« Ce que j’aime dans le ciel, c’est qu’il est vivant. »
Moi aussi, j’aime lever le nez et voir des beaux oiseaux d’envergure.
Les cigognes évoluent maintenant, un peu partout en Europe depuis leur réintroduction.
J’ai même vu des troupeaux entier en Turquie, picorer dans des champs de blé qui venaient d’être brûlés. C’était éblouissant de voir ces grands oiseaux par milliers paître sur la paille brûlée, à la recherche de nourriture, avant de reprendre leur envol, vers des contrées lointaines.
C’était un spectacle inoubliable, imprévisible, offert par le hasard, que l’on ne peut que rencontrer, en dehors des sentiers battus, hors de ceux balisés par les voyagistes et tours opérateurs.