Armand le talmudiste délire complètement ! salafiste est-ce son insulte suprême ? Mais le pauvre il a un train de retard, les salafistes sont aujourd’hui les meilleurs alliés de l’axe americano-sioniste. Quant à mes soi-disant congénères qui massacrent par millions, fait-il allusion aux yankees et aux squatteurs de la Palestine historique ? Encore raté monsieur le talmudiste ! A moins qu’il ne me prenne pour un arabe, ce que je ne suis pas, là aussi il s’agit de la fameuse tactique de l’inversion accusatoire. Le talmudiste veut nous faire croire que c’est l’Irak qui a bombardé les états-unis, que la Libye pilonne la France et l’Angleterre à coups de tomahawk ou que la Palestine lapide l’entité sioniste au phosphore blanc. Un névrosé !
« les excès israëliens sont parfaitement compréhensibles », il justifie le massacre et le génocide des palestiniens, wouaw quelle humanité ! Il a définitivement laissé tomber son masque.
« Le seul point positif, ils sont généralement d’une incompétence crasse, incapables de se gouverner correctement depuis que les Turcs ont été contraints, hélas, de lâcher le Proche Orient. » c’est de l’insulte gratuite, du pur racisme digne du rabbin extrémiste ovadia yossef !
Ces arabes qu’il qualifie d’incompétents sont issus d’une civilisation louée par les historiens honnêtes. Avant l’empire ottoman, les arabes ont régné sur un immense territoire et leur civilisation était florissante et réputée. Je vais illustrer mon propos par deux exemples tirés du livre de Gustave Le bon :
- "La Syrie recouvra bientôt, sous les
Arabes, une prospérité dont elle avait perdu depuis longtemps le souvenir. Sous
les Ommiades et les premiers Abassides, elle fut un des pays où la civilisation
atteignit le plus grand développement. Les nouveaux maîtres traitaient leurs
vaincus avec une grande équité et leur laissaient la liberté religieuse la plus
complète. Sous leur bienveillante protection, les évêques grecs et latins
jouissaient d’une tranquillité qu’ils n’avaient jamais connue. Toutes les
grandes villes de la Syrie : Jérusalem, Tyr, Sidon, Damas, redevinrent bientôt
florissantes ; l’industrie et l’agriculture, extrêmement prospères.«
- »Les règnes d’Haroun et de son fils sont
justement considérés comme l’époque culminante de la puissance politique des
Arabes en Orient. Leur empire, en Asie, touchait aux frontières de la Chine ;
ils avaient refoulé les tribus barbares de l’Afrique jusqu’à l’Éthiopie, les
Grecs jusqu’au Bosphore, et, à l’Occident, ils n’avaient que l’océan Atlantique
pour borne. En moins de deux siècles, ces vaillantes tribus de l’Arabie, dont
la voix de Mahomet avait fait un seul peuple, avaient fondé un empire aussi
grand que celui des Romains et cet empire était le plus civilisé et le plus
redouté du monde."