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Commentaire de Peachy Carnehan

sur La France, sur les traces de « son » Breivik


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Peachy Carnehan Peachy Carnehan 20 mars 2012 00:03

« La seule chance pour Sarkozy de remporter cette élection réside dans un événement exogène à la campagne, un événement exceptionnel et traumatisant. »

Ce n’est pas moi qui le dit, c’est Christophe Barbier, le patron de l’Express, ami de Carla et Nicolas. Selon lui, « seul un cataclysme capable de fédérer les Français autour de son président peut offrir une chance de réélection à Sarkozy ». Il disait ça la semaine dernière dans l’émission « C Dans l’Air », sur France 5.

La question qui se pose est donc la suivante : Est-ce que Sarkozy et la vermine fasciste qui l’entoure sont capables d’un tel acte ?

Pour ma part, et c’est purement subjectif, il n’y a aucun doute. Ce cintré est apte au crime d’Etat. Un type ami des pires salopards de la création tels Berlusconi, Bush et Poutine, un individu conseillé à l’Elysée par un malade d’ultra-droite comme Patrick Buisson, un aventurier cynique capable de déclencher une guerre contre la Libye pour se refaire une santé dans les sondages, ce type-là est en mesure de provoquer le pire pour sauver sa tête et son petit pouvoir personnel. (Amok) Et je ne parle même pas des menaces de mort proférées contre les témoins génants de l’affaire Bettencourt-Sarkozy (Lien).

C’est d’autant plus compréhensible, de son point de vue de bête traquée, que les socialistes se montrent menaçants en lui promettant les foudres de la justice pour l’après 6 mai. « Manuel Valls, le directeur de la communication de campagne de François Hollande, a assuré que Nicolas Sarkozy avait « peur » de n’être pas réélu parce qu’il craignait de perdre l’immunité présidentielle. » Lien.

On en revient à la question. Sarkozy ou son entourage nauséabond sont-ils des véritables ordures capables de faire assassiner des Français pour remporter une élection qui sauverait leurs peaux, leurs privilèges, leur fric, leur liberté ?

En attendant de le savoir, Sarkozy vient de geler l’élection présidentielle sur son terrain, celui de l’insécurité, en profitant de circonstances exceptionnelles. Comme évoqué par Christophe Barbier. A partir d’aujourd’hui si la DCRI et la PJ, aux ordres de l’Elysée, font feuilletonner savamment l’affaire jusqu’en avril ou mai prochain, le bon peuple n’aura plus qu’à voter Sarkozy, le président fort d’une France forte, pour les protéger.

Et ce sera reparti pour cinq ans de plus au Fouquet’s. C’est cousu de fils blancs.


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