@taktak
Et bien non Taktak, ce n’est pas un non respect partiel du traité. Renseignez vous ! Comme je vous l’ai écrit, il existe différent niveaux d’adhésion. Si la France ne veut pas participer au groupe des plans nucléaires, elle le fait par lettre de renonciation. Mais elle ne sort pas du traité ! Vous pouvez, bien sûr, écrire que c’est un non respect du traité, si cela peut vous faire plaisir, mais ce n’est pas vrai ! Vous voulez qu’il en soit ainsi pour vous justifier, justifier l’idée du PRCF de désobéir aux traités. Mais cela ne marche pas ! Vous opérez de cette façon comme une dictature bolchévique. Vous faîtes peur !
Donc vous avez écrit des contrevérités ! La France est, depuis 1949, dans l’OTAN et ne l’a jamais quittée depuis cette date.
Vous ne faîtes pas l’effort de chercher Taktak. Vous restez coincé dans votre idée première. Voici un texte qui pourrait vous aider.
Quels sont les organes de décision de l’OTAN ?
Le fonctionnement de l’OTAN est relativement complexe, les organes de décision et de commandement sont multiples :
Principales institutions
> Conseil de l’Atlantique Nord
> Groupe des plans nucléaires
> Comité des plans de défense
Principaux organismes du Comité des plans de défense
> Comité militaire
> Etat-major militaire international
> Commandement allié opérations
> Commandement allié transformation
La France n’avait jamais quitté le conseil de l’Atlantique Nord
Le principal organe de décision de l’OTAN est le « conseil de l’Atlantique Nord ». C’est le pouvoir politique de l’OTAN où siègent les 26 pays membres. La France n’a jamais quitté cet organisme. Depuis 1949, la France participe donc à toutes les décisions prises par l’OTAN.
La France a quitté le groupe des plans nucléaires en 1966 et Nicolas Sarkozy n’a pas voulu y revenir
Au sein de l’OTAN, le groupe des plans nucléaires est l’organe de décision de la politique nucléaire des pays de l’OTAN. La France a quitté ce groupe en 1966 au nom de l’indépendance du pays. De Gaulle ne voulait pas soumettre la dissuasion nucléaire de la France aux décisions des Etats-Unis et de l’OTAN. Au nom de l’indépendance de la puissance nucléaire de la France, Nicolas Sarkozy n’a pas eu l’intention de réintégrer cet organe de décision.