Quand on propose un fourchette à un Angloniais, il vous répond qu’il ne veut pas d’une telle chose sans assisse culturelle, et que ces trucs pointus ,c’est plutôt inquiétant, qu’il préfère continuer à manger avec les doigts comme les autres le font depuis plusieurs générations.
Et pourtant , une fourchette, c’ est une chose bien pratique !
je pense que nous aimons tous les voyages et le dépaysement.Je regardais une émission dans laquelle un journaliste nous montrait une région qu’il avait visité , sac à dos et un cameraman
Après avoir vu son voyage,j’ai ressenti une impression de faux ,d’artificiel,un peu comme dans le film dans lequel ,l’explorateur arrive dans une contrée inconnue et s’adresse au indigènes dans sa langue,et ceux-ci, lui répondent bien évidemment en utilisant cette fameuse langue
Cette impression était dû au fait que le journaliste demandait systématiquement aux gens rencontrés s’ils parlaient Anglais.Ce reportage c’est déroulé dans une couche limité de la société,les gens qui n’avaient pas la nécessité professionnelle de pratiquer l’anglais ou ne le parlaient pas ne faisaient pas partie du film, on entendait la langue du pays en bruit de fond, un peu comme le cri de la faune dans une forêt tropicale.Il n’est même venu à l’idée ,au journaliste, de faire appel à un interprète. C’est une des variantes de l’ « ouverture » sur le monde
Un mauvais film ou l’illusion de la découverte des autres par l’Anglais.
Que les républicains ne soient pas d’accord avec Obama ,c’est leur droits.Chez eux ils font ce qu’ils veulent. Qu’ils disent que « la langue internationale, c’est l’anglais et que donc pour un Américain, l’anglais suffit »,là, ils sous entendent que tous les autres doivent s’y soumettre. En France dès le cour préparatoire nos enfants sont formatés à « l’anglais suffit » en même temps qu’ils apprennent le Français « le temps restant ».
"Comme certaines projections montre que la parité entre le nombre d’hispanophones et d’anglophones aux
Etats-Unis sera atteinte autour de 2050, ce débat ne fait que commencer.«
Quels sont leurs arguments pour ne pas enseigner l’espagnol,par exemple, à leurs enfants.
Dans les institutions de l’Union Européenne nous traînons le boulet de l’hégémonie Anglaise. Des débats sur la nécessité d’un lingua franca ont lieu.Chacun se bat pour avoir l’avantage de la prédominance de sa langue.Nous perdons du temps et gaspillons l’argent des citoyens de l’ U.E
Krokodilo essaye de nous ouvrir les yeux sur la guerre des langues .
Quant à l’ouverture d’esprit des américains pour les autres langues,on les traiteraient de »franchouillards« .
»Leur pitch fait mouche, le public/la critique les a acclamés… et les studios américains ont flairé le bon filon. « Problème », ce sont des films étrangers, dans une langue étrangère, avec des acteurs... étrangers. Le grand public US n’aime pas trop les sous-titres, et il faut des stars pour la promo, alors nos cousins d’Amérique se sont fait une spécialité de l’adaptation au marché local. Point à date sur les « remakes express » planifiés par les studios."
Nous , les franchouillards, nous sommes mauvais en tout .
Pour les langues , c’est connu ,on n’y arrive pas, c’est héréditaire.
Les autres ,là- bas , c’est pas pareil , ils peuvent pas ,ils ont pas le temps.
« Quelqu’un qui cumule deux à trois »jobs" par jour n’a pas envie pendant ses heures de repos d’apprendre le français,
explique des opposants au programme linguistique d’Obama.«
»Obama est aussi accusé de privilégier des « politiques élitistes »
Çà me dit quelque chose ,chez nous ...
Je me met à leur place, je les comprends.
Et de plus :
"En
revanche, de nombreux républicains rappellent que la langue
internationale, c’est l’anglais et que donc pour un Américain, l’anglais
suffit."