@Par Antoine Diederick (xxx.xxx.xxx.221) 29 août 09:24
Vous dites : « savoir-faire/devoir-faire/ pouvoir-faire etc.... »
L’auteur a l’habitude d’aborder un sujet sous un angle mais il faut voir les autres angles sous entendu.
En gros, l’auteur nous parle de la souffrance que, peut-être,
apporterait une religion comme une mis en bouche mais ensuite il étend
le sujet sur la problématique générale de l’éducation à savoir comment
éviter une souffrance aux esprits sensibles [je caricature].
Dans mon intervention, j’ajoute qu’il faudrait déjà se poser les bonnes questions avant même d’aborder ce sujet.
Savoir ce qu’on vaut est important, par exemple.
Si j’aborde ce sujet ce n’est pas pour critiquer l’auteur c’est pour rappeler qu’il faut prioriser ses décisions.
Le savoir être est aussi important, et curieusement vous ne l’avez pas mis...
Pour caricaturer l’intention de l’auteur :
« Peut-on laisser la souffrance d’autrui du fait de l’éducation sans rien faire ? »
J’aurais pu aller plus loin en disant à l’auteur que tant qu’on y est on devrait envisager d’interdire ce qui est trop violent.
Mais quel est l’étalon de cette violence ?
En d’autres terme comment je sais que cette violence est acceptable ou pas ?
Ce qui est acceptable pour X est peut-être de l’obscénité pure pour un autre ...
Juste pour réfléxion :
Pour un musulman l’Islam est une bénédiction, pour un catholique c’est une hérésie...
Cordialement
Leo Le Sage
(Personne respectueuse de la différence et de la pluralité des idées)