Bonjour l’auteur,
Il faut écouter et prendre en considération les consommateurs de ces drogues parce que ce sont des victimes de notre époque.
Mais ne pas les suivre dans leurs conclusions est évidemment une obligation.
Pour ceux qui ne sont pas encore dépendants, votre article est totalement justifié. Il devrait être rappelé avec insistance.
Malheureusement il est incomplet. Ce que vopus décrivez est un symptôme : le besoin d’une béquille.
Il faut maintenant s’attaquer AUX CAUSES. Votre article devrait donc se poursuivre par une deuxième partie qui concernerait ces causes.
QUELLES SONT ELLES ? Pourquoi la santé psychique de nos contemporain est-elle si mauvaise ?
Que les chercheurs se mettent au travail pour aller un peu plus loin qu’en citant les dificultés de la vie.. Il y a urgence.
Pour ma part je pense que l’on connait déjà la cause principale de cette mauvaise santé mais que là ,aussi (et plus qu’ailleurs) nous sommes prisonniers des idéologies et du politiquement correct.
Il est interdit de dire que notre système nerveux est maltraité pendant la construction du cerveau, de la conception jusqu’à l’âge adulte mais surtout pendant les premières années de vie (les quatre premières à compter de la conception sont cruciales).
Le féminisme a accrédité l’idée que les enfants devaient être mis en collectivité très tôt sinon ils ne seraient pas « socialisés » ! ainsi que d’autres arguments du même ordre allant tous dans le sens de la « libération de la femme ». On n’a donc pas le droit de dénoncer cette imposture et en effet, personne ne s’y risque.
Le cerveau est plastique. Oui, mais lorsqu’un circuit est détruit, le réseau de remplacement qui se met (peut-être) en place est un ersatz et n’a apparemment pas la même efficacité.
Les cerveaux immatures des jeunes enfants sont plus ou moins gravement distordus, malformés par les stress répétés qui leurs sont imposés et qu’ils ne sont pas encore en mesure de supporter.
On doit prévenir la population des dangers des drogues et peut-être réduire ainsi quelque peu le nombre des individus dépendants, mais la solution consiste à rendre ces poisons inutiles.
Il faut changer no mentalités et nos modes de vie, pour nous permettre ensuite de changer nos modes de maternage et d’élevage des enfants.
Il reste cependant une question fondamentale à laquelle on ne voit pas de bonne réponse. Cette question c’est :
- comment permettre à des parents malades d’élever des enfants en bonne santé ?