@slave1802
Oh mais... Mais ça sent... Ouais pas d’erreur : ça sent le « type bien » ! Hein, t’es un type bien, toi ? Ouaiiis... Sûr ! Un type bien et moderne. Très moderne. Alors ? C’est toi qu’est d’astreinte aujourd’hui pour représenter le bien sur agoravox ? Dis-donc, t’as raison, tu sais : qu’est-ce que c’est que ce connard d’auteur ? Qui ose parler de fierté pour autre chose que les pédés... Nan mais pour qui y se prend, cuilà ? La fierté, c’est pédé ! Epicétou ! T’as compris, l’auteur ? Et pis ces Serbes, là... Quelle honte... Quelle honte... Il veulent pas d’Europride chez eux ! Ils sont pas à genoux devant les lgbtqxyz ! Ils disent non... Ils veulent pas... Putain de nazis ! Vraiment l’otan et bhl auraient dû finir le boulot... Pas vrai, le type bien ?
Tiens, dans un commentaire précédent sous un autre article, je parlais des militants lgbt. Je te fais un copier/coller. Voilà, lis ça, chuis sûr que tu va apprécier :
"Le militantisme lgbt, lui,est causé par le besoin d’échapper à l’état
dépressif structurel que ressentent les membres de toute minorité, en
particulier sexuelle. Quand tu prends conscience de ta différence, paf,
émergence de la dépression : c’est vrai pour l’homosexualité, pour le
fait d’être surdoué au milieu des autres enfants qui ne le sont pas,
etc. Même pour le fait d’être roux ! Le militantisme te rapproche
d’autres personnes vivant le même état dépressif pour agir ( l’action
étant fondamentale pour lutter contre l’état dépressif, comme le mode
vie « festif » ) et comme ils vivent entre eux, ils sont la norme dans
leur propre groupe. La dépression ne disparaît pas, attention... Eux le
croient parce qu’ils se sentent effectivement mieux. En fait, elle est
juste devenue latente et ne se manifestera généralement plus tant que tu
resteras dans le mouvement. Le lobby pédophile, accepté un temps parmi
eux, a plus ou moins été éjecté because prise de conscience que, quoi
qu’il arrive, il n’y aurait pas d’acceptation de cette orientation
sexuelle précise en tant que norme. Donc être associé à eux était
structurellement contre-productif.[...]
Remarque : la seule solution viable pour lutter contre la dépression
structurelle liée à la prise de conscience de ton appartenance à une
minorité est le travail sur soi pour s’accepter en tant que tel. La psy
permet cela. Cela peut être un peu douloureux à divers égards mais tu
fais un travail personnel qui ne disparaîtra pas avec l’arrêt de
l’activité militante. C’est donc une solution plus profonde et efficace
que le fait de penser que la cause de ta dépression est à l’extérieur de
toi. Ils croient qu’ils sont dépressifs parce que nous ne les acceptons
pas comme ils sont. La vérité est que l’essentiel de leur problème est
que, au fond d’eux-mêmes ( cet « endroit » qu’ils ne connaissent pas ou
choisissent d’ignorer ), ils ne s’acceptent pas tels qu’ils sont. Des
exceptions.
Une preuve de ce que j’avance ? Les parades des « fiertés », les mois
des « fiertés », les passages piétons des « fiertés », etc. Quand tu
éprouves à ce point le besoin de faire avaler au monde entier l’image de
ta, mmmh..., « fierté », c’est qu’elle est vraiment pas solide, ta
« fierté »... Bah ouais : tu n’as strictement rien changé au fond de
toi-même. Si tu l’avais fait, t’aurais plus besoin de l’exhiber à ce
point, ta soi-disant « fierté »... D’ailleurs, il y a quelque chose de
grotesque à vouloir être « fier » de sa sexualité. Levez le doigt si
vous êtes fiers d’être hétéros. Toi ? Toi ? Toi ? Vous luttez contre
quoi ?«
Last but not least, ami type bien, tes copains du lobby lgbt de l’Indiana University, tu sais en l’honneur de qui ils veulent faire une statue ? C’est tout frais, ça vient de sortir. Alfred Kinsey... Hein ? Ouais, le »scientifique« ... Le pervers pédocriminel qui faisait violer des enfants dans le cadre de ses études sur la sexualité. Ouais. Pour déterminer combien »d’orgasmes« pouvaient ressentir les enfants. Un cri = un »orgasme". Ouais. Une statue. D’Alfred Kinsey.
https://www.youtube.com/watch?v=r-8u1PRjl_4&t=242s
Alors ? Alors tu sais où tu peux te les carrer, tes leçons, monsieur le type bien ? Oui. Je crois que tu sais. Sans rancune, hein ? Bonne soirée !