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@Ben Schott
A la fin de l’article de Spartacus qui aura fait l’objet de si nombreux commentaires, vous vous plaigniez d’une « occupation », en France, de certains territoires, lesquels devraient selon toute vraisemblance (mais j’en suis réduit à interpréter) revenir à ceux qu’on appellera, pour faire court, des « Palestiniens ».
Notre ami DACH ne comprenait pas de quelle « occupation » vous vouliez parler. Je me suis donc permis (voir lien ci-dessus), puisque vous ne lui répondiez pas, et en quelque sorte par délégation, d’écrire la réponse que vous auriez pu lui faire. J’espère qu’elle vous conviendra. Si ce n’était pas le cas, je ne verrais bien évidemment aucune objection à ce que vous produisiez dessous un démenti partiel voire total.
Vous n’écrivez plus rien au-dessous de mes interventions, comme pour leur servir de soulignement ou d’encadrement. Pourtant, un cadre est quelquefois nécessaire. Je revoyais hier au deuxième étage du Louvre, au nord du Pavillon de l’horloge, l’exposition qui va durer encore quelques semaines et qui est consacrée aux encadrements. On y voit de très beaux cadres qu’on ne songerait pas à regarder quand ils sont autour d’un tableau, mais là on les présente vides, n’ouvrant que sur la grisaille du mur qui les supporte, puisqu’on ne veut montrer, précisément, que des cadres. Vous verrez, c’est plus intéressant qu’on ne pourrait le croire a priori.
Ne perdons pas le contact : nous ne sommes guère d’accord, mais votre art de la polémique ; je veux parler de ce mélange de courtoisie très raffinée joint à une extrême pertinence dans l’argumentation - dont l’intervention à laquelle je réponds serait un parfait exemple -, me manquent déjà beaucoup.