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Wilemo

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  • Premier article le 29/04/2014
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Derniers commentaires



  • Wilemo Wilemo 3 mars 2014 14:38

    Qui pourrait vouloir la guerre ?

    En théorie, ceux qui pensent pourvoir la gagner et ceux qui ne la font pas.
    Pour faire une guerre, il faut identifier contre qui, et pour quelles conséquences (précises, chiffrées) pour les belligérants et les autres.
    Si les belligérants sont majoritaires, alors la communauté part en guerre, mais seuls y participent ceux qui la souhaitent.
    A la fin, les belligérants sont comptables de la défaite, et partagent entre tous les bénéfices de la victoire ! Ca semble honnete :D
    Une guerre démocratiquement élue en quelque sorte !
    Vision du conflit bien étrange, mais qui peut peut être limiter les velléités guerrières, sans sacrifier à la nécessité du combat (politique, s’entend).


  • Wilemo Wilemo 1er mars 2014 12:34

    Comme le rappelle Millésime, le débat est explosif. Et on ne peut pas vraiment parler d’omerta médiatique sur le sujet, notamment sur son caractère antidémocratique.
    Du coup, je commence à être très dubitatif sur ce traité, et sur la volonté réelle de vouloir le finaliser. A quelques mois des européennes, dont chacun prédit (et ressent) une augmentation de l’abstention et/ou une augmentation des antieuropéens, je trouve que l’agenda pour négocier est vraiment mal choisi. Ca ressemble à ce fameux éléphant qui entrerait dans un magasin de porcelaine. Ou à l’agitation d’un chiffon rouge.

    Du coup, je commence à me poser la question de savoir quels seraient les intérêts pour les uns ou les autres à ce que le traité échoue ? Notamment les intérêts de ceux qui préconisent le traité ? Et là, je sèche ! A moins que la seule chose à obtenir AVANT les élections, ce ne sont pas les négociations elle mêmes, mais le mandat pour négocier. Dès lors, élections ou pas, les choses seront pliés.
    Tout élément de réponse est le bienvenu ! ;)


  • Wilemo Wilemo 25 février 2014 15:25

    Tout à fait d’accord avec vous.


    Dans une méthode démocratique de la prise de décision, il importerait de limiter le processus délibératoire à ceux qui y seraient soumis (ce qui n’empecherait aucunement à quiconque de faire force d’analyse et de proposition).
    Y sont soumis : ceux qui vivent à proximité (NDDL), ceux susceptibles de l’utiliser (grand ouest) et ceux qui payent ! Le fait est que, via la participation nationale, vous y êtes soumis ! ;)

    Ce projet crisatllise des tension, certes, et la tenacité (pour ne pas dire la violence) des oppositions omnubile les médias nationaux. Je le déplore également, car il serait tellement plus simple d’engager des processus démocratiques transparents pour éviter les conflits : on parle, on propose (expression), on dégage les conséquences (analyse), on se porte garant des conséquences (cf : le « pacte de responsabilité » dans un tout autre domaine), on évalue indépendamment les conséquences, et on laisse le public soumis aux décisions délibérer.

    Je suis rennais, je me sens concerné (des pubs urbaines nous ont vendues l’aéroport grand ouest), et je dois dire que ce processus est absent. Du coup, je ne cautionne ni n’excuse les accès de violence qui ont fait de ce lieu le centre médiatique de ce week end (et d’autres), mais je les conçois, et il me semble que ça serait aux institutions d’en répondre.


  • Wilemo Wilemo 25 février 2014 14:04

    Bonjour, 

    Je trouve tout à fait intéressant et important l’idée de demander aux (futurs) élus de se positionner sur cette question essentielle. Essentielle de par le champ d’application de ce que le TAFTA recouvre , et essentielle par la méthodologie utilisée pour le mettre en place.

    Sur le champ d’application, je ne me prononcerai pas car il ne m’appartient pas (à moi tout seul) de savoir ce qu’il faudrait ou pas mettre dedans, déjà (et au moins) parce que je ne sais pas à quel besoin il répond : à ce que je sache, nous sommes déjà libres de commercer avec les USA ! (et de toute façon, puisqu’il ne m’est pas possible d’intervenir dans le débat... à quoi bon !)

    Mais je m’intérroge effectivement sur la méthodologie employée, c’est à dire le caractère secret des négociations, et la non participation de la société civile (seule ou en en associations), ni même, apparemment, des élus.

    Et je me contenterai de remarquer que vous vous basez sur un constat anti-libéral de ce traité pour l’attaquer (constat que je partage, là n’est pas la question), avant de mettre en avant son son caractère anti-démocratique. Cela est abordé, certes, mais de façon « diplomatique » et presque que sous-tendue, là où je considère que c’est la question essentielle. Je pourrais très bien imaginer que l’on puisse être un libéral convaincu et refuser ce traité non pas sur ce qu’il contient (qui le satisferait), mais parce qu’il n’est pas d’essence démocratique : expression publique de la contradiction, analyse, synthèse et délibération nationale dès lors que son application supranationale influe sur la gestion nationale.

    Enfin, dans la mesure où nos (futurs) élus n’ont pas l’obligation de lire Agoravox ou tout organe de médiatisation, avez vous, ou envisagez vous, d’envoyer cette lettre ouverte aux (futurs) députés, et de nous faire part des retours ?

    Cordialement.


  • Wilemo Wilemo 19 février 2014 14:19

    Bonjour,

    Si je me considère de « gauche » (pour faire très simple, et à la limite de la caricature), je suis malgré tout d’accord avec l’ensemble de l’article sauf, peut être, la conclusion, à savoir : « l »entreprise est libre de faire ce qu’elle veut de son argent« , qui mériterait d’être développé. Si je suis tout à fait d’accord avec le fait que l’Entreprise (avec un grand E) est libre de faire ce qu’elle veut de son argent, je pose malgré tout la question de ce qu’est l’entreprise. Car une entreprise ne saurait être faîte sans ses salariés.
    Mais de toute évidence, l’entreprise n’a effectivement pas à se substituer à l’Etat dans le rôle de percepteur.
    Dans un premier temps, une solution »simple« , pourrait être de payer au salarié son salaire brut. Celui ci aurait alors l’obligation de payer ses charges. Il verrait alors très rapidement comment »ça fait mal au porte feuille", mais ça ne serait plus un pretexte pour s’opposer a l’entreprise, mais pour s’opposer directement aux institutions. Je suis bien conscient de l’usine a gaz que cela engendrerait, et des fraudes massives qui en résulteraient, mais...
    A la clé, notamment : un besoin identifié et bien senti de la nécessité d’un article constitutionnel sur la parcimonie des organes de l’Etat ; un autre sur la responsabilité de chacun à la hauteur de son investissement.
    De plus, cela permettrait de se (re)positionner sur la question de ce qu’est ’l’entreprise’ : l’initiative d’un homme qui a besoin de gens pour faire exactement ce que lui ferait, mais n’en a ni le temps, ni les moyens ou bien un collectif qui décide ensemble, et se soumet ensemble aux conséquences de son aboutissement.
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