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Wilemo

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  • Premier article le 29/04/2014
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Derniers commentaires



  • Wilemo Wilemo 11 avril 2014 00:11

    Bonjour,

    Je me demande si le bouquin dont vous parlez n’est pas « la nuit des temps », de Barjavel... ?
    Il a également écrit « ravages », tout aussi superbe ! 


  • Wilemo Wilemo 31 mars 2014 14:58

    Concernant Rennes, je ne suis pas persuadé que l’on puisse dire que la ville est restée, concrètement, PS : avec 35% au premier tour (30% pour l’UMP-UDI), et plus de 15% de FdG-EELV, le projet initial a été pas mal modifié pour constituer une force certaine face à l’UMP. Ils les avaient pas bien grosses à la veille du scutin !

    Si on ajoute une abstention de presque 50 % , je pense que le PS devra considérer comme ailleurs que ce maintien d’une majorité PS (comme l’UMP ailleurs) n’a rien à voir avec une victoire.


  • Wilemo Wilemo 29 mars 2014 20:53

    Bonjour

    Excusez moi si je vous parais un peu brusque, mais cette « chose » que vous avez commise n’est pas un article journalistique, ni même une « tribune ». C’est une publicité, au mieux un acte de communication même pas bien fait. Selon moi, ça n’a pas sa place ici.

    Par contre, si vous vous intéressez à un sujet du genre « comment la démocratie peut émerger (ou pas) des technologies numériques », il existe pléthore d’initiatives gratuites et open-sources dont les outils et modes de gestion sont si différents que leur analyse nous plonge dans des interrogations vertigineuses sur la nature démocratique du vivre ensemble numérique. Je gage que vous pourriez trouver le sujet passionnant.

    Le lien vers votre site vous signale férue de psychologie sociale... Sachez que depuis Lebon, des progrès ont été faits en la matière. Mettez y un peu de conviction, que diable ! smiley


  • Wilemo Wilemo 29 mars 2014 15:15

    @ l’auteur
    Bonjour,

    Je me permets une réaction, puisque je ne l’ai pas vue évoquée dans les commentaires. Vous écrivez que le « confiance est l’un des fondements de la démocratie », en affirmant que l’outil ne permet pas d’avoir confiance. Cette façon de formuler me paraît tout à fait juste, mais ce disant, cela serait oublier que la confiance se mérite, et le processus central de la démocratie, c’est bien son exacte contraire : la défiance (et pas la méfiance).
    Le concept de « confiance » est extrêmement usité, à la limite du galvaudage. Essentiellement par les personnes de pouvoir, dans le cadre de leur pouvoir, et ... on les comprend ! Avoir confiance, ça veut dire « laissez moi faire, ne vous inquiétez pas ».
    Mais le fondement du processus démocratique, c’est exactement le contraire ! Les outils démocratiques (dont le vote) doivent être transparents afin de permettre à quiconque n’aurait pas confiance de vérifier le processus. C’est une marque de défiance. Il s’agit de ne pas donner un blanc-sein à une quelconque autorité qui nous gouverne, mais d’éventuellement lui accorder notre confiance si elle le mérite.


  • Wilemo Wilemo 15 mars 2014 11:53

    En lien avec les commentaires précédents, l’auteur ne semble pas avoir compris l’opposition entre les facteurs psycho-sociaux et les facteurs socio-économiques du chômage.


    En étudiant les facteurs cognitifs de façon rigoureuse (cad, que je ne mets pas en doute) liés aux causes/conséquences du chômage, la mauvaise logique est de vouloir s’attaquer à ces facteurs pour diminuer le chômage, via une méthode, un « dispositif ».
    Car bien que le dispositif puisse être efficace sur la population qui y a accès, elle se contente in fine de mettre en concurrence les bénéficiaires du dispositif entre eux.
    Et si tous ont accès au dispositif, tous ont auront, en moyenne, un accès égal à l’emploi. Et on pourra encore reporter la faute ailleurs. Pour ma part, j’ai bossé sur la confiance en soi du demandeur d’emploi, car la confiance en soi a un impact reconnu sur différentes caractéristiques (motivation, implication, ...). c’est très scientifique, très valide, mais ça n’interroge jamais, par exemple, les employeurs. Ce sont les chômeurs qui doivent s’adapter, toujours.
    Comme l’école, mais sur des facteurs internes, les dispositifs psycho-sociaux du chômage sont un facteur de discrimination à l’embauche, qui fait monter l’ensemble de la société en compétence (compétences effectives pour l’employeur, toujours), mais qui n’ont pas le pouvoir de modifier le caractère éminemment compétitif du rapport à l’emploi.

    Les chercheurs, courant après les missions subventionnées, s’intéressent aux problématiques selon leurs compétences, mais ne peuvent se permettre de mettre en question l’origine psychosociale du chômage (sous peine de considérer que leur intervention est caduque). C’est à cet endroit précis de la recherche (ce qu’on éclaire/ce qu’on laisse dans l’ombre) qu’apparaît l’idéologie dominante.

    Wilemo, compétent sur les problématiques psycho-sociales du travail et des organisations, toujours en recherche de travail rémunéré (vous l’aurez compris, ce discours ne sied pas à l’emploi).
Voir tous ses commentaires (20 par page)


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