Woland

Vous avez raison. Tout cela relève de la psychiatrie. A n’en pas douter, Nicolas Sarkozy (comme Berlusconi et tant d’autres chefs d’Etat) est mégalomane. Cela se soigne - mais pas à la tête de l’Etat, s’il vous plaît. Il était déjà évident pendant la campagne électorale que le petit Nicolas était mégalo, tant les engagement solennels qu’il prenait vis-à-vis des Français étaient impossibles à tenir (idem pour Berlusconi). Malheureusement, les électeurs éblouis n’y ont vu que du feu. La question qui se pose maintenant est : ces mêmes électeurs y verront -ils plus clair en 2012 ? Ou bien le rééliront-ils comme les Américains ont réélu George W. Bush et comme les Italiens sont allés rechercher Berlusconi ? On a le Président qu’on mérite...

• Pourquoi dénigrer l’attention bien intentionnée d’un père attentif et attentionné ? A la tête de l’EPAD, Jean Sarkozy aura tout loisir de préparer ses examens de droit dans un cadre convenable.

Il serait vraiment navrant que les Français se cantonnent dans un « silence poli* face aux turpitudes du pouvoir - en particulier face aux agissements désordonnés et à la fatuité outrancière de leur agité du bocal de Président. Il faut remonter aux bons rois Louis pour trouver des chefs de l’Etat ayant traité le peuple français avec autant de suffisance et de mépris que le tsar (la star) Nicolas Sarkozy. Ne lui opposer que silence et politesse (c’est-à-dire ne rien lui opposer du tout), c’est faire son jeu et ouvrir la porte à tous les abus. L’article de sieur Sage est un appel à la renonciation, à la soumission pure et simple, à la reddition sans condition. »Ne pas se précipiter, oser prendre du temps" - et quand on a fini de prendre son temps, le mal est fait, l’irréparable s’est produit ; est-ce cela qu’on veut ? Sûrement pas. Il est au contraire urgent de mettre le pantin de l’Elysée hors d’état de nuire à la République en le combattant point par point, avec ténacité, jusqu’à ce que - pris au piège de ses nombreuses contradictions - il soit contraint de prendre le chemin de la Roche Tarpéienne, accompagné de sa clique de courtisans. Avec l’espoir que son successeur s’avérera davantage préoccupé par le bien commun qu’assoiffé de bling-bling, de gloriole et de profits personnels. Car ce dont la France a besoin pour la diriger, c’est de personnes intègres qui ne renient pas leurs promesses électorales. Malheureusement, il semble que ce soit une denrée rare.

Je viens de relire tranquillement l’article ainsi que tous les commentaires et il me semble évident que Robert Branche a tort de s’entêter. L’étymologie est une chose mais on ne peut empêcher le sens des mots d’évoluer (Charles Martel dixit). Le Petit Larousse résume bien les choses en définissant ainsi la pédérastie : « 1) Attirance sexuelle d’un homme adulte pour les jeunes garçons ; relation physique fondée sur cette attirance. 2) Par extension : homosexualité masculine ». Qu’on le veuille ou non, le terme « pédéraste » s’est éloigné de son sens originel pour prendre celui, plus général (et aujourd’hui consacré par l’usage), d’« homosexuel mâle ». On ne retournera pas en arrière, pas plus qu’on va recommencer à enseigner que le soleil tourne autour de la Terre...

Je ne parviens pas à m’arracher de cette image. Plus je la regarde, plus je suis subjugué par l’acuité du regard. Toutefois, AV n’étant pas un site pornographique, le-joker aurait dû avertir les lecteurs qu’en cliquant sur son lien, il vont tomber sur une image qui risque de les choquer.