Il ne s’agit absolument pas de milices, mais de rondes citoyennes – c’est vraiment très différent – dont les volontaires ne seront même pas armées de bouteilles d’huile de ricin. Ces mêmes volontaires sont encadrés – parce qu’elles patrouillent déjà depuis des mois, dans en Italie du Nord, où leur présence est aussi dissuasive qu’appréciée – par des retraités de l’Arme des Carabiniers, de la police et de la Garde financière.
« Un vaste mélange donc, qui assimile sans-papiers, immigrés et délinquants. »
A juste titre si l’on en juge par les informations quotidiennes et la composition ethnique de la population carcérale.
L’Italie devient progressivement un modèle pour tous ceux qui, en Europe, refusent de disparaître sous l’invasion des alterculturels. Il est vai aussi que, quand on possède la patrimoine de la Péninsule, on ne tient à le fourguer à des peuplades primitives dont certains spécimens, il n’y a pas si longtemps, squattaient, y compris fécalement, les alentours du Baptistère de Florence, comme l’avait dénoncé la regrettée Oriana Fallaci.
« Les Italiens n’ont manifestement pas besoin d’un ministère de l’Identité nationale… »
Effectivement, ils n’ont pas besoin d’une structure bidon pour manifester avec des pancartes « Polenta si ! Cuscus no ! », pour interdire les kebabs dans leurs centres historiques et pour aller profaner des terrains prévus pour la construction de mosquées avec du fumier de porc. Et il y en a du fumier de porc dans la région de Parme où ces « monstruosités » se passent !
« …pour concurrencer l’esprit d’initiative français en la matière. »
Si ça peut vous rassurer l’identité nationale, le président issu de l’immigration n’a pas la moindre idée de ce dont il retourne, puisqu’on l’a même entendu dire : « L’identité nationale, c’est Liberté, Egalité, Fraternité ».
P.S. – Au dernier sondage, Berlusconi en était à 75 % d’avis favorables dans les sondages. Lors des élections administratives du 7 juin, 25 ou 26 provinces pourraient aller de la gauche à la droite, et l’âne qui préside le Parti démocrate (PD) ne sait plus à quel coup tordu se vouer, non pour remonter la pente, mais pour freiner la dégringolade. Dunque « Tutto va bene mia nobile marchesa »*