« Avec les langues on dit souvent ce que l’on peut et jamais ce que l’on veut. »
Imaginons un pays totalitaire dans lequel « Le grand Suprême » décrète que les mots :liberté,égalité,droits,justice,éducation soient interdits et retirés des dictionnaires et quiconque les utilisera ou y fera allusion de façon détournée sera emprisonné.
Quand on parle une langue ,utilisée occasionnellement ,que l’on cherche ce mot qui traduirai précisément notre pensée on en est réduit au décret du « Grand Suprême ».
Voici un lien dans lequel, Monsieur Hans Malv de Malmö, Suède, s’exprime sur le droit de chacun à ne plus être bâillonner par une langue. http://www.2-2.se/fr/index.html#toc
Et n’oublions pas que les si les choses ont évoluées c’est en refusant l’ordre établit et en réclamant son droit.
p’Typhon skirlet vient d’un pays ou l’humour et la dérision était un sport national pour s’opposer à la bêtise du régime. Pour vous détendre la mâchoire avec tout ces « zeu » anglishs, allez donc faire un tour sur son site,vous prendrez des leçons de finesse.
Et, pendant qu’il se pâme en se récitant des sonnets de Shakespeare,les restes du monde apprennent leur langue et moi je me flagelle à coup d’espéranto. Saleté de vie de m###d. ha ha hi hi oh oh !!!! que je souffre.
Allez, reconnaissez le que
l’apprentissage de la langue du Patron vous bouffe vos loisirs
pendant que lui peut, oh !, plaisir suprême,« perdre son temps » en
apprenant.... la langue
interdite.