La bien-pensance, appelée aussi pensée unique, a une origine bien précise.
Votre analyse mélange d’ailleurs deux aspects distincts, l’un qui est un corporatisme de fonctionnaire qu’on ne peut pas qualifier de pensée unique mais plutôt de résistance au changement et l’autre qui possède cette caractéristique de totalitarisme intellectuel propre à la pensée unique. Celle-ci se traduit par la primauté donnée en France dans la loi et dans le discours à tout ce qui n’est pas d’origine française et réciproquement à la culpabilisation des masses, au propre comme au figuré.
La pensée unique prend son origine en 1981 avec l’arrivée au gouvernement du pouvoir juif. Jusque là, le racisme n’existait pas en France. Du jour au lendemain les français ont été dénoncé comme racistes par une camarilla à la solde de l’Israël, Fabius, Lang, Geismar, Badinter, Glucksman, la femme de Mitterand, Kiejman, et toute la brochette de ministres et secrétaires d’Eats que les français dans leur candeur ont amené aux affaires. C’est de cette époque que date le « touche pas à mon pote », la petite main mise à la mode par Laurent Fabius et qu’on retrouve partout depuis. J’étais à Clermont-Ferrand le jour où Danielle Miterrand est venue acceuillir 3.000 kurdes qu’elle venait d’importer, sans doute pour faciliter le climat social avec Michelin quelques années plus tard.
Suite aux sévices que les juifs ont subi pendant la 2° guerre, le pouvoir juif est resté convaincu que des nations solides et homogènes dans leur population représentaient à terme un danger pour eux. C’est pour cette raison qu’ils ont tout fait pour casser la nation française en nous mettant sur un pied d’égalité avec le monde entier et en passant toutes les lois nécessaires pour métisser le peuple français avec ceux d’Afrique par une immigration massive.
Bien évidemment ils ont aussi fait un train de loi pour défendre leurs intérêts en premier, comme cette loi Gayssot qui fait des français non juifs des citoyen de deuxième classe aux yeux de la loi et qui interdit toute contestation, toute défense politique, dés qu’un intérêt juif est en jeu. Un tel déséquilibre ne se trouve qu’en Inde avec son système de castes. Il suffit d’être dénoncé comme anti-sémite pour être condamné, quelque soient les faits. Les opposants politiques à la pensée-unique en ont fait les frais, je ne citerai pas les exemples que tout le monde connait.
Tout était prêt pour le rackett à grande échelle. Le premier pas a été de supprimer à titre rétroactif la prescription trentenaire pour les crimes de sang lorsque la victime était juive, la prescription restant valide pour les autres. La porte était ouverte et les esprits préparés pour une autre violation de la loi qui supprimait à titre rétroactif la prescription des simples délits comme le vol d’objets, dés lors que le plaignant était juif. Le signal était donné. La curée a commencé en 1997 avec la vieille Baruch, fille d’un banquier qui a sévi en Pologne entre les deux guerres. A 80 ans passés elle a été la première a attaquer le Crédit Suisse. Nul ne s’est posé la question de savoir comment les millions des pauvres polonais sont arrivés sur son compte en Suisse et tout le monde s’est préoccupé de la justesse des revendications de sa chère et innocente petite fille. La suite on la connaît, des fortunes ont été ramassées dans toute l’Europe. Comme dit le proverbe « Bien mal acquis ne profite jamais ». La moitié du butin a été prélevée par les avocats américains et les familles juives portent maintenant plainte contre eux pour essayer d’en récupérer une partie.
Depuis de l’eau a coulé sous les ponts et ces personnages ont quitté les manettes. Il y eut encore quelques soubressauts comme l’attaque en janvier 2006 contre le musée autrichien de Vienne qui détenait des toiles de Gustave Klimt. Une héritière au troisième degré (Mme Altman) demandait 300 millions d’euros. L’Autriche lui a donné les toiles et l’affaire en est resté là. On remarquera que dans tous ces cas, jamais l’impôt sur les successions n’a été prélevé, au nom des droits de l’homme sans doute. Là encore il existe un droit fiscal spécial pour eux.
Le cadre institutionnel de l’abandon de notre souveraineté et de la défense des citoyens français ayant été ainsi posé entre 1981 et 1989, le pétard leur a depuis éclaté dans les doigts. Tout le monde se réclame maintenant victime d’une discrimination, de racisme ou de xénophobie. Les lois qu’ils nous ont laissé empêchent le gouvernement d’agir, au nom des soit-disant droits de l’homme. Le droit du Français en France est baffoué. Les courageux qui a titre individuel essayent de défendre leur bout de France sont sévèrement condamnés par la justice.
Quand les arabes prendront le pouvoir les juifs seront les premiers à en pâtir mais entre temps ils nous auront légué les germes de notre disparition.