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trevize

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Juste un être humain conscient que son point de vue sur le monde est unique car personnel, et probablement pas partagé dans son ensemble avec les autres humains qu'il considère tout de même comme ses frères quelles que soient leurs opinions.
Conscient aussi que le savoir, l'information, est la seule richesse que nous sachions réellement créer, que la liberté de circulation des informations est la clef qui ouvre la porte vers les autres libertés, et que l'éducation et la recherche sont les seuls outils que nous ayons à notre disposition pour obtenir cette liberté.
 

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  • Premier article le 24/12/2014
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Derniers commentaires



  • trevize trevize 3 novembre 2014 20:32

    Vous avez parfaitement raison Philippe. La parité, la proportion, on ne la connaît pas, on a tendance à penser que les femmes sont plus souvent victimes et c’est certainement le cas, mais ça n’enlève rien à la violence de l’acte et à la légitimité de leurs plaintes. Et ils ont à surmonter un tabou plus grand encore.



  • trevize trevize 3 novembre 2014 14:58


    "Mais revenons aux faibles réactions des parents de l’école publique du coin. En grande majorité, il s’agit de gens pauvres, au chômage pour beaucoup d’entre eux ou de travailleurs précaires. La question scolaire les dépasse un peu. Les institutrices ? Des jeunes, sans expérience, à la merci de leur hiérarchie, nommées à titre provisoire en attendant d’aller voir ailleurs."

    Vous voyez pas qu’elle est là la débilité ? Les parents au chômage, pendant que leurs mômes sont à l’école avec des instits sans expérience, et un déficit d’animateurs ?

    parents au chômage ... manque d’animateurs ...
    parents au chômage ... manque d’animateurs ...
    parents au chômage ... manque d’animateurs ...

    C’est plus sur la tête qu’on marche là ! Si les parents sont au chômage et trouvent pas de boulot, pourquoi ils ne font pas ce qu’ils ont à faire : s’occuper d’élever et d’éduquer leurs gosses ? Pourquoi les parents ne s’occupent pas des animations ? Ha bah non, ils ont déjà un boulot : ils doivent éplucher les annonces pôle emploi, envoyer des CV par mail et attendre les refus. Puis ils ont pas le diplôme d’animateur, donc forcément ils ne sont pas qualifiés pour s’occuper d’enfants, c’est logique. Et la mairie n’a pas de fonds pour les payer à faire quelque chose d’utile ; par contre, la nation a de quoi les payer à brasser du vent (chercher du boulot qui n’existe pas, et ruminer la honte sociale qu’ils ressentent de ne pas avoir d’emploi), et pendant ce temps, il y a des postes non pourvus à 5mn de chez eux, et les gosses végètent, s’ennuient et absorbent toute la morosité ambiante ; ils regardent tout ça et se préparent d’avance à vivre la même chose.

    C’est parfait continuons comme ça ; la France ne ressemble pas encore assez à une caricature.



  • trevize trevize 3 novembre 2014 13:45

    Le sujet de l’article c’est le tabou du viol. Pas que l’auteur ait évoqué le viol d’une connaissance à d’autres connaissances.

    C’est pas moi qui déplace habilement le sujet. On ne sait pas si la victime a donné l’autorisation à l’auteur de parler de son histoire, et vous, vous sautez sur l’occasion pour affirmer que non (alors qu’on n’en sait rien du tout et qu’en plus ce n’est pas du tout le sujet) et vous en faites une histoire de vie privée à la noix (alors qu’on ne se gène pas pour colporter toutes sortes de ragots ignobles concernant d’autres sujets, maladies, alcoolisme, chômage, infidélités, enfants turbulents...)

    Qu’est ce que ça peut faire si W existe ou pas ? Si elle est inventé, est ce que ça signifie que tous les viols sont imaginaires ? Le petit chaperon rouge n’a jamais existé, pourtant on s’en sert bien pour mettre en garde les petites filles sur ce sujet ...

    Dans le fond vous êtes de parfaits exemples de ce que dénonce l’auteur : le tabou du viol. Vous voulez tellement pas en parler que vous parlez d’autre chose. Si l’auteur avait indiqué que oui, il avait l’autorisation écrite et signée de parler de cette histoire, vous auriez trouvé un autre truc pour pinailler, quitte à chercher une faute d’orthographe dans le texte ou que sais-je.
     
    Vous ne voulez pas en entendre parler, ça vous dérange, alors vous jetez l’opprobre sur l’auteur et vous parlez d’autre chose. Rien de plus classique ; ça s’appelle un tabou, ça vous horrifie et votre esprit vous entraîne sur un autre sujet pour ne pas avoir à en parler. Vous êtes tous prompts à dénoncer la manipulation des médias et des politiques, mais si vous n’êtes même pas capable de repérer les moments où c’est votre propre inconscient qui vous dirige, vous n’êtes pas sortis de l’auberge, les médias et les politiques ont encore de beaux jours devant eux.

    Personnellement, je suis pas violent du tout, mais quand on voit les dégâts que ça cause, je serai tout à fait d’accord pour qu’on leur laisse peut-être une chance (obligation de soins + dédommagement de la victime à vie) , mais à la moindre seconde incartade, on leur coupe les burnes (avec anesthésie, on n’est pas des barbares).



  • trevize trevize 3 novembre 2014 11:16

    Je comprend pas comment on peut être en désaccord avec un tel article.

    A moins de ne pas comprendre, de ne pas avoir conscience de l’impact des violences sexuelles dans notre société. En clair : la violence intériorisée par la victime, (c’est ce que la société lui demande : se taire, cacher le problème pour faire comme si tout allait bien) va la bouffer de l’intérieur toute sa vie, et en prime elle rejaillira d’une façon ou d’une autre sur ses enfants si elle en a un jour.

    La plupart des gens sont des fouille-merde. ça transporte les ragots dans tous les sens sur tous les sujets, machin à trompé machine, le voisin s’est acheté un nouveau frigo, si si j’ai vu le livreur de chez darty blablabla et ça achète voici et gala, ça regarde la télé réalité, ça se précipite pour acheter le bouquin de Trierweiler...

    Par contre, à en lire certains, parler d’une histoire de viol, sans avoir l’autorisation écrite et signée de la main de la victime, on dirait que c’est un crime pire que le viol lui-même.
    Il ne leur est même pas venu à l’idée que c’était peut-être juste une histoire inventée par l’auteur pour l’introduction de son article. Non non, ils ont lu les premières phrases, la lumière d’alarme « vie privée » s’est automatiquement allumée comme on les y a programmés, et ils enclenchent donc la procédure de défense de la vie privée, comme des robots. C’est très pratique, c’est plus facile de parler de ça que du vrai problème soulevé par l’article ; ils utilisent les même ficelles que les politiciens véreux qu’ils voudraient descendre : noyer le poisson en pinaillant sur les détails pour esquiver le problème.



  • trevize trevize 3 novembre 2014 10:43

    ça partait pas mal, c’était pertinent, on s’attendait à une discussion sur les pour et les contre de cette décision, les problèmes et l’avenir de l’école, mais hop dérapage au dernier paragraphe.
    On s’aperçoit que l’article n’est qu’un prétexte que prend l’auteur pour vomir sa bile sur « les Autres ».

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