fergus,
Corrige-moi si je me trompe.Non seulement tu es communiste mais PC de la ligne de l’ancien temps. ceux qui sont pour NDDL, et passaient leur temps,lors de la campagne, à dire « ne soyez pas trop méchants avec le PS car nous gouvernerons avec eux. Et pas de culte de la personnalité avec Mélenchon, » parce que mélenchon , il a des vues qui souvent dépassent les vôtres. (Dernier exemple : pour abstention du groupe à l’assemblée nationale pour le budget.N’est-ce pas ?.
En le précisant on comprend mieux que ce que tu présentes comme un point de vue sage et modéré et en fait un point de vue d’appareil.
@l’auteur,
Votre texte est formidable de précision, de justesse et cette haine qui monte contre ce gouvernement est oh, combien justifiée.
Kyste !
mais , comme bien souvent, un monde ancien, avec la crainte de changements, même s’ils sont inévitables, s’oppose à un monde nouveau qui ayant moins de biens à défendre est prêt à toutes les luttes.
la démission de Moglia, hier, du PS , précédé en cela par d’autres dont on ne parle pas, est un signe de ce refus d’entrer dans ce monde-là.
Certains à nantes veulent un aéroport ?
Savent-ils qu’ils paieront Vinci s’il n’y a pas assez de benefs pour les actionnaires ?
Et la France entière avec ses impôts ?
Connaissent-ils les détails des partenariats public-privé ?
Ca m’étonnerait bcp.
Maintenant que certains PC, car il faut bien voir que la frange PC qui est pour NDDL est minoritaire, défende ses alliances politiques à NDDL, il ne faut quand même pas prendre les gens pour des imbéciles, tout le monde le sait.
On attend avec impatience leur congrès.
Et déjà, qu’ils soient aujourd’hui à la journée de l’écosociaslisme ne peut que leur faire du bien.
Quant à la proportion de lecteurs qui sont « contre » votre article, oui, Avox a un paquet de lecteurs de la vieille garde, ils sont levés dès le matin et vont vite moinser. Mais cela s’équilibrera dans la journée.
Vraiment formidable , ce que vous avez fait, et la photo me permet de retrouver exactement ce qu’était NDDL ce jour-là puisque j’y étais.