@ Jean Paul L’anglais on se comprend si on l’écrit mais rarement quand on le parle.Même les Anglais ne savent pas la prononciation de mots nouveaux. Je préfère l’espagnol qui s’écrit comme il se prononce et qui a plus de locuteurs que l’anglais.
Dernièrement ,à la télévision ,j’ai vu un homme qui ,après une opération au cerveau afin de retirer une tumeur ,a eût l’aire du langage endommagée.Il expliquait son sentiment d’enfermement et d’isolement ,de ne pouvoir s’exprimer oralement . Commencer une phrase et trébucher sur des mots qui ne vous viennent pas aux lèvres .Vous savez ce que vous voulez dire mais les mots vous manquent.
Pour plaire à « Sieur Typhon » je supprime les mots liberté,égalité,droits,justice,et reformule : Imaginons un pays totalitaire dans lequel « Le grand Suprême » décrète que certains mots soient interdits et retirés des dictionnaires et quiconque les utilisera ou y fera allusion de façon détournée sera emprisonné. Quand on parle une langue ,utilisée occasionnellement ,que l’on cherche le mot qui traduirai précisément notre pensée on en est réduit au décret du « Grand Suprême ». Votre dictionnaire interne manque de vocabulaire et vous interdit la juste expression de votre pensée.
De ulysse alliasse « tête de buche » à Typhon alliasse « Crâne à talonnettes ». Je vous félicite pour votre relookage printemps été. Ai-je bien compter six os sous le crâne.Ça donne le vertige et la folie de sa grandeur.