Un article de plus, donc, et des
commentaires, où l’on ne croit pas utile d’exprimer l’indispensable triple décroissance : de la population mondiale, de la
production mondiale, de la consommation mondiale, en lien étroit avec une
radicale modification de la répartition mondiale des richesses naturelles et de
celles qui sont produites par le travail des hommes.
J’ai l’impression que nous sommes dans
un véhicule qui fonce tout droit dans ce mur, là-bas, juste en face, et que les
seules questions que se posent les passagers sont : Est-il vraiment sérieux de
croire qu’on va finir par le rencontrer ce mur ? Où encore, chez ceux qui sont
certains qu’on va le rencontrer : A quelle heure ça va se produire ? Et : A
quel point ça va nous faire mal ? Tous semblent ignorer l’existence de ces
accessoires qu’on nomme frein et volant, dont les inventeurs avaient pensé que
l’intelligence humaine saurait y faire appel en cas de besoin.
A part Old Dan, le 2 à 10h47, personne ne semble se souvenir de l’existence
de cette faculté humaine (l’intelligence
s’étendant à la politique, à la technique, à la spiritualité, etc..). Mais
Old Dan lui-même semble penser qu’on ne peut y faire appel qu’après l’effondrement.