Désolé de vous dire cela, mais votre plaidoirie concernant le cas que vous défendez reste un discours d’avocat. Et ce n’est pas parce-que vous nous l’exposez sur un média citoyen, que j’avalerai tout comme du petit lait.
J’ai été victime personellement d’avocats comme vous qui utilisent un axiome bien admis chez les juges aux affaires familiales : si violence ou grief il y a au sein d’une famille, cela vient obligatoirement du coté du mari ou du père.
A partir de là, on peut attribuer toute sorte de délit sur un mari ou un père qui pouvant aller jusqu’à la pédophilie.
Beaucoup de mères divorcées utilisent de fausses accusations, et ça marche ; tout en se dédouanant par une volonté affichée de garder une relation enfant/père (je ne serai pas surpris que cet argument vienne plutôt de vous que d’elle). Les gardes sont presque exclusivement attribuées aux femmes, avec quelques miettes pour le père qui donnent une bonne occasion à la mère de laver le cerveau de l’enfant et lui faire gober des saloperies mensongères à propos du géniteur.
Du coup la plupart du temps, les enfants ne veulent plus voir leur père, et sont plus à même d’utiliser les arguments fallacieux de certaines mères.
J’ai plusiers cas autour de moi de pères qui aiment leurs enfants, et qui ont fait l’erreur de le faire avec des hystériques ou instables mentalement, où tout simplement immature. En effet, j’ai plus l’impression que certaines mères procréent comme elles adoptent un chaton. Et une fois le géniteur inutile, il se retrouve sans personne, et je ne vous dit pas les dégats en terme de maladies mentales ou physiques, sans compter les addictions (alcoolisme, drogue, etc).
Par pitié, a partir du moment où nous ne sommes ni juges, ni jurés, et surtout que nous n’avons pas eu la version du père, évitez de nous jeter à la figure votre plaidoirie d’un cas pour lequel nous ne savons finalement rien du tout.
Cela dit, vous avez raison sur un point, concernant la relation entre théorie et pratique, nottament le fait de pouvoir se présenter sans avocat. Les choses sont claires, le greffier sort de la salle d’audience, et demande qui est accompagné d’avocat, et qui ne l’est pas, les accompagnés passent en premier.
Suite à cela, lors devotre passage, si la partie adverse et venue assistée d’un avocat, votre parole ne vaut rien, absolument rien du tout. Et j’ai même remarqué une certaine complicité entre le juge et l’avocat.
Comme dit un certain groupe de rap, il faut faire le choix entre l’avocat qui connait la loi, et l’autre qui connait le juge.