Le pseudo "libre-échange" est une fumisterie absolue.
Le véritable libre-échange ne saurait s’entendre que "toutes choses égales par ailleurs" ; ce qui n’est, évidemment, jamais le cas.
Notamment pour les Etats Unis, protectionnistes s’il en est, pour la politique agricole des pays occidentaux qui, à coups de subvention, ruine les agricultures des pays émergents, etc, etc....
Alors, s’il ne semble pas une solution satisfaisante de refermer les frontières et de proner un protectionnisme total, il me semble que l’instauration de critères internationaux de production, prenant en compte les conditions sociales de production (salaires, couvertures sociales, respect des codes du travail, accès à l’éducation, au soins, au logement, etc...) devraient être mis en place, avec taxation des produits ne respectant pas ces critères, pour éviter le dumping, qui oblige à aligner les conditions sociales des travailleurs du monde entier vers le bas.
Mais de ça, il n’est et ne sera jamais question dans les discours des dirigeants qui continuent à proner un libre-échange totalement biaisé, et qui se fait, toujours, sur le dos des plus démunis.
C’est que le terme "social" apparait à tous les défenseurs du libre-échangisme globalisé comme une incongruité grossière, à évacuer du champ du pseudo "libéralisme", qui n’est que le faux-nez d’un capitalisme de plus en plus destructeur de libertés, et aggravateur des inégalités.