"Pour que cela marche il faut donc des entreprises saines qui dégagent
des bénéfices et payent des impôts en France. "
Dans la comptabilité d’une entreprise, il y a une colonne pour chaque
poste, et pour chaque centime dépensé, investi ou réservé,
amortissements et autres, également les emprunts et remboursements. Les
bénéfices d’une entreprise sont un luxe absolument inutile à la vie de
l’entreprise. La vérité est qu’une entreprise pourrait fonctionner à
l’instar d’une association à but non lucratif, et clore chaque exercice
en distribuant ses excédents entre les salariés.
Ainsi, il serait tout à fait possible de donner du pouvoir d’achat aux
salariés, aux consommateurs et améliorer la compétivité des entreprises
tout simplement en renonçant à faire du bénéfice qui ne sert à rien.
Notre Economie repose en totalité sur la consommation des ménages, et
chaque contribuable, entreprise ou individu, ayant la possibilité de
fixer le prix de son service joue un rôle d’intermédiaire, et se
contente d’avancer une somme qu’il récupèrera sur ses clients et
subalternes.
"Or, que se passe-t’il depuis le début de la mondialisation ? Les
grandes entreprises multinationales ont décidé d’investir au maximum en
Asie, ......"
Le comble serait que les multinationales ne profitent pas de la mondialisation, aprés l’avoir imposée
"Moralité :......... le jour (proche dans ce contexte de crise) où les
créditeurs de la France refuseront de nous prêter de quoi financer nos
dépenses publiques."
L’émission de la monnaie n’est possible que parce les individus
travaillent et créent de la richesse. ce n’est pas la banque centrale
qui crée la monnaie, elle se contente de l’émettre, et l’ironie, si
l’on peut dire, et que par un tour de passe passe de nos élus, nous
sommes contraints de louer au prix fort ce qui nous appartient.
La faillite de l’état est programmé de longue date, ainsi que la notre,
et attendre de l’état, de nos élus qu’ils interviennent et solutionnent
les problèmes, c’est demander au couteau qui égorge de s’émousser et
disparaître.
je ne sais pas si nous aurons un jour le courage de nous élever contre
l’adversité, mais je suis persuadé qui si nous inversons le court de
l’histoire celà viendra des grains de sable et surement pas des élites.