Je constate que mon dernier texte a été censuré et qu’il s’agit d’une censure à caractère politique, destinée à frapper les opinions que j’y exprimais.
Cette censure est parfaitement incongrue et illogique, puisque d’autres messages que j’ai posté ici, qui expriment exactement les mêmes opinions dans un langage similaire, n’ont curieusement pas été censurés.
Peu importe, les censeurs appliquent des critères dont ils ont seuls le secret et je ne vais pas m’attarder la-dessus.
Je me contenterais de répéter qu’il est bien évident pour tout le monde que l’immigration massive à laquelle nous avons assisté ces dernières années est une immigration économique, de populations qui crêvent de faim dans leurs pays d’origine.
Certaines de ces populations sont bien acceptées, par exemple les populations d’origines asiatiques, qui ne connaissent pas de chomage, car elles créent en général leur propres emplois, et qui ne participent pas aux émeutes.
D’autres populations sont rejetées par la population française et ne cessent de créer des problèmes du fait de ce rejet. Il s’agit essentiellement de populations musulmanes provenant d’Afrique du Nord.
Cette situation particulière des communautés musulmanes est de plus aggravée par la question du Moyen-Orient, et par l’agression de l’islamofascisme, que l’on a vu à l’oeuvre à Londres, Madrid, Paris ou New York.
Une question qui risque d’accroitre les fractures et d’intensifier les phénomènes de rejet.
Croire que l’expulsion de ces populations d’Europe, qui n’est que la conséquence logique de ce rejet réciproque, ne se posera pas est une illusion.
Il suffirait d’une étincelle pour que la poudre explose.
Il serait meilleur, je pense, que cette expulsion se fasse de façon ordonnée et progressive, c’est à dire à froid, plutôt qu’à chaud à l’occasion d’un incident qui provoquerait la colère de l’opinion publique.
Et je le répète aussi : les électeurs ne manqueront pas de s’interroger un jour sur les responsabilités politiques qui ont abouties à la situation présente.
Le jour où le débat politique en France consistera à regarder la gauche et la droite se refiler le mistigri : « C’est de ta faute ! Non pas du tout, c’est de la tienne ! », alors ce jour là, qui n’est peut être pas si éloigné qu’on ne pense, les communautés étrangères en cause pourront préparer leurs bagages, car le jour de rentrer à la maison sera venu.