Woland

• « Pour Jean Sarkozy, a priori, il compte plus de se faire un nom (...) ». Ah bon, il a besoin de se faire un nom ? C’est nouveau, ça !

C’est bien ce que je pensais : des lettres se sont égarées. Et vous compensez en inventant des règles à votre façon pour masquer vos lacunes. Remplacez « Je veux dire : » par « Et » - et vous verrez que la répétition du point d’interrogation se justifie.

Monsieur Imhotep, je viens de lire votre réplique en page rose. Vous serait-il possible d’écrire en français ? Je veux dire : de construire de temps en temps une phrase qui tienne debout ? Manifestement, vous avez dû apprendre notre langue par correspondance et des courriers se sont égarés. Il est vrai que ce qui ne se conçoit pas bien ne s’énonce pas clairement.

Question cruciale : quels risques encourraient les représentants de l’Etat qui auraient l’audace de voter pour un autre candidat que petit Jean ? Réponse : carrière brisée.

Que ce soit dans le secteur public ou dans le privé, l’incompétence peut causer d’immenses dommages. Il est faux d’affirmer que les postes-clé « ne nécessitent, pour les tenir, que du bon sens et non des compétences extraordinaires ». A l’embauche, on ne choisit pas tellement les gens pour leur bon sens mais bien plutôt en raison de leurs capacités. Le danger est d’autant plus grand lorsque derrière le prétendu bon sens se cache une personnalité de type narcissique ou mégalomaniaque, ce qui est hélas fréquemment le cas dans les hautes sphères de la politique. Quant à vos comparaisons avec Martin Bouygues et Arnaud Lagardère, elles sont dénuées de pertinence car ceux-ci n’ont pas assumé de lourdes responsabilités avant d’avoir terminé leurs études et acquis une solide expérience. Encore une remarque : lorsque vous comparez les affaires Frédéric Mitterrand et Jean Sarkozy, vous écrivez que « la gravité des faits est sans commune mesure dans les deux cas ». Pour ma part, j’ai bien de la peine à déterminer laquelle des deux affaires est la plus grave. L’affaire Mitterrand nous a familiarisés avec la pédophilie (si pas la sienne, du moins celle du sieur Polanski) et l’affaire Sarkozy avec le népotisme. Et voilà que vous en rajoutez une couche en chantant les vertus de la népophilie...