Si l’article avait peu se limiter à ce passage, cela aurait suffit :
"Bref, ce non-événement est devenu un
événement médiatique qui, bien que dérisoire, occulte les vrais
événements. Petite société médiatique qui tourne en rond et qui se
complaît dans le dérisoire.«
Un tel »évellement" ne mérite pas un traitement plus long...
Encore un article qui croit que les dérives du pouvoir sont l’instanciation uniquement du sarkozysme. Or il y a danger à réfléchir comme ça : On risque de ne pas voir que tout les anti-sarkozystes ne feront pas mieux (Je pense au PS et autres partis de gauches) Le problème avec Sarkozy, c’est aussi qu’en lui attribuant tous les travers de notre classe politique, on fini par croire qu’une fois virer, ces travers disparaitrons. Non, Sarkozy est un symptôme visible, décomplexé, oui mais il n’en reste pas moins un symptôme parmi d’autre de la déliquescence de notre scène politique !
De grâce, déjà que les journaliste traditionnels parlent bien trop de stratégie politique que d’idées politique, ne tombons pas dans le même travers ici... Le développement intérieur de l’article est plutôt pertinent. Mais parler de stratégie quand les français ont des préoccupations bien plus concrètes, c’est juste s’enliser...
- On a l’impression que vous découvrez le double langage et le fait que les partis politique ne font qu’utiliser les « personnes issus de la diviersité » que comme des faire-valoirs...
- « Or, ce jeune homme, avec tout ce qu’il a enduré, devrait être récompensé » : C’est quoi ça ? L’aristocratie du malheur ? On est récompensé selon ses résultats, pas son endurance aux coups bas. Subir des coups bas ne transforment pas vos actions en actions « glorieuses ». Elles salissent celle de vos adversaires.
- Quand à tout votre délire autour de Ségolène Royal, vous tombez dans le panneau que vous n’aviez pas vu sur le premier point que j’ai évoqué : Vous arrivez sur le sujet Ségolène Royal via Ali Soumaré, qui du coup reprend une couche en tant que faire-valoir... Magnifique...