@ David Adel
Vous interpelez l’auteur en ces termes : « Etes-vous Barundais, connaissez-vous le Burundi ? » Et l’auteur, que ce soit ou non le cas, nepeut que vous répondre : les faits qu’il décrit sont-il exact ou non ? Puisque vous-même semblez connaître ce pays, répondez donc à cette question au lieu de passer votre temps à accuser les autres... à moins que dans vos relations personnelles dans ce pays, (si vous en avez) vous ne comptiez des familles qui pratiquent cet esclavagisme propre aux sociétés musulmanes.qui s’arqueboutent sur la notion de privilège et qui n’ont aucune sens de la « dignité » humaine telle qu’elle a été développé depuis longtemps dans d’autres cultures.
Vous estimez qu’un travail à 15 dollars/mois est un luxe. C’est lamentable... La notion de salaire pour un individu civilisé doit être couplée àla notion de « juste rémunération » pour un travail donné. Pouvez-vous nous affirmer que c’est le cas, même dans un pays aussi pauvre que le Burundi. Où est la notion de justice ? Surtout envers de pauvres « hères » qui sont utilisés 24 h / 24 et qui, la plupart du temps, on été achetées pour une bouchée de pain à des familles misérables.
Défendre un tel système est inhumain. Et toujours rejeter la « faute » sur autrui est lâche et déresponsabilisant. Que vient faire votre réflexion : « A ne pas oublier que le 17 octobre est la journée mondiale de l’alimentation... ! » Sinon encore une fois à pleurer et à demander des subventions sur lesquelles vous allez vous empresser de cracher.
Patrick Adam