! Je ne lis jamais ce PQ
J’avais oublié que ce PQ existait. Mais j’en ai quand même quelque chose à foutre.
L’existence de ces PQ, quelque soient leurs qualités ou médiocrités, est quand même une protection contre l’arbitraire, contre l’arrestation arbitraire. D’une famille originaire de l’Est, ayant vu pas mal de ses membres disparaître dans un trou noir, je suis assez sensible à ce sujet.
@Bendidon ... Wind Pilgrimer Alors, le robot lui sert un demi, lui pose sa main métallique sur l’épaule et lui dit
Les militaires éduquent déjà des robots tueurs.
Bientôt, les mafias vont éduquer et commercialiser des
tueurs à gage robotisés. Disposant d’un rayon de la mort inculquant le cancer
et dotés d’une reconnaissance faciale sans faute. Parmi les options à l’achat
du robot tueur à gage sera la maîtrise du parler corse.
Que pourra la police, face à ces tueurs programmés ? Disposer
d’un rayon laser puissant pour tuer le programme informatique du robot ? D’une
intelligence artificielle capable de lire le programme du robot et d’identifier
la source du logiciel et le tracer ? Parler Corse aussi bien que le robot pour l’interroger ?
…
Il suffit que les machines aient la capacité de créer un monde virtuel (discours, images/vidéos) aussi crédible que le monde réel — et c’est déjà le cas — pour que s’installe l’ambiguïté, une sorte de mélasse dans laquelle il nous faudra patauger.