Voilà
ce que ses proches disent du sanguinaire propagandiste sioniste : il
n’est rien qu’un juif sectaire, intolérant et suprémaciste. Faut-il
s’en étonner ? C’est ce que l’examen de son « discours »
laissait penser. Au vu de leurs commentaires, a même chose
s’applique probablement aux propagandistes sionistes qui viennent
s’exprimer ainsi :
http://algeriepatriotique.com/article/la-soeur-de-bernard-henri-levy-abandonne-le-judaisme-et-devoile-le-vrai-visage-de-son-frere
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La
sœur de Bernard-Henri Lévy abandonne le judaïsme et dévoile le
vrai visage de son frère
17.
mai 2016 - 9:35
Véronique
Lévy, sœur du philosophe va-t-en-guerre, a révélé la face cachée
de son frère Bernard-Henri dans une interview au magazine people
Paris Match, paru en avril 2015. L’entretien, bien qu’il soit axé
sur la vie spirituelle de Véronique Lévy, n’en dévoile pas moins
des facettes jusque-là inconnues du porte-voix de l’Internationale
sioniste en France. « Mes frères (Bernard-Henri et Philippe, ndlr)
parlaient trop souvent de la Shoah et cela m’agaçait », affirme
Véronique Lévy qui s’est convertie au christianisme. Elle
rappelle les propos que son père lui tenait lorsqu’elle était
petite : « Tu fais partie d’une des familles juives les plus
anciennes », lui disait-il, fier de sa descendante hébraïque. Une
fierté que Bernard-Henri Lévy a également héritée de son
arrière-grand-père, qui fut rabbin, contrairement à son père
« très laïque », raconte Véronique Lévy. Bernard-Henri Lévy a
donc grandi avec le traumatisme de l’holocauste, puisque, affirme
sa sœur, il en faisait un sujet de débat quotidien avec son frère
et le reste des membres de sa famille. Derrière la fausse ouverture
d’esprit de Bernard-Henri Lévy se cache un intégrisme savamment
voilé derrière une fausse ouverture d’esprit qui, si elle n’était
pas ainsi exhibée dans le cénacle et sur les plateaux de télévision
qu’il affectionne, le dépourvoirait de sa qualité de philosophe.
Sa sœur raconte comment il a réagi quand il apprit qu’elle avait
décidé d’abandonner le judaïsme et de changer de religion.
Incapable de l’en empêcher par la force, il se contenta de lui
faire accroire que son geste relevait d’une lubie et qu’elle
allait très vite revenir à sa religion d’origine. Blasphème !
Pour Bernard-Henri Lévy, qui appelle les musulmans à « suivre
l’exemple d’Israël », il est inconcevable que sa propre sœur le
démente et que son âme ait trouvé son repos à l’église. « Quand
j’ai annoncé à Bernard-Henri (Lévy) que j’allais devenir
catholique, il a cru que j’étais folle », narre sa sœur, qui
ajoute que son frère avait pris cela pour une « toquade » qui lui
« passera », affirmant, plein de certitude, qu’elle allait «
revenir au judaïsme ». C’est que Bernard-Henri Lévy est convaincu
que lui et sa sœur font partie du peuple élu et que c’est plutôt
aux adeptes des autres religions d’embrasser la leur. « Adolescente,
je l’aimais, mais je m’opposais à lui », raconte encore la sœur
de Bernard-Henri Lévy, de vingt ans sa cadette. « J’aurais préféré
qu’il montre davantage sa fragilité, car je sais qu’il est
hypersensible. Je le préfère dans l’intimité qu’à travers son
personnage public », assure Véronique Lévy qui révèle par
ailleurs, le côté « intégriste » du « libérateur » de la Libye :
« Bernard-Henri Lévy m’a surprise aux côtés de mon frère
Philippe à l’hôpital en train de lire l’Evangile. Il m’a dit :
« Mais tu deviens folle ! (…) Prie, mais en silence ! » Comment le
zélateur du sionisme et l’avocat d’Israël pourrait-il, sinon,
poursuivre son prosélytisme si sa propre sœur était aperçue
priant Jésus au chevet de son frère mourant ? Addition de fanatisme
et de machiavélisme dans l’esprit du théoricien de la stratégie
de destruction des pays du Maghreb et du Moyen-Orient par leurs
propres peuples, sans que l’Occident, allié d’Israël, ait à
débourser le moindre centime ou à sacrifier ne serait-ce qu’un
soldat.
Karim
Bouali