Les manifs, c’est juste pour tenter une ultime fois d’être pacifiste, et ne pas prêter le flanc aux manipulations des journalistes et de la préfecture qui n’attendent que des incidents violents pour délégitimer le mouvement, mais effectivement, ce n’est pas ça qui fera plier Macron, même s’ils connaissent les vrais chiffres qui sont en millions plutôt qu’en centaines de milliers.
Ce pouvoir totalitaire ne comprend que la force, et je pense qu’une Révolution armée serait plus que justifiée pour les dézinguer, mais encore faut-t’il avoir des armes et surtout que les flics et l’armée laissent faire pour faire tomber ce régime maléfique comme un fruit mûr...
Il semble à l’instar du capitaine Alexandre Brunet que la désobéissance civile tende à se répandre chez les forces de l’ordre, mais il faut que ce soit massif et que les flics nous laissent marcher sur l’Elysée, Matignon, l’Assemblée nationale...
Une arme redoutable pour faire s’effondrer l’Etat bien que utopique, serait que les gens refusent désormais de payer leurs impôts, du moins ceux qui ne sont pas encore prélevés à la source : taxe d’habitation, taxe foncière, CFE etc.
Mais la bombe atomique, serait que ce soient les entreprises qui refusent de reverser à l’Etat la TVA, sachant qu’elle représente 50% des ressources fiscales je crois à elle toute seule...l’Etat s’effondrerait rapidement si les entreprises jouaient le jeu.
Nous sommes d’ailleurs en droit de le faire, puisque c’est nous qui finançons les services publics et que l’Etat entend avec son pass nazitaire nous priver d’accès à un certain nombre d’entre eux : SNCF, Hôpital etc.
Donc le boycott des impôts est parfaitement justifié.
Moi, j’entend me battre sur le terrain judiciaire en déposant plainte de façon systématique contre toute entreprise ou commerçant qui voudrait me refuser l’accès pour cause d’absence du pass nazitaire : Maître Di vizio l’a dit : nous allons submerger les tribunaux de plaintes pour discrimination, et alors, ils seront bien obligés d’abandonner leurs projets liberticides.
Ne lâchons rien : le pass va trépasser !