Commentaire de Séraphin Lampion
sur Et les grands oiseaux qui s'amusent...
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« Les consonnes sifflantes sourde et sonore, la finale féminine du mot, les voyelles variées nous entraînent vers un monde de rêves et de bonheur... »
celle-là, vous pouvez nous la fourguer dans un article sur deux, avant ou après « l’auteur nous entraîne vers des horizons qui nous font rêver et nous invitent à nous évader dans un monde de poésie »
Je vous suggère de vous constituer un générateur de texte sur le modèle de ce formulateur automatique de « parler creux ».
Derniers commentaires
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10/09 13:09 - Shaw
@Aimable Ça babille bien par ici :-) , mais c’est encore loin de pouvoir rejoindre (...)
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10/09 13:06 - Aimable
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10/09 12:44 - rosemar
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10/09 12:42 - rosemar
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10/09 10:34 - JC_Lavau
@Aimable. Et qu’est ce qu’elle oit, l’oie ? Elle oit ce que oit toute oie : (...)
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10/09 10:32 - JC_Lavau
@phan. Si tequis texit certe quis prestabit. Certe quis Venus illa tremens.
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